Cela fait un an, jour pour jour que la Côte d’Ivoire est libérée ! Sortie de la situation de semi guerre civile que lui avait imposée l’ancien président Laurent Gbagbo qui, nonobstant sa défaite électorale cinglante du 28 novembre 2010, avait pris l`option de confisquer le pouvoir d’Etat.
Si l`on commémore cette date du 11 avril, à laquelle Laurent Gbagbo a été capturé dans son bunker, il est aussi bienséant de reconnaître leur mérite à ceux ou celui qui a permis cette arrestation.
Est-il besoin de parler de l`action héroïque des soldats des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (Frci), ou du courage physique du Premier ministre Guillaume Kigbafori Soro priche de la témérité ? L’honnêteté intellectuelle et la sagesse nous le recommande. Pour paraphraser le célèbre chanteur français Enrico Marcias: "Doit-on se taire pour faire plaisir en fermant les yeux sur l’avenir ? ".
L`histoire est un témoignage. Les faits sont têtus et nous avons le devoir de les raconter aux générations à venir.
Souvenons-nous que Guillaume Soro était le Premier ministre de Laurent Gbagbo chargé de l’ensemble du processus de sortie de crise et qu’il est arrivé, contre vents et marées, à organiser ces élections dite de sortie de crise.
Souvenons-nous que pour la première fois en Côte d’Ivoire, un avion a été pris pour cible d`un attentat terroriste le 29 juin 2008, parce que le Premier ministre Guillaume Soro se trouvait à bord pour aller lancer les audiences foraines qui permettront plus tard à des centaines de milliers d’ivoiriens, d’avoir une existence administrative.
Le Premier ministre Guillaume Soro à été victime de pas moins de six tentatives d`assassinat, de la suspicion de nombreux citoyens et les Forces Nouvelles étaient, quant à elles, traitées de forces rétrogrades, incapables de combattre parce qu`elles se seraient embourgeoisées.
L’histoire est un témoignage !
C’est bien Guillaume Soro qui, face au refus de Laurent Gbagbo de reconnaître le résultat du deuxième tour des élections présidentielles consacrant sa defaite, a choisi la voie de la légalité en décidant de rendre sa démisssion au nouveau président élu de la Côte d’Ivoire.
Ainsi va démarrer ce qui a été appelé ‘’crise postélectorale’’.
La crise postélectorale opposait les mercenaires et miliciens de Laurent Gbagbo et les populations qui avaient choisi le camp de la legalité republicaine. Tous les leaders politiques opposés au régime se sont retrouvés emprisonnés à l’hôtel du Golf suite à un impitoyable blocus imposé par Gbagbo et sa garde pretorienne.
Plusieurs missions de mediation ont été menées pour ramener Gbagbo à la raison. Hélas, il est resté inébranlable. Les populations qui osaient sortir pour manifester se faisaient massacrer par milliers. Cette situation a duré de novembre 2010 à avril 2011.
Le chef des Forces Nouvelles prend alors la décision, en concertation avec ses commandants de zone dont Fofana Losseni, Chérif Ousmane, Ouattara Morou, Wattao etc., de lancer une offensive militaire généralisée à partir des zones Centre-Nord-Ouest (zones CNO) pour enclencher la libération totale et entière de la Côte d’Ivoire des griffes de Laurent Gbagbo, afin de mettre un terme aux souffrances des populations.
Pour ce faire le premier ministre Guillaume Soro, secrétaire général des FN s’est replié à Bouaké, d’où il est parti avec son armée. L’opération n’a durée que quelques jours et s’est soldée par l’arrestation de M. Laurent Gbagbo, arrestation aujourd’hui célébrée par la communauté nationale.
Comme quoi, n’ayons pas peur de reconnaître aux vrais acteurs leurs rôles dans la chute du régime honni de la Refondation. La Côte d’Ivoire ne s’est pas libérée par magie. Il a fallu l’action d’un homme courageux, notamment Guillaume Kigbafori Soro. Un Hommage mérité lui doit être rendu, à lui et à tous ceux qui l’ont accompagné dans cette aventure, au peril de leurs vies. Tout comme un hommage national doit être rendu aux centaines de jeunes combattants, qui ont sacrifié leur vie pour que leur patrie retrouve sa liberté.
