Le Président du Bédié a accordé deux audiences, le lundi 16 avril 2012, à sa résidence de Cocody. Dans l’après midi, il s’est entretenu avec François Amichia. Il s’agissait pour le Maire de traduire sa reconnaissance au Président de son parti, le PDCI, après son élection au poste de président des collectivités territoriales de l’espace UEMOA (Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine).
«Au mois de mai 2011, les chefs d’Etat de l’espace UEMOA ont signé l’acte additionnel portant création et organisation du conseil des collectivités territoriales de l’UEMOA. A la suite de cet acte, nous sommes venus informer le président Bédié de notre volonté et de la volonté de certains pays de l’UEMOA de voir la Côte d’Ivoire se porter candidate à cette élection. Et le président Bédié avait donné son accord, il nous avait prodigué de sages conseils. Le 11 avril dernier, cette élection a eu lieu à Niamey au Niger et le candidat de la Côte d’Ivoire que je suis, a remporté ses élections du Conseil des collectivités territoriales de l’espace UEMOA », a fait savoir Albert François Amichia. Pour situer le contexte de cette visite. Pour lui, c’est donc tout à fait normal qu’il « vienne rendre compte au président Bédié de ce qui s’est passé » mais aussi pour recevoir des conseils. Elu pour un mandat de deux ans, Albert François Amichia aura pour mission de conseiller et donner des avis aux ministres statutaires et à la conférence des chefs d’Etat pour tous les sujets concernant la décentralisation. De son avis, c’est « un motif supplémentaire d’encouragement pour mieux préparer les élections » municipales à venir. Dans la matinée, c’est le représentant du facilitateur de l’APO (Accord Politique Ouagadougou), Bouréïma Badini qui est venu faire ses adieux au président du PDCI-RDA. Mais aussi lui dire merci pour son rôle dans la résolution de la crise postélectorale. « Le Président du Faso qui est le facilitateur de la crise ivoirienne en est très content. Il m’a dit de venir le remercier pour tout cela et nous pensons que les grands chantiers, la réconciliation, la reforme de l’armée qui sont en train d’être entrepris actuellement seront conduits après le dialogue républicain, par les autorités ivoiriennes compétentes », a-t-il souligné. Avant d’indiquer être « disponible pour accompagner la Côte d’Ivoire sur d’autres chantiers si nécessaire».
K. Hyacinthe
«Au mois de mai 2011, les chefs d’Etat de l’espace UEMOA ont signé l’acte additionnel portant création et organisation du conseil des collectivités territoriales de l’UEMOA. A la suite de cet acte, nous sommes venus informer le président Bédié de notre volonté et de la volonté de certains pays de l’UEMOA de voir la Côte d’Ivoire se porter candidate à cette élection. Et le président Bédié avait donné son accord, il nous avait prodigué de sages conseils. Le 11 avril dernier, cette élection a eu lieu à Niamey au Niger et le candidat de la Côte d’Ivoire que je suis, a remporté ses élections du Conseil des collectivités territoriales de l’espace UEMOA », a fait savoir Albert François Amichia. Pour situer le contexte de cette visite. Pour lui, c’est donc tout à fait normal qu’il « vienne rendre compte au président Bédié de ce qui s’est passé » mais aussi pour recevoir des conseils. Elu pour un mandat de deux ans, Albert François Amichia aura pour mission de conseiller et donner des avis aux ministres statutaires et à la conférence des chefs d’Etat pour tous les sujets concernant la décentralisation. De son avis, c’est « un motif supplémentaire d’encouragement pour mieux préparer les élections » municipales à venir. Dans la matinée, c’est le représentant du facilitateur de l’APO (Accord Politique Ouagadougou), Bouréïma Badini qui est venu faire ses adieux au président du PDCI-RDA. Mais aussi lui dire merci pour son rôle dans la résolution de la crise postélectorale. « Le Président du Faso qui est le facilitateur de la crise ivoirienne en est très content. Il m’a dit de venir le remercier pour tout cela et nous pensons que les grands chantiers, la réconciliation, la reforme de l’armée qui sont en train d’être entrepris actuellement seront conduits après le dialogue républicain, par les autorités ivoiriennes compétentes », a-t-il souligné. Avant d’indiquer être « disponible pour accompagner la Côte d’Ivoire sur d’autres chantiers si nécessaire».
K. Hyacinthe