ABIDJAN - L`enquête ouverte par l`ONU sur l`attaque le 8 juin dans l`ouest ivoirien qui a fait sept morts parmi les Casques bleus de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (ONUCI) se poursuit, selon la mission ONUsienne à Abidjan.
"L`enquête que mène les Nations unies sur l`attaque perpétrée le 8 juin contre la patrouille de Casques bleus sur l`axe Taï-Para se poursuit", a indiqué jeudi la porte-parole de l`ONUCI, Sylvie van den Wildenberg, lors d`une conférence de presse.
Selon Mme Wildenberg, la procédure prévoit "plusieurs phases" avec "tout d`abord l`enquête préliminaire" menée par la Force de l`ONUCI avec l`appui d`autres composantes de la Mission.
"Elle est en voie de finalisation", assure la porte-parole de l`ONUCI.
Les résultats de l`enquête préliminaire seront ensuite remis à l`instance qui est chargée de poursuivre les investigations.
"C`est une commission d`enquête composée de membres de l`ONUCI mais également du Siège des Nations unies à New York", précise Sylvie van den Wildenberg.
Sept Casques bleus du contingent nigérien de l`ONUCI ont péri dans une embuscade tendue par des hommes armés dans le village de Para, alors qu`ils allaient porter secours aux populations civiles.
Le gouvernement ivoirien a accusé des mercenaires libériens et des miliciens favorables à l`ex président Laurent Gbagbo.
Lors d`une cérémonie d`hommage à Abidjan, le secrétaire général adjoint des Nations unies chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a espéré que les auteurs de l`attaque seront appréhendés et que justice sera rendue.
L`armée ivoirienne a présenté mardi soir, à la télévision nationale, six hommes dont deux Libériens et quatre Ivoiriens soupçonnés d`avoir participé aux attaques dans l`ouest frontalier avec le Liberia.
Dans un communiqué publié mercredi, l`organisation internationale de défense des droits de l`homme, Human Rights Watch, a dénoncé des détentions "arbitraires" par les forces armées ivoiriennes à l`encontre de jeunes issus de "groupes ethniques perçus comme pro-Gbagbo".
"L`enquête que mène les Nations unies sur l`attaque perpétrée le 8 juin contre la patrouille de Casques bleus sur l`axe Taï-Para se poursuit", a indiqué jeudi la porte-parole de l`ONUCI, Sylvie van den Wildenberg, lors d`une conférence de presse.
Selon Mme Wildenberg, la procédure prévoit "plusieurs phases" avec "tout d`abord l`enquête préliminaire" menée par la Force de l`ONUCI avec l`appui d`autres composantes de la Mission.
"Elle est en voie de finalisation", assure la porte-parole de l`ONUCI.
Les résultats de l`enquête préliminaire seront ensuite remis à l`instance qui est chargée de poursuivre les investigations.
"C`est une commission d`enquête composée de membres de l`ONUCI mais également du Siège des Nations unies à New York", précise Sylvie van den Wildenberg.
Sept Casques bleus du contingent nigérien de l`ONUCI ont péri dans une embuscade tendue par des hommes armés dans le village de Para, alors qu`ils allaient porter secours aux populations civiles.
Le gouvernement ivoirien a accusé des mercenaires libériens et des miliciens favorables à l`ex président Laurent Gbagbo.
Lors d`une cérémonie d`hommage à Abidjan, le secrétaire général adjoint des Nations unies chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a espéré que les auteurs de l`attaque seront appréhendés et que justice sera rendue.
L`armée ivoirienne a présenté mardi soir, à la télévision nationale, six hommes dont deux Libériens et quatre Ivoiriens soupçonnés d`avoir participé aux attaques dans l`ouest frontalier avec le Liberia.
Dans un communiqué publié mercredi, l`organisation internationale de défense des droits de l`homme, Human Rights Watch, a dénoncé des détentions "arbitraires" par les forces armées ivoiriennes à l`encontre de jeunes issus de "groupes ethniques perçus comme pro-Gbagbo".