Ainsi pour monsieur Miaka Oureto, « la mort des 7 casques bleus est une diversion » comme l’a sans doute été celle des 9 soldats français tués à Bouaké par l’escadrille de monsieur Gbagbo en 2004.
Finalement au FPI et à la refondation, il n’y a de vérité que celle confectionnée par leurs officines. En dehors de ces laboratoires, tout est invention grotesque, tout est affabulation, tout est faux !
La vérité est FPI et on ne peut la trouver ailleurs.
Qu’on se souvienne des femmes massacrées par des tirs d’obus lâchés par les tanks de monsieur Gbagbo. Pour le FPI, c’était une banale mise en scène, quelqu’un étant sans doute passé là avec des fûts de bissap pour faire vrai puisque cela ressemble au sang versé par ces braves martyres.
Que dit alors monsieur Miaka Oureto de l’enlèvement et de la disparition de monsieur Guy André KIEFFER, de l’assassinat de monsieur Jean Hélène, de l’enlèvement et de l’exécution au palais présidentiel de monsieur Lambelin et de ses compagnons, de ces viols, meurtres et assassinats sans nombre objets de charniers entassés dans des fosses communes sans nombre?
Parlera-t-il là aussi de diversion et de mise en scène pour saluer les exploits sinistres, horribles et terrifiants de la hideuse refondation ?
Quand viendra le jour où un ponte du FPI reconnaitra enfin les crimes et abominations de ce régime d’horreur et de terreur que le ciel a permis qu’il s’installe à la tête de notre pays pour nous punir de nos méchancetés et de notre inconscience ?
Car c’est en ce moment-là seulement qu’on pourra parler de réconciliation et de paix.
Le négationnisme systématique des refondateurs nous donne froid dans le dos car nous nous demandons quelle est cette conscience ( ?) qui peut délibérément décider d’ignorer les larmes de sang du peuple de Côte-d’Ivoire meurtri et martyrisé par les bourreaux de la refondation qui ont choisi d’instaurer et d’installer un régime de terreur pour asseoir leur pouvoir et leur domination.
Les escadrons de la mort jouaient à merveille le rôle des tontons macoutes de sinistre mémoire et la garde républicaine était devenue tout simplement cette garde prétorienne que ni Caligula, ni Néron n’auraient enviée.
Pendant dix ans, les refondateurs, dont monsieur Miaka Oureto, ont fait pleuvoir sur la Côte-d’Ivoire un déluge de souffre et de feu semant partout détresse, misère et désolation et ils ont malgré tout l’outrecuidance de se proclamer innocents et saints attendant que le peuple de Côte-d’Ivoire et particulièrement le pouvoir du président OUATTARA viennent en pénitents leur demander pardon pour la « faute impardonnable » qu’ils ont commise en boutant monsieur Gbagbo hors du pouvoir et en mettant fin aux souffrances indicibles des Ivoiriens.
Heureusement que nous savons tous qu’il s’agit là des méthodes de tous les régimes hitléro-staliniens qui ne savent qu’imposer leur volonté au peuple.
Heureusement que nous savons également que pour monsieur Gbagbo et le FPI, la mauvaise foi est la denrée la mieux partagée au monde.
On peut donc se permettre de tricher, de mentir, de travestir ostensiblement la vérité, on est dans la logique du FPI pour qui la fin justifie les moyens.
N’est-ce pas ce parti qui a décidé d’introduire la violence comme moyen d’action politique dans notre pays ? Les premières casses, les premières destructions de biens publics et privés ne sont-elles pas le fait de ce parti dont le chef s’était livré à une danse endiablée au Gabon après le coup d’Etat du 24 décembre 1999 ?
La violence est donc banale pour le FPI et il est donc normal que monsieur Miaka Oureto ou monsieur Akoun Laurent parlent de diversion ou de mise en scène puisque ni eux-mêmes ni aucun des leurs n’ont été victimes de la terrible machine à occire que leur régime a mise en place au point que l’Ivoirien se méfiait de l’Ivoirien ne sachant pas si les propos anodins qu’il a tenus ne le conduiront pas au poteau d’exécution.
