Six militaires ivoiriens et un assaillant ont été tués dans l`attaque lancée tôt lundi matin par des inconnus armés contre un camp militaire d`Abidjan, a déclaré le ministre de la Défense Paul Koffi Koffi.
Ces attaques de personnes inconnues ont fait sept morts au total: nous avons perdu six éléments et au niveau des assaillants ils ont perdu un des leurs, a-t-il indiqué devant la presse, lors d`une visite du camp d`Akouédo attaqué, dans le nord d`Abidjan.
Des journalistes de l`AFP avaient vu dans la matinée les corps de six hommes en treillis sur les lieux.
Quatre corps étaient visibles par terre dans un bâtiment à l`entrée du camp, dont la porte avait été défoncée. Du sang avait été projeté sur le sol et les murs. A un poste de garde et à une sortie, deux autres corps gisaient au sol, a-t-on constaté.
Dans un communiqué, le chef de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci), Bert Koenders, a indiqué que le bilan provisoire de l`attaque est d`environ sept morts et une dizaine de blessés graves dans les rangs des FRCI (Forces républicaines, armée ivoirienne).
Accompagné du chef d`état-major des FRCI, le général Soumaïla Bakayoko, et du ministre de l`Intérieur Hamed Bakayoko, le ministre de la Défense a affirmé qu`autour de 03H00 du matin (locales et GMT), ce camp a fait l`objet d`une attaque ciblée par les deux entrées.
Nos hommes sont venus en renfort (...) et autour de 5H00 du matin nous avons pu repousser ces assaillants, a-t-il poursuivi.
Des ratissages et des battues sont en cours dans les villes et quartiers avoisinants pour pouvoir les dénicher, a-t-il ajouté.
Selon le chef de l`Onuci, le groupe d`assaillants aurait pris des armes et munitions de l`armurerie, avant de quitter les lieux, ce qu`a confirmé une autre source onusienne à l`AFP sous couvert d`anonymat.
Des Casques bleus sont également basés dans un secteur du camp d`Akouédo mais ils n`ont pas été engagés dans le combat, a précisé cette source onusienne.
Bert Koenders a condamné fermement cette attaque ainsi que d`autres survenues le week-end dernier: celles de Yopougon, quartier ouest d`Abidjan, où cinq FRCI ont été tués, et celle contre un camp FRCI dans la ville d`Abengourou, dans l`est du pays, proche du Ghana, où il n`y aurait pas eu de victime.
Aucune information n`était dans l`immédiat disponible sur l`identité des assaillants d`Akouédo, ni sur un éventuel lien avec les attaques de Yopougon dimanche. Nous n`en savons rien, nous sommes en train de mener nos enquêtes, j`espère qu`on sera situé d`ici demain (mardi), a répondu Paul Koffi Koffi.
Ces attaques de personnes inconnues ont fait sept morts au total: nous avons perdu six éléments et au niveau des assaillants ils ont perdu un des leurs, a-t-il indiqué devant la presse, lors d`une visite du camp d`Akouédo attaqué, dans le nord d`Abidjan.
Des journalistes de l`AFP avaient vu dans la matinée les corps de six hommes en treillis sur les lieux.
Quatre corps étaient visibles par terre dans un bâtiment à l`entrée du camp, dont la porte avait été défoncée. Du sang avait été projeté sur le sol et les murs. A un poste de garde et à une sortie, deux autres corps gisaient au sol, a-t-on constaté.
Dans un communiqué, le chef de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci), Bert Koenders, a indiqué que le bilan provisoire de l`attaque est d`environ sept morts et une dizaine de blessés graves dans les rangs des FRCI (Forces républicaines, armée ivoirienne).
Accompagné du chef d`état-major des FRCI, le général Soumaïla Bakayoko, et du ministre de l`Intérieur Hamed Bakayoko, le ministre de la Défense a affirmé qu`autour de 03H00 du matin (locales et GMT), ce camp a fait l`objet d`une attaque ciblée par les deux entrées.
Nos hommes sont venus en renfort (...) et autour de 5H00 du matin nous avons pu repousser ces assaillants, a-t-il poursuivi.
Des ratissages et des battues sont en cours dans les villes et quartiers avoisinants pour pouvoir les dénicher, a-t-il ajouté.
Selon le chef de l`Onuci, le groupe d`assaillants aurait pris des armes et munitions de l`armurerie, avant de quitter les lieux, ce qu`a confirmé une autre source onusienne à l`AFP sous couvert d`anonymat.
Des Casques bleus sont également basés dans un secteur du camp d`Akouédo mais ils n`ont pas été engagés dans le combat, a précisé cette source onusienne.
Bert Koenders a condamné fermement cette attaque ainsi que d`autres survenues le week-end dernier: celles de Yopougon, quartier ouest d`Abidjan, où cinq FRCI ont été tués, et celle contre un camp FRCI dans la ville d`Abengourou, dans l`est du pays, proche du Ghana, où il n`y aurait pas eu de victime.
Aucune information n`était dans l`immédiat disponible sur l`identité des assaillants d`Akouédo, ni sur un éventuel lien avec les attaques de Yopougon dimanche. Nous n`en savons rien, nous sommes en train de mener nos enquêtes, j`espère qu`on sera situé d`ici demain (mardi), a répondu Paul Koffi Koffi.
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