Gagnoa – Les enseignants des écoles primaires publiques du département de Gagnoa observent, depuis lundi, une grève générale de 48 heures lancée par le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) au plan national, en vue de voir appliqués des engagements pris par l’Etat ivoirien vis-à-vis de leur corporation.
"Dans la ville de Gagnoa, les différentes sous-préfectures et villages, le mouvement est observé à 99%", a indiqué le secrétaire général du MIDD de la région du Gôh, Diarra Idrissa, qui a parcouru les différentes écoles pour se rendre compte de l’effectivité de la grève.
La presque totalité des écoles primaires publiques de la ville de Gagnoa sont vides. Tôt le matin, il a été demandé aux écoliers de retourner à la maison, a constaté l’AIP.
Les enseignants du primaire demandent le paiement, avec rappel, du reliquat dû par l’Etat sur l’indemnité contributive au logement et la seconde moitié de la bonification indiciaire.
Le déblocage des avancements avec effets financiers constitue la seconde revendication sur laquelle le MIDD ne veut pas transiger avec le gouvernement.
Les enseignants disent attendre, depuis trois ans, l’exécution des promesses faites et sont prêts à reconduire, pour un autre délai de 48 heures, la grève, s’ils n’obtiennent pas satisfaction.
(AIP)
Jmk/kp
"Dans la ville de Gagnoa, les différentes sous-préfectures et villages, le mouvement est observé à 99%", a indiqué le secrétaire général du MIDD de la région du Gôh, Diarra Idrissa, qui a parcouru les différentes écoles pour se rendre compte de l’effectivité de la grève.
La presque totalité des écoles primaires publiques de la ville de Gagnoa sont vides. Tôt le matin, il a été demandé aux écoliers de retourner à la maison, a constaté l’AIP.
Les enseignants du primaire demandent le paiement, avec rappel, du reliquat dû par l’Etat sur l’indemnité contributive au logement et la seconde moitié de la bonification indiciaire.
Le déblocage des avancements avec effets financiers constitue la seconde revendication sur laquelle le MIDD ne veut pas transiger avec le gouvernement.
Les enseignants disent attendre, depuis trois ans, l’exécution des promesses faites et sont prêts à reconduire, pour un autre délai de 48 heures, la grève, s’ils n’obtiennent pas satisfaction.
(AIP)
Jmk/kp