La meilleure défense c’est l’attaque.
Dire une chose et se dédire ne fait pas de soi un homme de vérité. Dire le contraire de ce que l’on fait, c’est laisser le soin aux autres de vous traiter de menteur. Après dix années de pouvoir de Laurent Gbagbo et son Front populaire ivoirien, il est difficile à un Ivoirien de dire que nous avons eu affaire à une bande d’hommes de parole.
D’ailleurs, de leur mentor, ils disaient : « Laurent Gbagbo dit que ce n’est pas ce qu’il dit qui importe, mais ce qu’il fait ». Depuis, on sait ce qu’il a fait et qui l’a conduit dans ce lointain pays d’où le retour est lourdement compromis. Fidèles comme des adeptes de ecte, les militants restés au pays agissent tous dans la même logique de leur tradition : Revendiquer, commettre des dérives et ne jamais se reconnaître responsables. Laurent Gbagbo à toujours clamé n’être mêlé à aucune déviation. Lui le parrain de la Fesci qui tue et viole sur le campus. Lui dont l’ombre plane derrière le coup d’Etat de 1999, et avant ça, lui le père fondateur du boycott actif mené par le front républicain.
La sortie de Miaka Oureto et ses camarades répond bien à la bonne vieille recette qui stipule que ‘’la meilleure défense c’est l’attaque’’. La sortie du Fpi le vendredi est une sortie de route. Car aucune personne sérieuse ne peut accorder crédit à tout ce qui a été raconté. Pourquoi ont-ils peur finalement d’assumer ce qu’ils clament depuis toujours. Comment voudraient-ils rendre donc le pays ingouvernable ? Savent-ils que la plaisanterie a trop durée ? Ils ont tué pendant dix ans et ils chantent n’avoir rien fait. Ils pillent l’économie et ils disent n’avoir rien fait. Tout le monde voit bien les dégâts causés par le Fpi sauf leurs militants. Au point que le peuple martyr d’hier commence à se demander si le légaliste Ouattara pourra mettre fin à l’impunité par la justice. La sortie du Fpi frise la provocation et le pouvoir gagnera à répondre rapidement pour que tout le monde, accusateurs et accusés s’expliquent devant la justice. Sinon, le Fpi, parti habitué à la roublardise est en train de ruser avec le peuple de Côte d’Ivoire.
M. Beniwa.
Dire une chose et se dédire ne fait pas de soi un homme de vérité. Dire le contraire de ce que l’on fait, c’est laisser le soin aux autres de vous traiter de menteur. Après dix années de pouvoir de Laurent Gbagbo et son Front populaire ivoirien, il est difficile à un Ivoirien de dire que nous avons eu affaire à une bande d’hommes de parole.
D’ailleurs, de leur mentor, ils disaient : « Laurent Gbagbo dit que ce n’est pas ce qu’il dit qui importe, mais ce qu’il fait ». Depuis, on sait ce qu’il a fait et qui l’a conduit dans ce lointain pays d’où le retour est lourdement compromis. Fidèles comme des adeptes de ecte, les militants restés au pays agissent tous dans la même logique de leur tradition : Revendiquer, commettre des dérives et ne jamais se reconnaître responsables. Laurent Gbagbo à toujours clamé n’être mêlé à aucune déviation. Lui le parrain de la Fesci qui tue et viole sur le campus. Lui dont l’ombre plane derrière le coup d’Etat de 1999, et avant ça, lui le père fondateur du boycott actif mené par le front républicain.
La sortie de Miaka Oureto et ses camarades répond bien à la bonne vieille recette qui stipule que ‘’la meilleure défense c’est l’attaque’’. La sortie du Fpi le vendredi est une sortie de route. Car aucune personne sérieuse ne peut accorder crédit à tout ce qui a été raconté. Pourquoi ont-ils peur finalement d’assumer ce qu’ils clament depuis toujours. Comment voudraient-ils rendre donc le pays ingouvernable ? Savent-ils que la plaisanterie a trop durée ? Ils ont tué pendant dix ans et ils chantent n’avoir rien fait. Ils pillent l’économie et ils disent n’avoir rien fait. Tout le monde voit bien les dégâts causés par le Fpi sauf leurs militants. Au point que le peuple martyr d’hier commence à se demander si le légaliste Ouattara pourra mettre fin à l’impunité par la justice. La sortie du Fpi frise la provocation et le pouvoir gagnera à répondre rapidement pour que tout le monde, accusateurs et accusés s’expliquent devant la justice. Sinon, le Fpi, parti habitué à la roublardise est en train de ruser avec le peuple de Côte d’Ivoire.
M. Beniwa.