La convention du FPI qui s'est tenue dimanche dernier a consacré la direction intérimaire dans ses fonctions, sous l'égide de Miaka Oureto. Alors que de nombreux cadres sont encore en exil ou sous les bareaux, le parti de Laurent Gbagbo commence à tourner la page de la crise postélectorale.
Un temple archicomble : l’hôtel Belle Côte d’Abidjan. Un pasteur improvisé : Sylvain Miaka Oureto, président par intérim du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo).
D'ex-barons du parti et de fidèles militants qui dansent en criant « Alléluia ! ». Dimanche 29 avril, le FPI a renoué avec ses messes patriotiques, à l’occasion de sa première convention depuis la chute de son fondateur, le 11 avril 2011. De quoi rendre définitivement légitimes des dirigeants... suite de l'article sur Jeune Afrique
Un temple archicomble : l’hôtel Belle Côte d’Abidjan. Un pasteur improvisé : Sylvain Miaka Oureto, président par intérim du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo).
D'ex-barons du parti et de fidèles militants qui dansent en criant « Alléluia ! ». Dimanche 29 avril, le FPI a renoué avec ses messes patriotiques, à l’occasion de sa première convention depuis la chute de son fondateur, le 11 avril 2011. De quoi rendre définitivement légitimes des dirigeants... suite de l'article sur Jeune Afrique