Avant toute chose, il y a lieu de féliciter chaleureusement monsieur le ministre d'Etat, Gilbert Kafana Koné, et à travers lui, tout le gouvernement pour avoir pris la décision de suspendre les gestionnaires actuels de la Mutuelle. Ces gestionnaires d'où venait tout le malheur de l'organisation des fonctionnaires et agents de l'Etat. Cette mesure d'urgence était nécessaire pour arrêter l'hémorragie financière à laquelle la mutuelle aurait fini par succomber. En effet, c'est avec un réel ahurissement indigné que les Ivoiriens ont pris connaissance de ce qu'il convient de qualifier de gros esclandre qui sévit à la Mutuelle des fonctionnaires et agents de l'Etat. C'est à la faveur du conflit né entre les responsables de la structure que le pot aux roses a été mis au grand jour. Il s'agit bien de crimes économiques qui, en d'autre temps et sous d'autres cieux, auraient envoyé les auteurs devant un peloton d'exécution. Mais les temps ont changé, les bourreaux masqués ont laissé la place à des magistrats plus humains, plus préoccupés des droits de l'homme.
De quoi s'agit-il? Il se trouve qu'une faible minorité, un groupuscule, par des manœuvres dilatoires, avait réussi ,en tant que gestionnaires, à mettre la structure des fonctionnaires et agents de l'Etat en coupe réglée à leurs seules fins personnelle, en s'accordant des avantages financiers énormes au détriment des vrais bénéficiaires, les fonctionnaires et agents de l'Etat. C'est ainsi que le président du Conseil d'administration (Pca) touchait la rondelette somme de plus de 10 millions de Fcfa.
C'est plus que ce que touchent les membres du gouvernement, c'est plus que ce que touchent les présidents d'Institution, c'est même plus que ce que touche le Président de la République! Qui dit mieux? Combien sont-ils, les fonctionnaires et agents de l'Etat qui arrivent en fin de carrière avec une solde de 2 millions Fcfa? On est encore plus révolté lorsqu'on examine les composantes du salaire du Pca. Qu'on en juge: 1 900 000 Fcfa pour la dotation mensuelle en carburant. Cette somme correspond à plus de 3 000 litres de gas-oil ou 2600 litres de super. En tablant sur une moyenne de 20 litres aux 100, on s'aperçoit que monsieur le Pca est continuellement au volant de sa voiture. Pour quelles courses, tous les mois ? Si l'on considère les 600.000 Fcfa pour les recharges des cellulaires, en tenant compte du tarif moyen de 50 Fcfa la minute, on aboutit à des résultats qui heurtent le bon sens et la logique. Dix millions mensuels! Cette situation est condamnable à plus d'un titre. Premièrement, nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper qu'il n'est pas possible de trouver des fonctionnaires et agents de l'Etat qui atteignent 2 millions de Fcfa en allant à la retraite sans être président d'institution? S'il en existait, on les compterait sur les doigts d'une main. Deuxième aberration, la majorité des personnes qui se sucrent de façon si indigne sur le dos des agents de l'Etat, ne cotisent même pas à la mutuelle, parce que relevant du secteur privé. Enfin, le syndicaliste Soro Mamadou, secrétaire général d'une centrale résume la situation scandaleuse par cette formule implacable: « Holland N’da nous a trop volés; tous les mois, il pompe 89 millions de la mutuelle». Un calcul rapide permet de se rendre compte du désastre. 89 millions par mois, cela fait la somme faramineuse d’un milliard soixante huit millions. Étant donné que les reclassements des agents avec effet financier entraînent une augmentation de salaire qui se situe entre 3 000 et 50 000 Fcfa, en prenant une moyenne de 15 000 Fcfa, on constate qu'on aurait pu débloquer le salaire de 6 000 agents. En examinant le budget tel que présenté dans « Le Nouveau Réveil» du mardi 24 avril 2012, il apparaît nettement que les ex-dirigeants de la Mutuelle étaient, pour beaucoup, dans le blocage des avancements des agents de l'Etat.
