Bouna - Le secrétaire général du Front populaire ivoirien(FPI), Akoun Laurent, dans le cadre d’une tournée de remobilisation, a exhorté dimanche les militants du département de Bouna (Nord-Est, région du Bounkani) à persévérer dans le combat "pour la reconquête du pouvoir d’Etat" perdu par le parti à l’issue des élections de 2010.
"Ne croisons pas les bras, ensemble continuons le combat", a-t-il lancé lors d’un meeting tenu au foyer des jeunes. Le fédéral de cette région, Kambou Difilé, au nom de tous les militants, a exprimé sa joie et sa gratitude à la haute direction du parti pour être venue répondre à "leurs nombreuses préoccupations", notamment au sujet de leurs camarades emprisonnés ainsin que la question du processus de réconciliation en cours dans le pays.
Concernant les prisonniers, Laurent Akoun a rassuré les militants de ce que le parti, qui "fait tout son possible pour avoir régulièrement de leurs nouvelles, travaille ardemment pour obtenir leur libération". Il a indiqué par ailleurs que le FPI, qui n’est pas engagé dans une logique de belligérance, "souhaite la réconciliation", précisant que "c’est dans les urnes que le parti entend reconquérir le pouvoir d’Etat".
Le meeting qui a mobilisé un grand nombre de militants a été perturbé par un groupuscule de jeunes surexcités, emmenés par un certain Ouattara Abou dit "Jamaïcain", au motif que "le FPI n’avait pas le droit de se rassembler sans son autorisation", signale-t-on. C’est sous escorte de soldats de l’opération des nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) que Akoun Laurent et sa délégation ont quitté, dans la précipitation, Bouna, escortés, précise-t-on.
"Ne croisons pas les bras, ensemble continuons le combat", a-t-il lancé lors d’un meeting tenu au foyer des jeunes. Le fédéral de cette région, Kambou Difilé, au nom de tous les militants, a exprimé sa joie et sa gratitude à la haute direction du parti pour être venue répondre à "leurs nombreuses préoccupations", notamment au sujet de leurs camarades emprisonnés ainsin que la question du processus de réconciliation en cours dans le pays.
Concernant les prisonniers, Laurent Akoun a rassuré les militants de ce que le parti, qui "fait tout son possible pour avoir régulièrement de leurs nouvelles, travaille ardemment pour obtenir leur libération". Il a indiqué par ailleurs que le FPI, qui n’est pas engagé dans une logique de belligérance, "souhaite la réconciliation", précisant que "c’est dans les urnes que le parti entend reconquérir le pouvoir d’Etat".
Le meeting qui a mobilisé un grand nombre de militants a été perturbé par un groupuscule de jeunes surexcités, emmenés par un certain Ouattara Abou dit "Jamaïcain", au motif que "le FPI n’avait pas le droit de se rassembler sans son autorisation", signale-t-on. C’est sous escorte de soldats de l’opération des nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) que Akoun Laurent et sa délégation ont quitté, dans la précipitation, Bouna, escortés, précise-t-on.