Encore une autre histoire de bête noire qui devrait en principe valoir aux amoureux du football une belle empoignade ce soir. L’Allemagne affronte ce soir (18h45 GMT) l’Italie dans l’autre demi- finale de l’Euro 2012. Pour mémoire, l’Allemagne, en 7 confrontations en phases finales de Coupe du monde et de l’Euro, n’est pas encore parvenue à venir à bout de son adversaire du jour.
Il s’agira donc pour la Mannschaft- cela tombe sous le sens- de vaincre le signe indien qui a commencé au Chili en 1962 lors de la Coupe du monde. Et subsidiairement de composter son ticket pour la finale qui, sauf surprise, semble lui tendre les bras en raison du parcours convaincant qu’elle a réalisé en phase de poule et en quart de finale. En quatre matches, l’Allemagne a fait un sans faute en battant le Portugal 1 à 0, les Pays- Bas 2 à 1, le Danemark 2 à 1 et la Grèce 4 à 2. La bande à Joachim Low ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Mais avant, Bastian Schweinsteiger, Miroslav Klose, Philip Lahm, Mario Gomez et autres devront d’abord franchir l’obstacle dressé par l’Italie.
La Squadra Azzura est là, bien là. Elle vend pour le moment en tout cas cher sa peau. C’est peu dire que d’affirmer que les Italiens sont de vrais compétiteurs. L’Espagne (1-1), la Croatie (1-1), l’Eire (0-2) au premier tour et l’Angleterre (0-0, 2 tirs au but à 4) ont fait l’expérience de la combativité, de l’opiniâtreté des Azzuri. Cesare Prandelli, le sélectionneur, Andrea Pirlo dont la brillance technique est unanimement appréciée et l’influence sur le jeu de l’équipe incontestable dans cet Euro et Gianlugi Buffon, le gardien qui assure et rassure, devront trouver la clé pour faire enrayer la machine allemande. Balotelli, Cassano, De Rossi et autres soient devront également être à la hauteur pour que la Squadra Azzura conserve son invincibilité face à la Mannschaft et gagne le droit de disputer la finale le 1er juillet prochain.
Rappelons qu’au palmarès de l’Euro, l’Allemagne compte trois titres acquis en 1972, 1980 et 1996 (Les deux trophées à l’époque de l’Allemagne de l’Ouest et le dernier sous l’appellation d’Allemagne tout court). L’Italie n’a été sacrée, en dépit de la valeur de son football, qu’une fois. Et cela remonte à 1968, soit huit ans après la création du Championnat d’Europe des nations dont la première édition a été gagnée par l’ex-URSS.
Roger Okou Vabé
rogerokou@yahoo.fr
Il s’agira donc pour la Mannschaft- cela tombe sous le sens- de vaincre le signe indien qui a commencé au Chili en 1962 lors de la Coupe du monde. Et subsidiairement de composter son ticket pour la finale qui, sauf surprise, semble lui tendre les bras en raison du parcours convaincant qu’elle a réalisé en phase de poule et en quart de finale. En quatre matches, l’Allemagne a fait un sans faute en battant le Portugal 1 à 0, les Pays- Bas 2 à 1, le Danemark 2 à 1 et la Grèce 4 à 2. La bande à Joachim Low ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Mais avant, Bastian Schweinsteiger, Miroslav Klose, Philip Lahm, Mario Gomez et autres devront d’abord franchir l’obstacle dressé par l’Italie.
La Squadra Azzura est là, bien là. Elle vend pour le moment en tout cas cher sa peau. C’est peu dire que d’affirmer que les Italiens sont de vrais compétiteurs. L’Espagne (1-1), la Croatie (1-1), l’Eire (0-2) au premier tour et l’Angleterre (0-0, 2 tirs au but à 4) ont fait l’expérience de la combativité, de l’opiniâtreté des Azzuri. Cesare Prandelli, le sélectionneur, Andrea Pirlo dont la brillance technique est unanimement appréciée et l’influence sur le jeu de l’équipe incontestable dans cet Euro et Gianlugi Buffon, le gardien qui assure et rassure, devront trouver la clé pour faire enrayer la machine allemande. Balotelli, Cassano, De Rossi et autres soient devront également être à la hauteur pour que la Squadra Azzura conserve son invincibilité face à la Mannschaft et gagne le droit de disputer la finale le 1er juillet prochain.
Rappelons qu’au palmarès de l’Euro, l’Allemagne compte trois titres acquis en 1972, 1980 et 1996 (Les deux trophées à l’époque de l’Allemagne de l’Ouest et le dernier sous l’appellation d’Allemagne tout court). L’Italie n’a été sacrée, en dépit de la valeur de son football, qu’une fois. Et cela remonte à 1968, soit huit ans après la création du Championnat d’Europe des nations dont la première édition a été gagnée par l’ex-URSS.
Roger Okou Vabé
rogerokou@yahoo.fr