Au vu de ce pillage organisé de notre bien commun qu'est la Mutuelle, l'adhérent que je suis, qui paie régulièrement ses cotisations, se joint à l'ensemble des hommes et des femmes qui se félicitent des décisions prises par le gouvernement et qui souhaitent que toute la lumière soit faite à l'issue de l'audit commandité par le gouvernement et que des sanctions appropriées suive. Le Président Ouattara l'a dit et l’a répété maintes fois, son accession à la magistrature suprême sonne la fin de l'impunité. On peut être sûr que de tels comportements ne sauraient être tolérés. Les abus de biens sociaux et les malversations dont le Pca et ses complices se sont rendus coupables, sont autant d'atteintes à la dignité et à l'honorabilité des travailleurs de l'Etat. De qui se moquaient le Pca et ses complices en voulant justifier l'injustifiable? Peut-on citer une seule entreprise en Côte d'Ivoire, qu'elle soit étatique ou privée qui organise chaque mois un séminaire qui lui coûte 45 millions? Une mutuelle n'est pas une école de formation. Que recèlent ces fameuses dépenses diverses qu'on ne peut pas préciser mais qui coûtent 240 millions annuels aux fonctionnaires? Les ex-dirigeants, animés du désir de s'enrichir, ne tenaient même pas compte du fait que depuis belle lurette, les postes «Divers» au «dépenses diverses» n'étaient plus admis dans les projets de budgets parce que sources de bien de malversations!
Comme, bien entendu, les résultats du travail de réflexion du Comité provisoire mis en place par la tutelle, sont attendus avec beaucoup d'espoir pour voir enfin une Mugefci véritablement et totalement au service des agents de l'Etat, une mutuelle qui permette de réaliser les objectifs pour lesquels elle a été initialement créée. Je souhaite que ce comité provisoire soit à l'écoute de tous, de tout sachant et de toutes les bonnes volontés désireuses d'enrichir les réflexions en cours, pour permettre au Comité provisoire de recueillir le maximum d'avis, de suggestions. C'est avec détermination et confiance que je m'inscris dans cette veine pour soumettre au Comité, les propositions et suggestions ci- dessous, en conformité avec les dispositions légales, telles que définies par la Cedeao.
1- désormais, la Mutuelle ne devra être gérée que par les hommes et les femmes qui cotisent à la structure, ce pour des raisons évidentes de morale et d'éthique. Du Pca aux membres du Conseil d'Administration, de la Direction générale, tous devront être choisis parmi les adhérents à la Mutuelle.
2- le Pca et les membres du Conseil d'administration, de la Direction générale seront nommés pour 3 ans, renouvelable une seule fois. Ceci, pour éviter l'incrustation et la prise de mauvaises habitudes.
3- une sérieuse et importante diminution devra être opérée sur le salaire du Pca et de ses collaborateurs. Nous proposons pour le Pca, un revenu maximum de 1.500.000 Fcfa, tout compris.
4- obligation absolue pour le Pca de déclarer ses biens meubles et immobiliers avant la prise de service.
5- éliminer le principe des jetons de présence. A défaut, abaisser considérablement le montant. Signalons que dans les démembrements de l'Etat que sont les Universités et les grandes Écoles, le principe des jetons de présence n'est pas instauré. Et pourtant ces institutions fonctionnent normalement. La suppression des jetons de présence permettra d'identifier, les bonnes volontés animées d'un esprit de sacrifice.
6- afin d'empêcher les abus, fixer les réunions du Conseil d'administration tous les 6 mois. En cas d'administration peut se réunir en sessions extraordinaire, sur autorisation de la tutelle nécessite le conseil.
7- revoir à la baisse la composition du Conseil d'administration, dans le souci de bien maîtriser les dépenses.
