Le FPI, fidèle à son slogan ‘’y a rien en face’’ continue provoquer ses victimes d’hier. Pire, il murmure une vengeance violente contre le régime Ouattara qu’il veut à tout prix sauter par les armes. Témoins les incessants appels à la violence. Une situation qui fâche les militants RHDP et les FRCI, qui reprochent au président Alassane Ouattara sa grande douceur face à ces agitations qui risquent d’emporter son pouvoir.
Lors de la visite du chef de l’Etat à l’Ouest et particulièrement dans la région du Cavally (Guiglo), les affidés du criminel Gbagbo ont arboré des tee-shirts à son effigie pour scander des propos hostiles à l’hôte. Témoignage d’un soldat en mission dans cette zone : « Quand nous les avons vus avec ces tenues, nous leur avons exigé de les enlever et de les remplacer. Vu notre détermination, ils ont cédé ». Et de poursuivre avec regret. « A Toulepleu, Blolequin et Taï, on se demande bien ce que le FPI a mis dans la tête des gens. C’est plus fort qu’un envoûtement. Depuis quelques jours, des appels venant d’Abidjan leur ont demandé de s’apprêter à se procurer les pagnes qui seront imprimés pour le retour de Gbagbo le 18 juin. Ils y croient et se comportent en fonction. Ils vont même plus loin pour déclarer que le président Alassane Ouattara sera évincé du pouvoir pour prendre la place de Gbagbo au TPI. Ils font pitié et c’est vraiment dommage que des gens qui sont allés à l’école se laissent ainsi manipuler ». Ce témoignage montre encore une fois que cette région est dédiée par le FPI aux atrocités. Le sanguinaire Laurent Gbagbo et ses chiens de guerre se sont donnés le temps d’embrigader les pauvres populations qui ne demandent qu’à vivre.
Le FPI expose dangereusement ses militants à un massacre
Ils les ont dressées pour les livrer à la mort. A Abidjan, tout comme dans d’autres localités acquises au FPI, des messages circulent sur les portables, invitant leurs destinataires à quitter la capitale avant ‘’l’hécatombe’’ du 18 juin. Le mot d’ordre du match retour lancé par Koné Katina et Koua Justin fait son chemin. Les miliciens envahissent à nouveau les quartiers comme Yopougon. Si certains se cachent encore, d’autres sont visibles, même s’ils ont changé de look. Pendant la crise postélectorale, beaucoup d’armes avaient été dissimulées çà et là et c’est sur cet arsenal que miliciens et mercenaires comptent pour créer le chaos et faire fuir les investisseurs, à défaut de renverser Ouattara. En se conduisant ainsi, alors que le chef de l’Etat tend toujours la main pour la réconciliation, le FPI expose dangereusement ses militants à un massacre. Parce que, cette fois, personne ne s’en laissera compter et ce n’est pas sûr qu’après avoir mis le feu, les pyromanes prennent facilement la tangente. Laurent Akoun et consorts oublient que les populations qui ont souffert de leur méchanceté sont encore là, sans compter les Forces républicaines, dont la témérité n’est plus à démontrer. On l’a dit et répété pendant la crise, au plan sociologique, le FPI ne représente rien sur la scène politique. En outre, quand les balles sifflent, elles sifflent pour tout le monde. Dans les quartiers, les gens se connaissent bien. La première fois, le RHDP s’est montré ‘’gaou’’ et s’est fait malmener par l’article 125 et autres méthodes criminelles du clan Gbagbo.
La colère monte chez les militants RHDP et les soldats
Face à la volonté manifeste du FPI de renverser son régime ou de l’empêcher de travailler, les militants et les FRCI s’interrogent sur les intentions réelles du président Ouattara. Attend-il que son pouvoir soit véritablement mis à mal pour se rendre compte que le FPI n’est prêt ni aujourd’hui ni demain à le laisser avancer ? A-t-il déjà, oublié la déclaration de Damana Pickas qui depuis son exile avait dit qu’il ‘’mérite un coup d’Etat chaque semaine’’ ? Attend-il que la situation s’embrase et qu’il y ait des morts encore dans ses rangs pour traquer vigoureusement tous ces malfrats déguisés en militants et qui installent la psychose partout dans le pays ? Les soldats et les partisans RHDP s’interrogent et s’interrogent…Mais, le pouvoir se montre trop doux et trop faible. Pourtant, la violence est le seul discours que ce club de soutien comprenne le mieux.
Il faut les museler au maximum, si l’on veut qu’il y ait la paix en Côte d’Ivoire. Si le gouvernement se montre à la limite incapable de faire face, de façon énergique, à la chienlit des Refondateurs, les populations pourraient se voir obligées de se défendre elles-mêmes. Du moins, c’est le sentiment qui enfle depuis quelque temps. A Taï par exemple, et selon un soldat FRCI sur place, ce ne sont pas les moyens qui font défaut pour nettoyer la forêt qui sert d’arrière-base aux assaillants qui endeuillent les villages. Ce qui manque, c’est l’ordre de la hiérarchie, parce que les autorités ne veulent pas donner l’impression que la guerre n’est pas encore terminée. Et pourtant, les populations continuent de souffrir le martyr. Du fait d’individus qui n’en ont rien à cirer de la paix de Ouattara.
