Oulayes Yao François, maire Pdci de Koun-Fao, est le choix de la jeunesse de cette localité pour les prochaines municipales. Nous l’avons rencontré pour en savoir plus sur sa candidature pour ce scrutin tant attendu. Interview.
Les jeunes de la commune de Koun-Fao ont organisé récemment une cérémonie pour annoncer aux populations que vous êtes leur candidat pour les prochaines municipales. Comment avez-vous réagi ?
Je suis très heureux que les jeunes reconnaissent en moi leur leader. Je crois qu’ils ne seront pas déçus. Nous allons capitaliser cette confiance qu’ils ont placée en nous pour faire avancer les choses à Koun-Fao. Il n’est pas question aujourd’hui de jouer au démagogue. L’essentiel pour nous est que Koun-Fao avance, et je crois que les jeunes ont compris. C’est un message fort qu’ils nous envoient et nous l’avons reçu 5 sur 5
Qu’est-ce qui vous motive à vous représenter à ces municipales ?
Nous sommes à la tête de cette commune depuis le décès de feu Koffié Eugène en Avril 2007, qui était donc notre tête de liste en 2001. Nous avons commencé un travail. Il y a beaucoup à faire à Koun-Fao, beaucoup de défis à relever dans la commune. Koun-Fao est ma foi en retard sur plusieurs plans, notamment sur le plan environnemental, de développement pur, au plan de la santé, de l’école, etc. Il faut donc que quelqu’un se décide à faire quelque chose. Je sollicite alors un mandat en tant que tête de liste pour continuer ce que nous avons commencé. Et je crois qu’avec le concours de l’Etat, avec l’aide de toute la population et de certains cadres, nous allons y arriver.
Des candidats, de gros calibres, dit-on, se préparent pour vous arracher la mairie. N’éprouvez-vous pas une crainte?
C’est Dieu qui donne le pouvoir. Si le Seigneur décide que je ne sois plus maire, je ne le serai plus. Mais s’il décide que je reste à ma place, il n’ y aura pas de gros calibres qui tiennent comme vous le dites. Je pense que la population nous fait confiance, et avec l’aide du Seigneur, les choses vont bien se passer.
Nous terminons cet entretien…
Je leur demande d’être mobilisés quand la Cei et le Gouvernement vont donner la date des élections. Le jour du vote, il faut également qu’ils sortent massivement pour exprimer leur choix, afin de nous permettre de continuer à travailler pour la commune. S’ils votent massivement leur maire, je crois que ça sera un signal fort donné à tous les cadres, au maire lui-même, pour dire qu’ensemble nous devons faire en sorte que Koun-Fao connaisse un rayonnement grandiose.
Par Maxime Wangué
Les jeunes de la commune de Koun-Fao ont organisé récemment une cérémonie pour annoncer aux populations que vous êtes leur candidat pour les prochaines municipales. Comment avez-vous réagi ?
Je suis très heureux que les jeunes reconnaissent en moi leur leader. Je crois qu’ils ne seront pas déçus. Nous allons capitaliser cette confiance qu’ils ont placée en nous pour faire avancer les choses à Koun-Fao. Il n’est pas question aujourd’hui de jouer au démagogue. L’essentiel pour nous est que Koun-Fao avance, et je crois que les jeunes ont compris. C’est un message fort qu’ils nous envoient et nous l’avons reçu 5 sur 5
Qu’est-ce qui vous motive à vous représenter à ces municipales ?
Nous sommes à la tête de cette commune depuis le décès de feu Koffié Eugène en Avril 2007, qui était donc notre tête de liste en 2001. Nous avons commencé un travail. Il y a beaucoup à faire à Koun-Fao, beaucoup de défis à relever dans la commune. Koun-Fao est ma foi en retard sur plusieurs plans, notamment sur le plan environnemental, de développement pur, au plan de la santé, de l’école, etc. Il faut donc que quelqu’un se décide à faire quelque chose. Je sollicite alors un mandat en tant que tête de liste pour continuer ce que nous avons commencé. Et je crois qu’avec le concours de l’Etat, avec l’aide de toute la population et de certains cadres, nous allons y arriver.
Des candidats, de gros calibres, dit-on, se préparent pour vous arracher la mairie. N’éprouvez-vous pas une crainte?
C’est Dieu qui donne le pouvoir. Si le Seigneur décide que je ne sois plus maire, je ne le serai plus. Mais s’il décide que je reste à ma place, il n’ y aura pas de gros calibres qui tiennent comme vous le dites. Je pense que la population nous fait confiance, et avec l’aide du Seigneur, les choses vont bien se passer.
Nous terminons cet entretien…
Je leur demande d’être mobilisés quand la Cei et le Gouvernement vont donner la date des élections. Le jour du vote, il faut également qu’ils sortent massivement pour exprimer leur choix, afin de nous permettre de continuer à travailler pour la commune. S’ils votent massivement leur maire, je crois que ça sera un signal fort donné à tous les cadres, au maire lui-même, pour dire qu’ensemble nous devons faire en sorte que Koun-Fao connaisse un rayonnement grandiose.
Par Maxime Wangué