8- la Côte d'Ivoire a opté pour un régime libéral en matière d'économie
Les deux secteurs, le privé et le public, sont bien différenciés. La présence dans le Conseil d'administration de la Mugef-ci des centrales syndicales dont la majorité des adhérents relève du privé, est une aberration, à notre sens. Accorder une subvention auxdites centrales me paraît encore plus illogique, car cela revient en fait à accorder une subvention au privé, par une voie détournée, ce n'est pas normal. Quelle est la justification avancée pour expliquer cette « générosité» de la Mutuelle. Nous l'avons dit plus haut, on ne peut expliquer ce fait que par la seule volonté de corrompre les organisations syndicales. En effet, pour avoir dirigé un Etablissement public national (EPN), tout comme nos pairs présidents des universités, nous sommes à même d'affirmer que de telles pratiques nous étaient inconnues. Le Synares (le Syndicat de l'enseignement supérieur) n'a jamais émargé aux budgets de nos établissements. Par ailleurs, il est prouvé que le patronat ivoirien ne manifeste pas les mêmes dispositions envers les syndicats, quel que soit l'effectif des syndiqués. La corruption apparaît nettement comme l'objectif visé par les responsables de la Mutuelle.
9- Depuis un certain temps, des organisations d'anciens agents de l'Etat notamment, qui avaient été alertées par la gestion scabreuse de la Mugef-ci, se sont constituées en associations et ont mené une série de réflexions débouchant sur des propositions en vue d'aboutir à une restructuration de la Mutuelle, pour qu'elle réponde efficacement à l'attente des mutualistes. Il s'agit notamment de la Fédération nationale des retraités de Côte d'Ivoire (Fenarci). Cette fédération se compose de cinq (5) associations:
-Union nationale des fonctionnaires retraités de Côte d'Ivoire (Unafreci)
-Mutuelle des retraités de Côte d'Ivoire (Mureci)
-Union nationale des retraités de Côte d'Ivoire (Unareci)
-Union des femmes retraitées du Trésor de Côte d'Ivoire (Ufrtci)
- Association des retraités militaires et gendarmes de Côte d'Ivoire (Armgci)
Le Comité provisoire dispose à travers ces organisations, d'une bonne réserve de documentations susceptibles de faire avancer son travail de réflexion. Je souhaite, dans l'intérêt des fonctionnaires et agents de l'Etat, qu'une étroite collaboration puisse s'établir entre la Fenarci et le Comité provisoire. Ce qui, à notre sens ne devrait pas poser de problèmes, dès lors que le but poursuivi est le même, la satisfaction de l'attente des fonctionnaires et agents de l'Etat.
Dans une prochaine contribution, nous entendons évoquer les deux activités essentielles de la Mugefci, les pensions de retraite et les approvisionnements en médicaments.
Professeur Vakaba TOURE
Cel : 66 19 20 46
Mail: vakabatoure@gmail.com
De quoi s'agit-il? Il se trouve qu'une faible minorité, un groupuscule, par des manœuvres dilatoires, avait réussi ,en tant que gestionnaires, à mettre la structure des fonctionnaires et agents de l'Etat en coupe réglée à leurs seules fins personnelle, en s'accordant des avantages financiers énormes au détriment des vrais bénéficiaires, les fonctionnaires et agents de l'Etat. C'est ainsi que le président du Conseil d'administration (Pca) touchait la rondelette somme de plus de 10 millions de Fcfa.