MASS DOMI
massoueudomi@yahoo.fr
Lors de la visite du chef de l’Etat à l’Ouest et particulièrement dans la région du Cavally (Guiglo), les affidés du criminel Gbagbo ont arboré des tee-shirts à son effigie pour scander des propos hostiles à l’hôte. Témoignage d’un soldat en mission dans cette zone : « Quand nous les avons vus avec ces tenues, nous leur avons exigé de les enlever et de les remplacer. Vu notre détermination, ils ont cédé ». Et de poursuivre avec regret. « A Toulepleu, Blolequin et Taï, on se demande bien ce que le FPI a mis dans la tête des gens. C’est plus fort qu’un envoûtement. Depuis quelques jours, des appels venant d’Abidjan leur ont demandé de s’apprêter à se procurer les pagnes qui seront imprimés pour le retour de Gbagbo le 18 juin. Ils y croient et se comportent en fonction. Ils vont même plus loin pour déclarer que le président Alassane Ouattara sera évincé du pouvoir pour prendre la place de Gbagbo au TPI. Ils font pitié et c’est vraiment dommage que des gens qui sont allés à l’école se laissent ainsi manipuler ». Ce témoignage montre encore une fois que cette région est dédiée par le FPI aux atrocités. Le sanguinaire Laurent Gbagbo et ses chiens de guerre se sont donnés le temps d’embrigader les pauvres populations qui ne demandent qu’à vivre.
Le FPI expose dangereusement ses militants à un massacre
Ils les ont dressées pour les livrer à la mort. A Abidjan, tout comme dans d’autres localités acquises au FPI, des messages circulent sur les portables, invitant leurs destinataires à quitter la capitale avant ‘’l’hécatombe’’ du 18 juin. Le mot d’ordre du match retour lancé par Koné Katina et Koua Justin fait son chemin. Les miliciens envahissent à nouveau les quartiers comme Yopougon. Si certains se cachent encore, d’autres sont visibles, même s’ils ont changé de look. Pendant la crise postélectorale, beaucoup d’armes avaient été dissimulées çà et là et c’est sur cet arsenal que miliciens et mercenaires comptent pour créer le chaos et faire fuir les investisseurs, à défaut de renverser Ouattara. En se conduisant ainsi, alors que le chef de l’Etat tend toujours la main pour la réconciliation, le FPI expose dangereusement ses militants à un massacre. Parce que, cette fois, personne ne s’en laissera compter et ce n’est pas sûr qu’après avoir mis le feu, les pyromanes prennent facilement la tangente. Laurent Akoun et consorts oublient que les populations qui ont souffert de leur méchanceté sont encore là, sans compter les Forces républicaines, dont la témérité n’est plus à démontrer. On l’a dit et répété pendant la crise, au plan sociologique, le FPI ne représente rien sur la scène politique. En outre, quand les balles sifflent, elles sifflent pour tout le monde. Dans les quartiers, les gens se connaissent bien. La première fois, le RHDP s’est montré ‘’gaou’’ et s’est fait malmener par l’article 125 et autres méthodes criminelles du clan Gbagbo.
La colère monte chez les militants RHDP et les soldats
Face à la volonté manifeste du FPI de renverser son régime ou de l’empêcher de travailler, les militants et les FRCI s’interrogent sur les intentions réelles du président Ouattara. Attend-il que son pouvoir soit véritablement mis à mal pour se rendre compte que le FPI n’est prêt ni aujourd’hui ni demain à le laisser avancer ? A-t-il déjà, oublié la déclaration de Damana Pickas qui depuis son exile avait dit qu’il ‘’mérite un coup d’Etat chaque semaine’’ ? Attend-il que la situation s’embrase et qu’il y ait des morts encore dans ses rangs pour traquer vigoureusement tous ces malfrats déguisés en militants et qui installent la psychose partout dans le pays ? Les soldats et les partisans RHDP s’interrogent et s’interrogent…Mais, le pouvoir se montre trop doux et trop faible. Pourtant, la violence est le seul discours que ce club de soutien comprenne le mieux.
Il faut les museler au maximum, si l’on veut qu’il y ait la paix en Côte d’Ivoire. Si le gouvernement se montre à la limite incapable de faire face, de façon énergique, à la chienlit des Refondateurs, les populations pourraient se voir obligées de se défendre elles-mêmes. Du moins, c’est le sentiment qui enfle depuis quelque temps. A Taï par exemple, et selon un soldat FRCI sur place, ce ne sont pas les moyens qui font défaut pour nettoyer la forêt qui sert d’arrière-base aux assaillants qui endeuillent les villages. Ce qui manque, c’est l’ordre de la hiérarchie, parce que les autorités ne veulent pas donner l’impression que la guerre n’est pas encore terminée. Et pourtant, les populations continuent de souffrir le martyr. Du fait d’individus qui n’en ont rien à cirer de la paix de Ouattara.
MASS DOMI
massoueudomi@yahoo.fr