Portugal- Espagne à Donbass arena, à 18h45 GMT, c’est l’affiche de la première demi- finale de l’Euro 2012 à laquelle auront droit ce soir les férus du ballon rond. Cette rencontre tiendra- t- elle toutes ses promesses ? Oui et peut- être non.
Oui, au vu de la qualité de la pléiade de joueurs concernée par cette opposition capitale et de leur motivation. Nul ne doute en effet de la valeur des Xavi Hernandez, Iniesta, Ramos, Casillas, Xabi Alonso, Fabregas (Espagne), Cristiano Ronaldo, Nani, Moutinho, Pepe, Coentrao (Portugal). Ces éléments sont capables de produire du spectacle, voire du beau spectacle si, une fois sur l’aire de jeu, ils ne sont pas tétanisés par l’enjeu de cette demi- finale.
Non peut-être si les Portugais n’arrivent pas à évacuer ce qui pourrait constituer un obstacle à l’expression de leurs qualités. Le choix de l’arbitre turc Cuneyt Cakir désigné par le Comité d’arbitrage de l’UEFA a provoqué l’émoi dans la presse portugaise. Les quotidiens A Bola et Record accusent, avec des mots à peine voilés le Turc, soupçonné d’être un acteur essentiel de la conclusion du contrat de sponsoring entre l’UNICEF et le FC Barcelone, d’être de collusion avec Angel Villar, le président du comité arbitral ( par ailleurs président de la fédération espagnole) de comploter contre le Portugal.
Senes Erzik, un autre Turc membre dudit comité, n’est pas épargné. Il passe pour être un « ami du FC Barcelone et de l’UNICEF », affirme Record. Qui, comme pour enfoncer le clou, écrit : « Les responsables de la Selecçao ont accueilli la nouvelle avec surprise mais également avec un sentiment de révolte, étant donné les relations connues dans le milieu du football entre Espagnols et Turcs ayant souvent bénéficié à la Roja », du nom de l’équipe nationale espagnole.
Cette situation va- t- elle vraiment impacter négativement sur cette demi- finale Portugal- Espagne ? Souhaitons qu’il n’y ait pas de tension inutile et que le football retrouve purement et simplement ses droits. Tout le monde retient son souffle.
Roger Okou Vabé
(Source Eurosport)
rogerokou@yahoo.fr
Oui, au vu de la qualité de la pléiade de joueurs concernée par cette opposition capitale et de leur motivation. Nul ne doute en effet de la valeur des Xavi Hernandez, Iniesta, Ramos, Casillas, Xabi Alonso, Fabregas (Espagne), Cristiano Ronaldo, Nani, Moutinho, Pepe, Coentrao (Portugal). Ces éléments sont capables de produire du spectacle, voire du beau spectacle si, une fois sur l’aire de jeu, ils ne sont pas tétanisés par l’enjeu de cette demi- finale.
Non peut-être si les Portugais n’arrivent pas à évacuer ce qui pourrait constituer un obstacle à l’expression de leurs qualités. Le choix de l’arbitre turc Cuneyt Cakir désigné par le Comité d’arbitrage de l’UEFA a provoqué l’émoi dans la presse portugaise. Les quotidiens A Bola et Record accusent, avec des mots à peine voilés le Turc, soupçonné d’être un acteur essentiel de la conclusion du contrat de sponsoring entre l’UNICEF et le FC Barcelone, d’être de collusion avec Angel Villar, le président du comité arbitral ( par ailleurs président de la fédération espagnole) de comploter contre le Portugal.
Senes Erzik, un autre Turc membre dudit comité, n’est pas épargné. Il passe pour être un « ami du FC Barcelone et de l’UNICEF », affirme Record. Qui, comme pour enfoncer le clou, écrit : « Les responsables de la Selecçao ont accueilli la nouvelle avec surprise mais également avec un sentiment de révolte, étant donné les relations connues dans le milieu du football entre Espagnols et Turcs ayant souvent bénéficié à la Roja », du nom de l’équipe nationale espagnole.
Cette situation va- t- elle vraiment impacter négativement sur cette demi- finale Portugal- Espagne ? Souhaitons qu’il n’y ait pas de tension inutile et que le football retrouve purement et simplement ses droits. Tout le monde retient son souffle.
Roger Okou Vabé
(Source Eurosport)
rogerokou@yahoo.fr