C'est plus que ce que touchent les membres du gouvernement, c'est plus que ce que touchent les présidents d'Institution, c'est même plus que ce que touche le Président de la République! Qui dit mieux? Combien sont-ils, les fonctionnaires et agents de l'Etat qui arrivent en fin de carrière avec une solde de 2 millions Fcfa? On est encore plus révolté lorsqu'on examine les composantes du salaire du Pca. Qu'on en juge: 1 900 000 Fcfa pour la dotation mensuelle en carburant. Cette somme correspond à plus de 3 000 litres de gas-oil ou 2600 litres de super. En tablant sur une moyenne de 20 litres aux 100, on s'aperçoit que monsieur le Pca est continuellement au volant de sa voiture. Pour quelles courses, tous les mois ? Si l'on considère les 600.000 Fcfa pour les recharges des cellulaires, en tenant compte du tarif moyen de 50 Fcfa la minute, on aboutit à des résultats qui heurtent le bon sens et la logique. Dix millions mensuels! Cette situation est condamnable à plus d'un titre. Premièrement, nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper qu'il n'est pas possible de trouver des fonctionnaires et agents de l'Etat qui atteignent 2 millions de Fcfa en allant à la retraite sans être président d'institution? S'il en existait, on les compterait sur les doigts d'une main. Deuxième aberration, la majorité des personnes qui se sucrent de façon si indigne sur le dos des agents de l'Etat, ne cotisent même pas à la mutuelle, parce que relevant du secteur privé. Enfin, le syndicaliste Soro Mamadou, secrétaire général d'une centrale résume la situation scandaleuse par cette formule implacable: « Holland N’da nous a trop volés; tous les mois, il pompe 89 millions de la mutuelle». Un calcul rapide permet de se rendre compte du désastre. 89 millions par mois, cela fait la somme faramineuse d’un milliard soixante huit millions. Étant donné que les reclassements des agents avec effet financier entraînent une augmentation de salaire qui se situe entre 3 000 et 50 000 Fcfa, en prenant une moyenne de 15 000 Fcfa, on constate qu'on aurait pu débloquer le salaire de 6 000 agents. En examinant le budget tel que présenté dans « Le Nouveau Réveil» du mardi 24 avril 2012, il apparaît nettement que les ex-dirigeants de la Mutuelle étaient, pour beaucoup, dans le blocage des avancements des agents de l'Etat.
Au vu de ce pillage organisé de notre bien commun qu'est la Mutuelle, l'adhérent que je suis, qui paie régulièrement ses cotisations, se joint à l'ensemble des hommes et des femmes qui se félicitent des décisions prises par le gouvernement et qui souhaitent que toute la lumière soit faite à l'issue de l'audit commandité par le gouvernement et que des sanctions appropriées suive. Le Président Ouattara l'a dit et l’a répété maintes fois, son accession à la magistrature suprême sonne la fin de l'impunité. On peut être sûr que de tels comportements ne sauraient être tolérés. Les abus de biens sociaux et les malversations dont le Pca et ses complices se sont rendus coupables, sont autant d'atteintes à la dignité et à l'honorabilité des travailleurs de l'Etat. De qui se moquaient le Pca et ses complices en voulant justifier l'injustifiable? Peut-on citer une seule entreprise en Côte d'Ivoire, qu'elle soit étatique ou privée qui organise chaque mois un séminaire qui lui coûte 45 millions? Une mutuelle n'est pas une école de formation. Que recèlent ces fameuses dépenses diverses qu'on ne peut pas préciser mais qui coûtent 240 millions annuels aux fonctionnaires? Les ex-dirigeants, animés du désir de s'enrichir, ne tenaient même pas compte du fait que depuis belle lurette, les postes «Divers» au «dépenses diverses» n'étaient plus admis dans les projets de budgets parce que sources de bien de malversations!
Comme, bien entendu, les résultats du travail de réflexion du Comité provisoire mis en place par la tutelle, sont attendus avec beaucoup d'espoir pour voir enfin une Mugefci véritablement et totalement au service des agents de l'Etat, une mutuelle qui permette de réaliser les objectifs pour lesquels elle a été initialement créée. Je souhaite que ce comité provisoire soit à l'écoute de tous, de tout sachant et de toutes les bonnes volontés désireuses d'enrichir les réflexions en cours, pour permettre au Comité provisoire de recueillir le maximum d'avis, de suggestions. C'est avec détermination et confiance que je m'inscris dans cette veine pour soumettre au Comité, les propositions et suggestions ci- dessous, en conformité avec les dispositions légales, telles que définies par la Cedeao.
1- désormais, la Mutuelle ne devra être gérée que par les hommes et les femmes qui cotisent à la structure, ce pour des raisons évidentes de morale et d'éthique. Du Pca aux membres du Conseil d'Administration, de la Direction générale, tous devront être choisis parmi les adhérents à la Mutuelle.
