Dans sa parution de ce jour mardi 15 mai 2012, le quotidien ivoirien bardait à sa Une
En parcourant l’article, on s’attendait à voir des informations de première main avec preuves à l’appui sur le prétendu coup d’Etat en préparation qui aboutirait au renversement du pouvoir en place. Mais, aussi des informations exhaustives sur ce gouvernement. Que nenni.
Grande fut notre surprise de constater que, l’article s’est exclusivement focalise sur la personne de Damana Pickass. Cela est assez curieux et suscite en nous beaucoup d’interrogations. Pourquoi l’article qui parle d’un gouvernement LMP en exil ne stigmatise qu’un individu fut-il Premier Ministre ? Le Premier ministre n’est pas la personne la plus importante du gouvernement, surtout dans un contexte de putsch. Qui est le Chef d’Etat de ce prétendu gouvernement ? Que va faire ce gouvernement ? A toutes ces questions fondamentales l’article ne donne aucune réponse, ni même allusion. Cela finit par nous convaincre sur la légèreté et le caractère peu sérieux de l’article qui, à coup sûr, jette un discrédit sur un quotidien qui a réussi à se faire une place de choix dans le paysage médiatique ivoirien et pour lequel nous avons respect et considération. Il s’agit ni plus ni moins d’une manipulation, d’une conspiration, d’un complot contre la personne de M. Damana Pickass qui vise à ternir son image en le faisant passer pour un vulgaire putschiste. Sachez que M Damana Adia Pickass est un héro national qui a mis à nu et stoppé le coup d’Etat électoral contre le Président Laurent Gbagbo lors des dernières présidentielles en Côte d’Ivoire. Cet acteur incontournable, honnête, courageux, travailleur et discret de la scène politique ivoirienne s’est imposé par la réalité du terrain comme le leader des patriotes en exil.
Est-ce cela qui dérange certaines officines aussi bien à Accra qu’en Côte d’Ivoire? Pourquoi veut-on avec une légèreté déconcertante l’exposer et le livrer à la vindicte ? Le titre du journal en lui-même est ponctué par un point d’interrogation qui traduit toute l’incertitude et le doute sur la véracité de ces accusations. Mais, comme le désir de diaboliser Pickass et porter atteinte à son honorabilité était la finalité de cet article, le journaliste y est quand même allé sans ménagement. Si le respectable quotidien Ivoirien n’est pas l’instigateur principal de cette cabale pernicieuse contre Damana Pickass, il en est au moins le bras séculier, voir le complice. Par ailleurs, en le présentant sous le terme tendancieux, à la limite méprisant du < déchireur de la CEI>, le quotidien L’Intelligent d’Abidjan est à fond dans ce complot. Et pour corroborer le tout, l’article verse dans un mensonge grossier en prétendant avoir eu M. Pickass au téléphone. Jamais, au grand jamais le journaliste n’a eu aucun contact avec M. Damana Adia Pickass comme cela a été mentionné dans l’article qu’il aurait ramené à Monsieur Fofana Youssouf. Cela est un gros mensonge qui ne laisse aucun intérêt à cet article. Nous voulons, enfin, tenir L’Intelligent d’Abidjan pour responsable à titre principal pour tout ce qui pourrait advenir à Monsieur Damana Pickass. Nous rassurons les Ivoiriens et la grande famille des démocrates que M. Damana. A. Pickass est ce démocrate au sens le plus noble du terme. Par ailleurs, il est utile de rappeler à l’ensemble des Ivoiriens, mais plus singulièrement aux hommes de medias que nous sommes tous des Ivoiriens et qu’ils rendraient service à la Côte d’Ivoire en tentant de rapprocher les tendances antagonistes que de vouer certains aux hégémonies en les traitant de tous les péchés d’Israël. Nous n’allons pas mourir en exil, nous survivrons à ces moments difficiles et nous retournerons un jour dans notre pays et nous serons à nouveau face à face, à travailler pour le développement de ce pays. Chaque Ivoirien répondra de tous ses actes devant le tribunal de l’histoire quel que soit le temps. Merci à l’Intelligent d’Abidjan de publier dans les mêmes proportions ce modeste point de vue.
Pour la Copie
Le bureau exécutif
Source : service de communication de la Copie
Le 16 mai 2012
En parcourant l’article, on s’attendait à voir des informations de première main avec preuves à l’appui sur le prétendu coup d’Etat en préparation qui aboutirait au renversement du pouvoir en place. Mais, aussi des informations exhaustives sur ce gouvernement. Que nenni.
Grande fut notre surprise de constater que, l’article s’est exclusivement focalise sur la personne de Damana Pickass. Cela est assez curieux et suscite en nous beaucoup d’interrogations. Pourquoi l’article qui parle d’un gouvernement LMP en exil ne stigmatise qu’un individu fut-il Premier Ministre ? Le Premier ministre n’est pas la personne la plus importante du gouvernement, surtout dans un contexte de putsch. Qui est le Chef d’Etat de ce prétendu gouvernement ? Que va faire ce gouvernement ? A toutes ces questions fondamentales l’article ne donne aucune réponse, ni même allusion. Cela finit par nous convaincre sur la légèreté et le caractère peu sérieux de l’article qui, à coup sûr, jette un discrédit sur un quotidien qui a réussi à se faire une place de choix dans le paysage médiatique ivoirien et pour lequel nous avons respect et considération. Il s’agit ni plus ni moins d’une manipulation, d’une conspiration, d’un complot contre la personne de M. Damana Pickass qui vise à ternir son image en le faisant passer pour un vulgaire putschiste. Sachez que M Damana Adia Pickass est un héro national qui a mis à nu et stoppé le coup d’Etat électoral contre le Président Laurent Gbagbo lors des dernières présidentielles en Côte d’Ivoire. Cet acteur incontournable, honnête, courageux, travailleur et discret de la scène politique ivoirienne s’est imposé par la réalité du terrain comme le leader des patriotes en exil.
Est-ce cela qui dérange certaines officines aussi bien à Accra qu’en Côte d’Ivoire? Pourquoi veut-on avec une légèreté déconcertante l’exposer et le livrer à la vindicte ? Le titre du journal en lui-même est ponctué par un point d’interrogation qui traduit toute l’incertitude et le doute sur la véracité de ces accusations. Mais, comme le désir de diaboliser Pickass et porter atteinte à son honorabilité était la finalité de cet article, le journaliste y est quand même allé sans ménagement. Si le respectable quotidien Ivoirien
Pour la Copie
Le bureau exécutif
Source : service de communication de la Copie
Le 16 mai 2012
