Des salles de classes de Bouaké restées vides du fait de la grève de 48H du MIDD
Bouaké, 23 avr (AIP) - Les établissements primaires publics de Bouaké sont restés fermés lundi, conformément au mot d’ordre de grève de 48 heures lancé par le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD).
Le scrétaire régional du MIDD, Soro Amara Sona a demandé aux enseignants du MIDD de s’abstenir de venir au cours et d’exercer toutes activités pédagogiques et administratives pendant ces deux jours de grève.
Les instituteurs rencontrés dans la ville, hors des salles de classes, ont exprimé leur détermination à rester solidaires pour faire aboutir leurs révendications, vu que tous les signaux adressés au gouvernement ivoirien par le bureau exécutif national (BEN) du MIDD sont restés jusqu’à ce jour sans suite.
"Si au terme des ces 48 heures aucune solution n’est trouvée, nous verrons avec le BEN du MIDD la conduite à tenir pour obtenir satisfaction", a averti A. Traoré, un enseignant du primaire à Bouaké.
A l’issue d’une assemblée générale tenue les 4 et 5 avril, le MIDD a décidé une grève de 48 heures pour exiger le paiement correct avec rappel de tous les reliquats sur l’indéminité contributive au logement et la deuxième moitié de la bonification indiciaire, les rappels liés au CAP des années 1988 à 1992, ainsi que le déblocage des avancements avec effet financier.
Une rencontre au sommet entre la MIDD et le ministère de l’Education nationale a permis de trouver une solution, en l`occurrence la levée du mot d`ordre, a expliqué un collaborateur de la ministre Kandia Camara, lundi au journal télévisé de 13H, sur RTI1 (télévision publique).
(AIP)
nam/cmas
Bouaké, 23 avr (AIP) - Les établissements primaires publics de Bouaké sont restés fermés lundi, conformément au mot d’ordre de grève de 48 heures lancé par le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD).
Le scrétaire régional du MIDD, Soro Amara Sona a demandé aux enseignants du MIDD de s’abstenir de venir au cours et d’exercer toutes activités pédagogiques et administratives pendant ces deux jours de grève.
Les instituteurs rencontrés dans la ville, hors des salles de classes, ont exprimé leur détermination à rester solidaires pour faire aboutir leurs révendications, vu que tous les signaux adressés au gouvernement ivoirien par le bureau exécutif national (BEN) du MIDD sont restés jusqu’à ce jour sans suite.
"Si au terme des ces 48 heures aucune solution n’est trouvée, nous verrons avec le BEN du MIDD la conduite à tenir pour obtenir satisfaction", a averti A. Traoré, un enseignant du primaire à Bouaké.
A l’issue d’une assemblée générale tenue les 4 et 5 avril, le MIDD a décidé une grève de 48 heures pour exiger le paiement correct avec rappel de tous les reliquats sur l’indéminité contributive au logement et la deuxième moitié de la bonification indiciaire, les rappels liés au CAP des années 1988 à 1992, ainsi que le déblocage des avancements avec effet financier.
Une rencontre au sommet entre la MIDD et le ministère de l’Education nationale a permis de trouver une solution, en l`occurrence la levée du mot d`ordre, a expliqué un collaborateur de la ministre Kandia Camara, lundi au journal télévisé de 13H, sur RTI1 (télévision publique).
(AIP)
nam/cmas
