Auteur du "Plan Cadre de Paix et de Développement" du 22 septembre 2004, Dano Zady Gnadou donne ici des pistes de solutions aux difficultés que traverse la Côte d’Ivoire.
Je me suis toujours battu pour la réconciliation et la paix dans mon pays. Préalables à toute stabilité de la Côte d’Ivoire. Véritables gages d’un développement durable et d’une véritable prospérité. Auteur du "Plan Cadre de Paix et de Développement" du 22 septembre 2004, commenté dans L'Intelligent d'Abidjan du 9 octobre et paru dans Fraternité-Matin du 26 octobre de la même année, qui a servi de base et de cap aux protagonistes de la crise ivoirienne, je n’ai jamais cessé d’œuvrer pour l’unité de mon illustre pays et le bonheur de mes compatriotes sur mon Blog Gnadou et le site officiel du Parti ivoirien du peuple que j’ai l’honneur de présider. Cela, je l’ai souligné en France, lors d’une conférence de presse, dans le communiqué de presse du 27/02/08, rendant ainsi hommage aux quotidiens ivoiriens L’intelligent d’Abidjan et Fraternité-Matin pour le rôle joué par ces deux médias dans le processus de paix et de réconciliation dans la crise ivoirienne en garantissant à tous une liberté d’expression jamais égalée. Aujourd’hui, plus qu’hier, la Côte d’Ivoire court vers une grande catastrophe tant les rancœurs débordent, la vengeance piaffe d’impatience et les revanches fulminent sur le Mont-Nimba. Indispensable Apôtre de la Paix, je continue d’avancer dans les pas du président Houphouët-Boigny, l’Infatigable Apôtre de la Paix. Je lance cet appel solennel à la presse ivoirienne en général, à l’Intelligent d’Abidjan, à Soir info et à l’Inter en particulier pour leur équilibre et leur large couverture sans parti pris, sans censure aucune d’une difficile actualité ivoirienne en ce qui concerne les protagonistes, de parfaire leur travail en ouvrant leurs pages aux Ivoiriennes et Ivoiriens épris de paix, de vérité et justice, qui ont hâte de prendre position pour l’unité de leur pays et la fin des deux camp de la destruction, de se retrouver, de revivre leur unité, leur fraternité, leur solidarité et leur prospérité d’antan.
JE SUIS VOLONTAIRE POUR UNE INDISPENSABLE PAIX !
Duékoué : Ville martyre, Duékoué : mon indignation
Les Ivoiriens ont besoin de savoir que depuis le début de la crise, même avant, d’autres Ivoiriens avaient, malgré les vicissitudes de la vie, choisi d’être pour la Côte d’Ivoire et rien que la grande Côte d’Ivoire et non pro Gbagbo ni pro Ouattara. Les Ivoiriens doivent savoir que la paix qu’ils désirent tant, se reconstruit en dehors de ses démons, diables, cerbères, Lucifer et anges de la mort qui les empêchent, par égoïsme et un malin plaisir, de vivre heureux ensemble. Ils n’ont eu aucune emprise sur les artisans de la paix que nous sommes, alors les dignes ivoiriens doivent aussi les vomir, s’en dégager et s’en débarrasser. Le problème des Ivoiriens n’est pas que les uns et les autres soient libres ou pas, qu’ils soient emprisonnés ou libérés. Le problème des Ivoiriens est qu’ils leur fichent la paix. Voilà, le jugement des Ivoiriens épris de paix et de justice : qu’ils leur fichent la paix !
NB : Le titre et le chapeau sont de la rédaction
Je me suis toujours battu pour la réconciliation et la paix dans mon pays. Préalables à toute stabilité de la Côte d’Ivoire. Véritables gages d’un développement durable et d’une véritable prospérité. Auteur du "Plan Cadre de Paix et de Développement" du 22 septembre 2004, commenté dans L'Intelligent d'Abidjan du 9 octobre et paru dans Fraternité-Matin du 26 octobre de la même année, qui a servi de base et de cap aux protagonistes de la crise ivoirienne, je n’ai jamais cessé d’œuvrer pour l’unité de mon illustre pays et le bonheur de mes compatriotes sur mon Blog Gnadou et le site officiel du Parti ivoirien du peuple que j’ai l’honneur de présider. Cela, je l’ai souligné en France, lors d’une conférence de presse, dans le communiqué de presse du 27/02/08, rendant ainsi hommage aux quotidiens ivoiriens L’intelligent d’Abidjan et Fraternité-Matin pour le rôle joué par ces deux médias dans le processus de paix et de réconciliation dans la crise ivoirienne en garantissant à tous une liberté d’expression jamais égalée. Aujourd’hui, plus qu’hier, la Côte d’Ivoire court vers une grande catastrophe tant les rancœurs débordent, la vengeance piaffe d’impatience et les revanches fulminent sur le Mont-Nimba. Indispensable Apôtre de la Paix, je continue d’avancer dans les pas du président Houphouët-Boigny, l’Infatigable Apôtre de la Paix. Je lance cet appel solennel à la presse ivoirienne en général, à l’Intelligent d’Abidjan, à Soir info et à l’Inter en particulier pour leur équilibre et leur large couverture sans parti pris, sans censure aucune d’une difficile actualité ivoirienne en ce qui concerne les protagonistes, de parfaire leur travail en ouvrant leurs pages aux Ivoiriennes et Ivoiriens épris de paix, de vérité et justice, qui ont hâte de prendre position pour l’unité de leur pays et la fin des deux camp de la destruction, de se retrouver, de revivre leur unité, leur fraternité, leur solidarité et leur prospérité d’antan.
JE SUIS VOLONTAIRE POUR UNE INDISPENSABLE PAIX !
Duékoué : Ville martyre, Duékoué : mon indignation
Les Ivoiriens ont besoin de savoir que depuis le début de la crise, même avant, d’autres Ivoiriens avaient, malgré les vicissitudes de la vie, choisi d’être pour la Côte d’Ivoire et rien que la grande Côte d’Ivoire et non pro Gbagbo ni pro Ouattara. Les Ivoiriens doivent savoir que la paix qu’ils désirent tant, se reconstruit en dehors de ses démons, diables, cerbères, Lucifer et anges de la mort qui les empêchent, par égoïsme et un malin plaisir, de vivre heureux ensemble. Ils n’ont eu aucune emprise sur les artisans de la paix que nous sommes, alors les dignes ivoiriens doivent aussi les vomir, s’en dégager et s’en débarrasser. Le problème des Ivoiriens n’est pas que les uns et les autres soient libres ou pas, qu’ils soient emprisonnés ou libérés. Le problème des Ivoiriens est qu’ils leur fichent la paix. Voilà, le jugement des Ivoiriens épris de paix et de justice : qu’ils leur fichent la paix !
NB : Le titre et le chapeau sont de la rédaction
