Le secrétaire national de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi), Koua Justin est en tournée dans le District d’Abidjan. Le samedi 23 juin 2012, il a rendu visite aux jeunes des fédérations de la Jfpi de Cocody, de Marcory, d’Abobo et de Yopougon. Plusieurs jeunes issus d’autres partis politiques ont pris part à ces rencontres. D’autant plus qu’elles concernent le combat pour la démocratie et les libertés.
A ses lieutenants des fédérations citées plus haut, Koua leur a demandé de se réorganiser dès maintenant. Ceux-ci doivent multiplier les réunions et les rencontres d’informations et de formation des militants de base. Ils ne doivent pas non plus oublier de mobiliser les populations exaspérées par leurs souffrances quotidiennes. «Mettez-vous au travail. Le Fpi, notre parti est une machine qui fait terriblement peur au pouvoir. Parce que très structuré et national. Il faut démontrer sa force sur le terrain démocratique», a exhorté le patron intérimaire de la Jfpi. Le combat à venir, prévient-il, demande du courage et du don de soi pour triompher de la violence du régime actuel. «Le combat arrive. Il s’agit d’engager sa vie pour libérer la Côte d’Ivoire humiliée, balafrée, vassalisée. Nous ne pouvons pas être complices du malheur des Ivoiriens. Nous devons mettre fin à leurs souffrances», martèle Koua. Qui a dit avoir besoin des hommes et des femmes courageux pour chasser démocratiquement Alassane Ouattara du pouvoir. Il ne faut pas se voiler la face, conseille le secrétaire national de la Jfpi. Koua par ailleurs a dénoncé la gestion chaotique de l’économie par le régime Ouattara. «Toutes les régies financières sont déficitaires dans les recouvrements. Dans l’administration publique, les lignes budgétaires sont modifiées en permanence.
Les marchés publics sont passés de gré à gré. Les fournisseurs de l’Etat ne sont même plus payés. Alors qu’au temps du président Gbagbo, les régies financières faisaient chaque trimestre des plus-values extraordinaires. Les directeurs généraux de la Douane, du Trésor et des Impôts se faisaient la concurrence et l’économie se portait mieux malgré la division du pays en deux», a asséné Koua. Avec Alassane Ouattara, la Côte d’Ivoire est plongée dans un gouffre économique, a-t-il ajouté. Les pseudos complots dont fait cas tous les jours le pouvoir sont la marque d’un régime fébrile. Cela ne peut nullement intimider le Fpi, prévient le secrétaire national de la Jfpi. «Aujourd’hui, la peur doit être dans le camp de Alassane Ouattara (…) On ne peut pas contraindre le Fpi au silence par ces complots montés de toutes pièces. Démontrons à Ouattara que la Jfpi est prête au combat», a-t-il dit.
Fabrice Tété
A ses lieutenants des fédérations citées plus haut, Koua leur a demandé de se réorganiser dès maintenant. Ceux-ci doivent multiplier les réunions et les rencontres d’informations et de formation des militants de base. Ils ne doivent pas non plus oublier de mobiliser les populations exaspérées par leurs souffrances quotidiennes. «Mettez-vous au travail. Le Fpi, notre parti est une machine qui fait terriblement peur au pouvoir. Parce que très structuré et national. Il faut démontrer sa force sur le terrain démocratique», a exhorté le patron intérimaire de la Jfpi. Le combat à venir, prévient-il, demande du courage et du don de soi pour triompher de la violence du régime actuel. «Le combat arrive. Il s’agit d’engager sa vie pour libérer la Côte d’Ivoire humiliée, balafrée, vassalisée. Nous ne pouvons pas être complices du malheur des Ivoiriens. Nous devons mettre fin à leurs souffrances», martèle Koua. Qui a dit avoir besoin des hommes et des femmes courageux pour chasser démocratiquement Alassane Ouattara du pouvoir. Il ne faut pas se voiler la face, conseille le secrétaire national de la Jfpi. Koua par ailleurs a dénoncé la gestion chaotique de l’économie par le régime Ouattara. «Toutes les régies financières sont déficitaires dans les recouvrements. Dans l’administration publique, les lignes budgétaires sont modifiées en permanence.
Les marchés publics sont passés de gré à gré. Les fournisseurs de l’Etat ne sont même plus payés. Alors qu’au temps du président Gbagbo, les régies financières faisaient chaque trimestre des plus-values extraordinaires. Les directeurs généraux de la Douane, du Trésor et des Impôts se faisaient la concurrence et l’économie se portait mieux malgré la division du pays en deux», a asséné Koua. Avec Alassane Ouattara, la Côte d’Ivoire est plongée dans un gouffre économique, a-t-il ajouté. Les pseudos complots dont fait cas tous les jours le pouvoir sont la marque d’un régime fébrile. Cela ne peut nullement intimider le Fpi, prévient le secrétaire national de la Jfpi. «Aujourd’hui, la peur doit être dans le camp de Alassane Ouattara (…) On ne peut pas contraindre le Fpi au silence par ces complots montés de toutes pièces. Démontrons à Ouattara que la Jfpi est prête au combat», a-t-il dit.
Fabrice Tété
