Certains à Abidjan ont besoin d`une "machine" pour "aller sur le terrain". Traduction d`un trafiquant: ils veulent une arme pour commettre un braquage. Dans la capitale économique ivoirienne, plus d`un an après la fin d`une crise armée, on peut louer une kalachnikov pour 30 euros.
"Les +kalach+, ça court les rues à Abidjan", se lamente un policier membre d`une unité de lutte contre le grand banditisme, interrogé par l`AFP.
Dans un quartier populaire, un trafiquant qui se fait appeler "commandant Tasman" (le feu, en langue malinké) opère dans l`arrière-cour d`une boutique transformée en armurerie clandestine. Carrure de basketteur et lunettes noires, il brandit fièrement une "kalach" et annonce ses tarifs.
Vingt mille francs CFA (30 euros) la journée pour louer ce... suite de l'article sur Slate Afrique
"Les +kalach+, ça court les rues à Abidjan", se lamente un policier membre d`une unité de lutte contre le grand banditisme, interrogé par l`AFP.
Dans un quartier populaire, un trafiquant qui se fait appeler "commandant Tasman" (le feu, en langue malinké) opère dans l`arrière-cour d`une boutique transformée en armurerie clandestine. Carrure de basketteur et lunettes noires, il brandit fièrement une "kalach" et annonce ses tarifs.
Vingt mille francs CFA (30 euros) la journée pour louer ce... suite de l'article sur Slate Afrique