L`UMP a signé samedi à Paris un accord de partenariat avec le Rassemblement des républicains (RDR, libéral), parti du président ivoirien Alassane Ouattara.
Jean-François Copé, secrétaire général de l`UMP, parti du président
français Nicolas Sarkozy, a paraphé cet accord "de coopération et d`amitié" avec son homologue ivoirien du RDR, Amadou Soumahoro, lors d`une rencontre organisée par l`UMP et intitulée "La France avec les printemps africains".
Participaient également à cette rencontre, salle Gaveau, le
ministre-conseiller spécial du nouveau président sénégalais Macky Sall, Mahmoud Saleh, et Sidya Touré, ancien Premier ministre guinéen et actuel président de l`Union des forces républicaines (UFR, opposition).
A cette occasion, M. Copé a estimé qu`en Afrique, "les élections truquées (devaient) appartenir au passé".
"En 2011-2012, 18 élections présidentielles se sont tenues ou se tiendront en Afrique (...) Certes, il ne s`agit pas de tomber dans un optimisme béat, certains de ces scrutins sont imparfaits et des tentatives de putschs continuent même d`avoir lieu dans certains Etats, comme cette semaine en Guinée-Bissau, où l`instabilité règne malheureusement", a-t-il dit.
"Néanmoins, je veux le dire avec force, les putschs militaires n`ont plus d`avenir (...) L`échec très rapide du putsch lamentable au Mali ne fait que renforcer ma conviction. Ce type d`opération est condamné par avance", a souligné le numéro un de l`UMP.
A une semaine du premier tour de l`élection présidentielle française, M. Copé a affirmé que "la nouvelle politique africaine de la France, c`est Nicolas Sarkozy qui la conduit" alors que "la Françafrique, celle de +papa m`a dit+, c`est celle du PS et de son candidat", François Hollande
Jean-François Copé, secrétaire général de l`UMP, parti du président
français Nicolas Sarkozy, a paraphé cet accord "de coopération et d`amitié" avec son homologue ivoirien du RDR, Amadou Soumahoro, lors d`une rencontre organisée par l`UMP et intitulée "La France avec les printemps africains".
Participaient également à cette rencontre, salle Gaveau, le
ministre-conseiller spécial du nouveau président sénégalais Macky Sall, Mahmoud Saleh, et Sidya Touré, ancien Premier ministre guinéen et actuel président de l`Union des forces républicaines (UFR, opposition).
A cette occasion, M. Copé a estimé qu`en Afrique, "les élections truquées (devaient) appartenir au passé".
"En 2011-2012, 18 élections présidentielles se sont tenues ou se tiendront en Afrique (...) Certes, il ne s`agit pas de tomber dans un optimisme béat, certains de ces scrutins sont imparfaits et des tentatives de putschs continuent même d`avoir lieu dans certains Etats, comme cette semaine en Guinée-Bissau, où l`instabilité règne malheureusement", a-t-il dit.
"Néanmoins, je veux le dire avec force, les putschs militaires n`ont plus d`avenir (...) L`échec très rapide du putsch lamentable au Mali ne fait que renforcer ma conviction. Ce type d`opération est condamné par avance", a souligné le numéro un de l`UMP.
A une semaine du premier tour de l`élection présidentielle française, M. Copé a affirmé que "la nouvelle politique africaine de la France, c`est Nicolas Sarkozy qui la conduit" alors que "la Françafrique, celle de +papa m`a dit+, c`est celle du PS et de son candidat", François Hollande