2- le Pca et les membres du Conseil d'administration, de la Direction générale seront nommés pour 3 ans, renouvelable une seule fois. Ceci, pour éviter l'incrustation et la prise de mauvaises habitudes.
3- une sérieuse et importante diminution devra être opérée sur le salaire du Pca et de ses collaborateurs. Nous proposons pour le Pca, un revenu maximum de 1.500.000 Fcfa, tout compris.
4- obligation absolue pour le Pca de déclarer ses biens meubles et immobiliers avant la prise de service.
5- éliminer le principe des jetons de présence. A défaut, abaisser considérablement le montant. Signalons que dans les démembrements de l'Etat que sont les Universités et les grandes Écoles, le principe des jetons de présence n'est pas instauré. Et pourtant ces institutions fonctionnent normalement. La suppression des jetons de présence permettra d'identifier, les bonnes volontés animées d'un esprit de sacrifice.
6- afin d'empêcher les abus, fixer les réunions du Conseil d'administration tous les 6 mois. En cas d'administration peut se réunir en sessions extraordinaire, sur autorisation de la tutelle nécessite le conseil.
7- revoir à la baisse la composition du Conseil d'administration, dans le souci de bien maîtriser les dépenses.
8- la Côte d'Ivoire a opté pour un régime libéral en matière d'économie
Les deux secteurs, le privé et le public, sont bien différenciés. La présence dans le Conseil d'administration de la Mugef-ci des centrales syndicales dont la majorité des adhérents relève du privé, est une aberration, à notre sens. Accorder une subvention auxdites centrales me paraît encore plus illogique, car cela revient en fait à accorder une subvention au privé, par une voie détournée, ce n'est pas normal. Quelle est la justification avancée pour expliquer cette « générosité» de la Mutuelle. Nous l'avons dit plus haut, on ne peut expliquer ce fait que par la seule volonté de corrompre les organisations syndicales. En effet, pour avoir dirigé un Etablissement public national (EPN), tout comme nos pairs présidents des universités, nous sommes à même d'affirmer que de telles pratiques nous étaient inconnues. Le Synares (le Syndicat de l'enseignement supérieur) n'a jamais émargé aux budgets de nos établissements. Par ailleurs, il est prouvé que le patronat ivoirien ne manifeste pas les mêmes dispositions envers les syndicats, quel que soit l'effectif des syndiqués. La corruption apparaît nettement comme l'objectif visé par les responsables de la Mutuelle.
9- Depuis un certain temps, des organisations d'anciens agents de l'Etat notamment, qui avaient été alertées par la gestion scabreuse de la Mugef-ci, se sont constituées en associations et ont mené une série de réflexions débouchant sur des propositions en vue d'aboutir à une restructuration de la Mutuelle, pour qu'elle réponde efficacement à l'attente des mutualistes. Il s'agit notamment de la Fédération nationale des retraités de Côte d'Ivoire (Fenarci). Cette fédération se compose de cinq (5) associations:
-Union nationale des fonctionnaires retraités de Côte d'Ivoire (Unafreci)
-Mutuelle des retraités de Côte d'Ivoire (Mureci)
-Union nationale des retraités de Côte d'Ivoire (Unareci)
-Union des femmes retraitées du Trésor de Côte d'Ivoire (Ufrtci)
- Association des retraités militaires et gendarmes de Côte d'Ivoire (Armgci)
Le Comité provisoire dispose à travers ces organisations, d'une bonne réserve de documentations susceptibles de faire avancer son travail de réflexion. Je souhaite, dans l'intérêt des fonctionnaires et agents de l'Etat, qu'une étroite collaboration puisse s'établir entre la Fenarci et le Comité provisoire. Ce qui, à notre sens ne devrait pas poser de problèmes, dès lors que le but poursuivi est le même, la satisfaction de l'attente des fonctionnaires et agents de l'Etat.
Dans une prochaine contribution, nous entendons évoquer les deux activités essentielles de la Mugefci, les pensions de retraite et les approvisionnements en médicaments.
Professeur Vakaba TOURE
Cel : 66 19 20 46
Mail: vakabatoure@gmail.com