Dans son édition N° 2541 du mardi 15 mai 2012, L’Intelligent d’Abidjan a révélé la formation d’un gouvernement qui se mettrait en place du côté des cadres pro-Gbagbo en exil au Ghana. L’article ci-dessous a suscité la réaction de Damana Pickass et ses amis qui parlent plutôt d’un complot.
Les informations sur la résistance des pro-Gbagbo au président Alassane Ouattara se poursuivent. On annonce même la formation d’un prochain gouvernement qui se mettrait en place du côté des cadres pro-Gbagbo en exil au Ghana. Des noms de plusieurs membres du dernier gouvernement du président Gbagbo figureraient sur la liste. Comme chef de file, c’est le nom de Damana Pickass, ancien conseiller du ministre Tagro Désiré et célèbre déchireur des résultats de la CEI, qui revient. Joint hier pour savoir ce qu’il en était avec la formation de ce gouvernement dont on parle tant, Damana Pickass pressenti pour être le Premier ministre nous a ramené à son chargé de communication, Fofana Youssouf, qui a parlé de rumeurs : ‘’Ce sont des rumeurs et nous n’avons aucune intention de former un quelconque gouvernement. Damana Pickas n’est Premier ministre d’aucun gouvernement comme on tente de le faire croire. Ce n’est pas ça notre priorité. Notre priorité aujourd’hui, c’est la libération du président Laurent Gbagbo et de tous les détenus LMP, la liberté d’expression, le respect des droits de l’homme et l’effectivité de la démocratie en Côte d’Ivoire. Nous prendrons le pouvoir par la voie démocratique. La prise du pouvoir ne se fera pas par un coup d’Etat comme d’autres l’ont fait pour se hisser là où ils sont. La formation d’un gouvernement avec pour Premier ministre Damana Pickas n’est pas à l’ordre du jour. Nous ne nous reconnaissons pas dans cette histoire de formation de gouvernement parallèle en exil qu’on veut nous attribuer, pour justifier des mesures à prendre’’, s’est défendu Fofana Youssouf. Cela dit à Accra, les exilés ivoiriens ne chôment pas. Ils viennent de mettre sur pied une nouvelle formation politique dénommée : l’Union des Socialistes spirituels de Côte d’Ivoire. Cette formation politique a pour président, Serges Agnero, ancien cadre du ministère de la Construction qui avait créé l’Union des Socialistes du FPI, un courant au sein du Front Populaire Ivoirien pour dit-il incarner les vraies valeurs du socialisme. Dans quelques jours, Serges Agnero mettra sur le marché « Le Souverain », un autre quotidien proche de Laurent Gbagbo pour véhiculer les idéaux de son parti politique.
DV
Les informations sur la résistance des pro-Gbagbo au président Alassane Ouattara se poursuivent. On annonce même la formation d’un prochain gouvernement qui se mettrait en place du côté des cadres pro-Gbagbo en exil au Ghana. Des noms de plusieurs membres du dernier gouvernement du président Gbagbo figureraient sur la liste. Comme chef de file, c’est le nom de Damana Pickass, ancien conseiller du ministre Tagro Désiré et célèbre déchireur des résultats de la CEI, qui revient. Joint hier pour savoir ce qu’il en était avec la formation de ce gouvernement dont on parle tant, Damana Pickass pressenti pour être le Premier ministre nous a ramené à son chargé de communication, Fofana Youssouf, qui a parlé de rumeurs : ‘’Ce sont des rumeurs et nous n’avons aucune intention de former un quelconque gouvernement. Damana Pickas n’est Premier ministre d’aucun gouvernement comme on tente de le faire croire. Ce n’est pas ça notre priorité. Notre priorité aujourd’hui, c’est la libération du président Laurent Gbagbo et de tous les détenus LMP, la liberté d’expression, le respect des droits de l’homme et l’effectivité de la démocratie en Côte d’Ivoire. Nous prendrons le pouvoir par la voie démocratique. La prise du pouvoir ne se fera pas par un coup d’Etat comme d’autres l’ont fait pour se hisser là où ils sont. La formation d’un gouvernement avec pour Premier ministre Damana Pickas n’est pas à l’ordre du jour. Nous ne nous reconnaissons pas dans cette histoire de formation de gouvernement parallèle en exil qu’on veut nous attribuer, pour justifier des mesures à prendre’’, s’est défendu Fofana Youssouf. Cela dit à Accra, les exilés ivoiriens ne chôment pas. Ils viennent de mettre sur pied une nouvelle formation politique dénommée : l’Union des Socialistes spirituels de Côte d’Ivoire. Cette formation politique a pour président, Serges Agnero, ancien cadre du ministère de la Construction qui avait créé l’Union des Socialistes du FPI, un courant au sein du Front Populaire Ivoirien pour dit-il incarner les vraies valeurs du socialisme. Dans quelques jours, Serges Agnero mettra sur le marché « Le Souverain », un autre quotidien proche de Laurent Gbagbo pour véhiculer les idéaux de son parti politique.
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