Personne ne pouvait imaginer que l’Ivoirien deviendrait un animal féroce pour l’Ivoirien, l’intérêt égoïste et égocentrique l’emportant sur tout, particulièrement sur l’intérêt national.
Car monsieur Gbagbo et le FPI ne sont jamais arrivés au pouvoir pour faire le bonheur de leurs ( ?) compatriotes.
Ils voulaient le pouvoir et c’est tout. Pousse- toi pour que je m’y mette.
Ensuite, c’est une bande de copains et de coquins, généralement totalement ignares, qui a pignon sur rue et en impose aux autres.
Objectif unique et prioritaire : s’enrichir au plus vite et par tous les moyens surtout les plus vils et les plus criminels.
C’est cela que notre pays a eu pour son malheur !
Avec la création de la Commission Vérité Dialogue et réconciliation, on espérait que ces bourreaux auraient enfin un peu de cœur pour reconnaitre leurs méfaits et leurs dérives et qu’ils en demanderaient pardon aux Ivoiriens.
Que non, les coups d’Etat déjoués, les attaques de mercenaires surtout à la frontière avec le Liberia, les actions pernicieuses et perfides des milices à l’intérieur du pays n’auraient pour seul but que de charger la barque de monsieur Gbagbo pour qu’il reste indéfiniment à La Haye.
Comme si les crimes horribles déjà relevés n’étaient pas suffisants !
Non monsieur Miaka Oureto, non monsieur Akoun Laurent, non à vous tous pontes du FPI qui faites semblant d’ignorer le délabrement dans lequel vous avez mis le pays, exécutant sans pitié tout contestataire, il n’y a ni mise en scène, ni diversion mais la poursuite des actes odieux que vous avez toujours posés en dix ans de terreur.
La diversion et la mise en scène, c’est votre tentative de créer une nouvelle colonisation, d’inventer un nouveau colonisateur auquel vous étiez censés résister ( ?) et à qui vous livriez ( ?) selon vous une guerre de libération d’arrière-garde…pour toute l’Afrique !
Si le ridicule tuait !
Finalement au FPI et à la refondation, il n’y a de vérité que celle confectionnée par leurs officines. En dehors de ces laboratoires, tout est invention grotesque, tout est affabulation, tout est faux !
La vérité est FPI et on ne peut la trouver ailleurs.
Qu’on se souvienne des femmes massacrées par des tirs d’obus lâchés par les tanks de monsieur Gbagbo. Pour le FPI, c’était une banale mise en scène, quelqu’un étant sans doute passé là avec des fûts de bissap pour faire vrai puisque cela ressemble au sang versé par ces braves martyres.
Que dit alors monsieur Miaka Oureto de l’enlèvement et de la disparition de monsieur Guy André KIEFFER, de l’assassinat de monsieur Jean Hélène, de l’enlèvement et de l’exécution au palais présidentiel de monsieur Lambelin et de ses compagnons, de ces viols, meurtres et assassinats sans nombre objets de charniers entassés dans des fosses communes sans nombre?
Parlera-t-il là aussi de diversion et de mise en scène pour saluer les exploits sinistres, horribles et terrifiants de la hideuse refondation ?
Quand viendra le jour où un ponte du FPI reconnaitra enfin les crimes et abominations de ce régime d’horreur et de terreur que le ciel a permis qu’il s’installe à la tête de notre pays pour nous punir de nos méchancetés et de notre inconscience ?
Car c’est en ce moment-là seulement qu’on pourra parler de réconciliation et de paix.
Le négationnisme systématique des refondateurs nous donne froid dans le dos car nous nous demandons quelle est cette conscience ( ?) qui peut délibérément décider d’ignorer les larmes de sang du peuple de Côte-d’Ivoire meurtri et martyrisé par les bourreaux de la refondation qui ont choisi d’instaurer et d’installer un régime de terreur pour asseoir leur pouvoir et leur domination.
