ABIDJAN - Les sept Casques bleus du contingent nigérien de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci) tués le 8 juin dans l`ouest du pays sont tombés dans une embuscade tendue par des "mercenaires burkinabés" pro- Ouattara, a indiqué vendredi à Abidjan le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) de l`ex président Laurent Gbagbo.
"Les sept Casques bleus ont été tués par des mercenaires burkinabés appuyés par des dozo (chasseurs traditionnels) qui opèrent au vu et au sus de tous dans l`ouest", a fait savoir le secrétaire général du FPI, Laurent Akoun, lors d`une conférence de presse.
Outre les sept Casques bleus, une vingtaine de personnes ont été tuées dans des attaques attribuées à des mercenaires libériens et miliciens pro-Gbagbo par les autorités ivoiriennes.
Le FPI dénonce une "diabolisation" de Laurent Gbagbo et ses partisans.
Ces accusations visent, selon lui, à "charger à fond" Laurent Gbagbo et le faire passer pour "un criminel qui refuse de se repentir et réduire au silence ses proches, face à la quasi certitude grandissante et à sa très prochaine probable libération".
Laurent Gbagbo est détenu à la Cour pénale internationale (CPI) de la Haye où il attend d`être jugé pour "crimes contre l`humanité " lors de la crise post-électorale qui a fait au moins 3.000 morts.
Pour Laurent Akoun, ces attaques sont une "diversion macabre" et un "complot" ourdi par Alassane Ouattara pour "accélérer l`expropriation des paysans autochtones et parachever la colonisation burkinabé en cours pour livrer les ressources nationales aux multinationales".
Les "mercenaires burkinabés" installés dans les forêts classées de l`ouest ont constitué, avec les dozo, des supplétifs pour les Forces pro-Ouattara dans les combats qui ont abouti à la chute de Laurent Gbagbo le 11 avril dernier, affirme le secrétaire général du FPI.
"Ils sont connus mais jamais interpellés", dénonce Laurent Akoun qui cite les nommés Amandé Ourémi et Issiaka Tiendrébéogo comme les chefs de ces "mercenaires".
Ces "chefs de guerre" sont "en mission commandée" pour opérer une "main mise" notamment sur le cacao dont la Côte d`Ivoire est le premier producteur mondial, affirme Laurent Akoun.
"Les sept Casques bleus ont été tués par des mercenaires burkinabés appuyés par des dozo (chasseurs traditionnels) qui opèrent au vu et au sus de tous dans l`ouest", a fait savoir le secrétaire général du FPI, Laurent Akoun, lors d`une conférence de presse.
Outre les sept Casques bleus, une vingtaine de personnes ont été tuées dans des attaques attribuées à des mercenaires libériens et miliciens pro-Gbagbo par les autorités ivoiriennes.
Le FPI dénonce une "diabolisation" de Laurent Gbagbo et ses partisans.
Ces accusations visent, selon lui, à "charger à fond" Laurent Gbagbo et le faire passer pour "un criminel qui refuse de se repentir et réduire au silence ses proches, face à la quasi certitude grandissante et à sa très prochaine probable libération".
Laurent Gbagbo est détenu à la Cour pénale internationale (CPI) de la Haye où il attend d`être jugé pour "crimes contre l`humanité " lors de la crise post-électorale qui a fait au moins 3.000 morts.
Pour Laurent Akoun, ces attaques sont une "diversion macabre" et un "complot" ourdi par Alassane Ouattara pour "accélérer l`expropriation des paysans autochtones et parachever la colonisation burkinabé en cours pour livrer les ressources nationales aux multinationales".
Les "mercenaires burkinabés" installés dans les forêts classées de l`ouest ont constitué, avec les dozo, des supplétifs pour les Forces pro-Ouattara dans les combats qui ont abouti à la chute de Laurent Gbagbo le 11 avril dernier, affirme le secrétaire général du FPI.
"Ils sont connus mais jamais interpellés", dénonce Laurent Akoun qui cite les nommés Amandé Ourémi et Issiaka Tiendrébéogo comme les chefs de ces "mercenaires".
Ces "chefs de guerre" sont "en mission commandée" pour opérer une "main mise" notamment sur le cacao dont la Côte d`Ivoire est le premier producteur mondial, affirme Laurent Akoun.