Pour la Cellule de Communication des Forces Nouvelles
Issa DOUMBIA
Si l`on commémore cette date du 11 avril, à laquelle Laurent Gbagbo a été capturé dans son bunker, il est aussi bienséant de reconnaître leur mérite à ceux ou celui qui a permis cette arrestation.
Est-il besoin de parler de l`action héroïque des soldats des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (Frci), ou du courage physique du Premier ministre Guillaume Kigbafori Soro priche de la témérité ? L’honnêteté intellectuelle et la sagesse nous le recommande. Pour paraphraser le célèbre chanteur français Enrico Marcias: "Doit-on se taire pour faire plaisir en fermant les yeux sur l’avenir ? ".
L`histoire est un témoignage. Les faits sont têtus et nous avons le devoir de les raconter aux générations à venir.
Souvenons-nous que Guillaume Soro était le Premier ministre de Laurent Gbagbo chargé de l’ensemble du processus de sortie de crise et qu’il est arrivé, contre vents et marées, à organiser ces élections dite de sortie de crise.
Souvenons-nous que pour la première fois en Côte d’Ivoire, un avion a été pris pour cible d`un attentat terroriste le 29 juin 2008, parce que le Premier ministre Guillaume Soro se trouvait à bord pour aller lancer les audiences foraines qui permettront plus tard à des centaines de milliers d’ivoiriens, d’avoir une existence administrative.
Le Premier ministre Guillaume Soro à été victime de pas moins de six tentatives d`assassinat, de la suspicion de nombreux citoyens et les Forces Nouvelles étaient, quant à elles, traitées de forces rétrogrades, incapables de combattre parce qu`elles se seraient embourgeoisées.
L’histoire est un témoignage !
C’est bien Guillaume Soro qui, face au refus de Laurent Gbagbo de reconnaître le résultat du deuxième tour des élections présidentielles consacrant sa defaite, a choisi la voie de la légalité en décidant de rendre sa démisssion au nouveau président élu de la Côte d’Ivoire.
Ainsi va démarrer ce qui a été appelé ‘’crise postélectorale’’.
La crise postélectorale opposait les mercenaires et miliciens de Laurent Gbagbo et les populations qui avaient choisi le camp de la legalité republicaine. Tous les leaders politiques opposés au régime se sont retrouvés emprisonnés à l’hôtel du Golf suite à un impitoyable blocus imposé par Gbagbo et sa garde pretorienne.
Plusieurs missions de mediation ont été menées pour ramener Gbagbo à la raison. Hélas, il est resté inébranlable. Les populations qui osaient sortir pour manifester se faisaient massacrer par milliers. Cette situation a duré de novembre 2010 à avril 2011.
Le chef des Forces Nouvelles prend alors la décision, en concertation avec ses commandants de zone dont Fofana Losseni, Chérif Ousmane, Ouattara Morou, Wattao etc., de lancer une offensive militaire généralisée à partir des zones Centre-Nord-Ouest (zones CNO) pour enclencher la libération totale et entière de la Côte d’Ivoire des griffes de Laurent Gbagbo, afin de mettre un terme aux souffrances des populations.
Pour ce faire le premier ministre Guillaume Soro, secrétaire général des FN s’est replié à Bouaké, d’où il est parti avec son armée. L’opération n’a durée que quelques jours et s’est soldée par l’arrestation de M. Laurent Gbagbo, arrestation aujourd’hui célébrée par la communauté nationale.
Comme quoi, n’ayons pas peur de reconnaître aux vrais acteurs leurs rôles dans la chute du régime honni de la Refondation. La Côte d’Ivoire ne s’est pas libérée par magie. Il a fallu l’action d’un homme courageux, notamment Guillaume Kigbafori Soro. Un Hommage mérité lui doit être rendu, à lui et à tous ceux qui l’ont accompagné dans cette aventure, au peril de leurs vies. Tout comme un hommage national doit être rendu aux centaines de jeunes combattants, qui ont sacrifié leur vie pour que leur patrie retrouve sa liberté.
Pour la Cellule de Communication des Forces Nouvelles
Issa DOUMBIA