Les escadrons de la mort jouaient à merveille le rôle des tontons macoutes de sinistre mémoire et la garde républicaine était devenue tout simplement cette garde prétorienne que ni Caligula, ni Néron n’auraient enviée.
Pendant dix ans, les refondateurs, dont monsieur Miaka Oureto, ont fait pleuvoir sur la Côte-d’Ivoire un déluge de souffre et de feu semant partout détresse, misère et désolation et ils ont malgré tout l’outrecuidance de se proclamer innocents et saints attendant que le peuple de Côte-d’Ivoire et particulièrement le pouvoir du président OUATTARA viennent en pénitents leur demander pardon pour la « faute impardonnable » qu’ils ont commise en boutant monsieur Gbagbo hors du pouvoir et en mettant fin aux souffrances indicibles des Ivoiriens.
Heureusement que nous savons tous qu’il s’agit là des méthodes de tous les régimes hitléro-staliniens qui ne savent qu’imposer leur volonté au peuple.
Heureusement que nous savons également que pour monsieur Gbagbo et le FPI, la mauvaise foi est la denrée la mieux partagée au monde.
On peut donc se permettre de tricher, de mentir, de travestir ostensiblement la vérité, on est dans la logique du FPI pour qui la fin justifie les moyens.
N’est-ce pas ce parti qui a décidé d’introduire la violence comme moyen d’action politique dans notre pays ? Les premières casses, les premières destructions de biens publics et privés ne sont-elles pas le fait de ce parti dont le chef s’était livré à une danse endiablée au Gabon après le coup d’Etat du 24 décembre 1999 ?
La violence est donc banale pour le FPI et il est donc normal que monsieur Miaka Oureto ou monsieur Akoun Laurent parlent de diversion ou de mise en scène puisque ni eux-mêmes ni aucun des leurs n’ont été victimes de la terrible machine à occire que leur régime a mise en place au point que l’Ivoirien se méfiait de l’Ivoirien ne sachant pas si les propos anodins qu’il a tenus ne le conduiront pas au poteau d’exécution.
Personne ne pouvait imaginer que l’Ivoirien deviendrait un animal féroce pour l’Ivoirien, l’intérêt égoïste et égocentrique l’emportant sur tout, particulièrement sur l’intérêt national.
Car monsieur Gbagbo et le FPI ne sont jamais arrivés au pouvoir pour faire le bonheur de leurs ( ?) compatriotes.
Ils voulaient le pouvoir et c’est tout. Pousse- toi pour que je m’y mette.
Ensuite, c’est une bande de copains et de coquins, généralement totalement ignares, qui a pignon sur rue et en impose aux autres.
Objectif unique et prioritaire : s’enrichir au plus vite et par tous les moyens surtout les plus vils et les plus criminels.
C’est cela que notre pays a eu pour son malheur !
Avec la création de la Commission Vérité Dialogue et réconciliation, on espérait que ces bourreaux auraient enfin un peu de cœur pour reconnaitre leurs méfaits et leurs dérives et qu’ils en demanderaient pardon aux Ivoiriens.
Que non, les coups d’Etat déjoués, les attaques de mercenaires surtout à la frontière avec le Liberia, les actions pernicieuses et perfides des milices à l’intérieur du pays n’auraient pour seul but que de charger la barque de monsieur Gbagbo pour qu’il reste indéfiniment à La Haye.
Comme si les crimes horribles déjà relevés n’étaient pas suffisants !
Non monsieur Miaka Oureto, non monsieur Akoun Laurent, non à vous tous pontes du FPI qui faites semblant d’ignorer le délabrement dans lequel vous avez mis le pays, exécutant sans pitié tout contestataire, il n’y a ni mise en scène, ni diversion mais la poursuite des actes odieux que vous avez toujours posés en dix ans de terreur.
La diversion et la mise en scène, c’est votre tentative de créer une nouvelle colonisation, d’inventer un nouveau colonisateur auquel vous étiez censés résister ( ?) et à qui vous livriez ( ?) selon vous une guerre de libération d’arrière-garde…pour toute l’Afrique !
Si le ridicule tuait !
