Abidjan – En prélude à la Conférence inaugurale Borderless prévue les 15 et 16 mai au Golf Hôtel d’Abidjan, les acteurs du commerce en Côte d’Ivoire issus notamment des secteurs public et privé, et de la société civile, ont été exhortés à participer massivement à cette initiative.
Portant sur le thème « Transformer le commerce », cette Conférence a pour objectif de fournir une plateforme sous-régionale indépendante pour les principaux producteurs, commerçants, transporteurs et financiers, afin de préconiser des améliorations systémiques et pratiques à la circulation des biens et des personnes en Afrique de l’ouest, en vue d’améliorer la compétitivité du commerce.
A l’occasion d’un petit déjeuner – débat organisé jeudi à l’hôtel Ivotel (Abidjan, Plateau), les représentants des différents partenaires du projet, notamment l’APEX-CI, la CCI-CI, l’OFT et l’USAID, ont tour à tour expliqué les avantages pour les opérateurs économiques d’adhérer à l’Alliance Borderless.
Ainsi, le directeur général de l’Association pour la promotion des exportations de Côte d’Ivoire (APEX-CI), Guy M’Bengue, s’est dit convaincu de l’utilité de Borderless, tout en soulignant la convergence entre la politique du secteur privé ivoirien et cette initiative régionale. Pour lui, le volet infrastructures, fluidité des services et marchandises, et facilitation des exportations conduit par Borderless est très important en ce qu’il va permettre d’avoir des coûts de transaction très élevés pour les exportateurs.
Quant au représentant de la Chambre de Commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), Koné Nadio, il a affirmé l’adhésion de la structure, en tant qu’interface entre l’Etat et le secteur privé. Selon lui, l’adhésion des opérateurs économique à Borderless va induire de la transparence dans les activités de commerce et de transport.
De son côté, le président de l’Observatoire de la fluidité routière (OFT), Adama Coulibaly a rappelé que l’Afrique de l’ouest est marquée, ces dernières années, par une recrudescence des entraves à la libre circulation des biens et des personnes, ce qui provoque la faiblesse des échanges commerciaux dans l’espace CEDEAO. Enumérant les mesures prises par le Gouvernement ivoirien pour relancer l’économie post-crise, l’ancien ministre des Transports a appelé les entreprises à s’approprier cette initiative régionale, en vue de rentabiliser leurs efforts.
Pour sa part, la représentante de l’USAID, O. Omotere s’est appesantie les avantages de l’initiative Borderless. Lancée en 2010 par les partenaires des secteurs public et privé, la campagne Borderless vise à accroître le commerce en Afrique de l’ouest. L’Alliance Borderless, dont le secrétariat est basé à Accra (Ghana), a été fondée en 2011 par des partenaires, afin de mettre en place un dialogue pour le commerce au sein des parties prenantes.
Cette initiative induit « moins de retard, moins de paiement informels, moins d’incertitudes et plus de commerce ». Le but est de supprimer les obstacles au commerce dans la sous-région, en vue de faire économiser de l’argent aux entreprises.
Par ailleurs, l’inscription en ligne pour participer à la Conférence des 15-16 mai se fait sur le site www.borderlesswa.com/fr/inscription-la-conference-borderless. Les membres paient 300$ par personne plus 100$ par personne supplémentaire et les non membres 400$. Une réduction de 20% est accordée à ceux qui s’inscriront avant le 10 mai, souligne-t-on.
Portant sur le thème « Transformer le commerce », cette Conférence a pour objectif de fournir une plateforme sous-régionale indépendante pour les principaux producteurs, commerçants, transporteurs et financiers, afin de préconiser des améliorations systémiques et pratiques à la circulation des biens et des personnes en Afrique de l’ouest, en vue d’améliorer la compétitivité du commerce.
A l’occasion d’un petit déjeuner – débat organisé jeudi à l’hôtel Ivotel (Abidjan, Plateau), les représentants des différents partenaires du projet, notamment l’APEX-CI, la CCI-CI, l’OFT et l’USAID, ont tour à tour expliqué les avantages pour les opérateurs économiques d’adhérer à l’Alliance Borderless.
Ainsi, le directeur général de l’Association pour la promotion des exportations de Côte d’Ivoire (APEX-CI), Guy M’Bengue, s’est dit convaincu de l’utilité de Borderless, tout en soulignant la convergence entre la politique du secteur privé ivoirien et cette initiative régionale. Pour lui, le volet infrastructures, fluidité des services et marchandises, et facilitation des exportations conduit par Borderless est très important en ce qu’il va permettre d’avoir des coûts de transaction très élevés pour les exportateurs.
Quant au représentant de la Chambre de Commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), Koné Nadio, il a affirmé l’adhésion de la structure, en tant qu’interface entre l’Etat et le secteur privé. Selon lui, l’adhésion des opérateurs économique à Borderless va induire de la transparence dans les activités de commerce et de transport.
De son côté, le président de l’Observatoire de la fluidité routière (OFT), Adama Coulibaly a rappelé que l’Afrique de l’ouest est marquée, ces dernières années, par une recrudescence des entraves à la libre circulation des biens et des personnes, ce qui provoque la faiblesse des échanges commerciaux dans l’espace CEDEAO. Enumérant les mesures prises par le Gouvernement ivoirien pour relancer l’économie post-crise, l’ancien ministre des Transports a appelé les entreprises à s’approprier cette initiative régionale, en vue de rentabiliser leurs efforts.
Pour sa part, la représentante de l’USAID, O. Omotere s’est appesantie les avantages de l’initiative Borderless. Lancée en 2010 par les partenaires des secteurs public et privé, la campagne Borderless vise à accroître le commerce en Afrique de l’ouest. L’Alliance Borderless, dont le secrétariat est basé à Accra (Ghana), a été fondée en 2011 par des partenaires, afin de mettre en place un dialogue pour le commerce au sein des parties prenantes.
Cette initiative induit « moins de retard, moins de paiement informels, moins d’incertitudes et plus de commerce ». Le but est de supprimer les obstacles au commerce dans la sous-région, en vue de faire économiser de l’argent aux entreprises.
Par ailleurs, l’inscription en ligne pour participer à la Conférence des 15-16 mai se fait sur le site www.borderlesswa.com/fr/inscription-la-conference-borderless. Les membres paient 300$ par personne plus 100$ par personne supplémentaire et les non membres 400$. Une réduction de 20% est accordée à ceux qui s’inscriront avant le 10 mai, souligne-t-on.
