Peut-on savoir l’objet de votre visite ?
Hamed Bakayoko : Il s’agit d’une visite de courtoisie d’un membre du Gouvernement au Président de l’Assemblée Nationale. Notre pays a connu récemment des événements très graves. Il m’est apparu donc opportun de venir lui faire le point, de lui donner toutes les informations nécessaires en tant Président de l’Assemblée. Lui-même ayant été ministre de la Défense, nous avons donc recueilli des avis et ses conseils pour la gestion de ce dossier important. Nous l’avons trouvé très disposé de nous apporter son soutien et sa contribution pour maintenir la sécurité dans le pays. Voici l’objet de cette visite que j’ai l’honneur rendre au Président du Parlement.
Qu’attendez-vous du Président de l’Assemblée Nationale ?
HB : D’abord, il est important qu’il soit au même niveau d’information que nous tous. Il fallait lui donner toutes les informations. Et ensuite, recueillir ses avis et ses conseils. Car, il a une bonne expérience dans les questions de sécurité. Et puis, lorsqu’on parle de déstabilisation des Instituions, nous sommes tous concernés. Il dirige l’une des Institutions les plus prestigieuses du pays. Il a accueilli positivement cette initiative. Et je m’en réjouis.
Quelle est la situation sécuritaire actuellement ?
H.B : Il y a une volonté de harcèlement du pouvoir actuel par des gens que nous avons identifiés. Ils sont basés au Ghana. Ils ont essayé de réveiller les cellules de miliciens de la galaxie patriotique. Il essaie de retrouver des caches d’armes, il essaie d’en trouver pour semer la désolation ça et là. Nous entendons beaucoup de choses. Mais, le ministre de la Défense, les commandants des forces et moi-même sont informés. Un plan de sécurisation approprié est mis en place pour faire face. Les Ivoiriens peuvent être sereins. Plus rien ne peut prospérer dans ce pays par la violence. C’est impossible. Notre pays est dans une dynamique de retour, il y a une croissance, il y a des investisseurs, les grands dossiers sont traités, les Ivoiriens commencent à voir le bout du tunnel etc. C’est cette dynamique qu’on veut arrêter. Nous, nous avons la responsabilité de faire face. Ils n’arriveront pas à assouvir leurs desseins. C’est inutile de croire qu’on peut nous ébranler par la violence et par la force.
Propos recueillis par K.I.
Hamed Bakayoko : Il s’agit d’une visite de courtoisie d’un membre du Gouvernement au Président de l’Assemblée Nationale. Notre pays a connu récemment des événements très graves. Il m’est apparu donc opportun de venir lui faire le point, de lui donner toutes les informations nécessaires en tant Président de l’Assemblée. Lui-même ayant été ministre de la Défense, nous avons donc recueilli des avis et ses conseils pour la gestion de ce dossier important. Nous l’avons trouvé très disposé de nous apporter son soutien et sa contribution pour maintenir la sécurité dans le pays. Voici l’objet de cette visite que j’ai l’honneur rendre au Président du Parlement.
Qu’attendez-vous du Président de l’Assemblée Nationale ?
HB : D’abord, il est important qu’il soit au même niveau d’information que nous tous. Il fallait lui donner toutes les informations. Et ensuite, recueillir ses avis et ses conseils. Car, il a une bonne expérience dans les questions de sécurité. Et puis, lorsqu’on parle de déstabilisation des Instituions, nous sommes tous concernés. Il dirige l’une des Institutions les plus prestigieuses du pays. Il a accueilli positivement cette initiative. Et je m’en réjouis.
Quelle est la situation sécuritaire actuellement ?
H.B : Il y a une volonté de harcèlement du pouvoir actuel par des gens que nous avons identifiés. Ils sont basés au Ghana. Ils ont essayé de réveiller les cellules de miliciens de la galaxie patriotique. Il essaie de retrouver des caches d’armes, il essaie d’en trouver pour semer la désolation ça et là. Nous entendons beaucoup de choses. Mais, le ministre de la Défense, les commandants des forces et moi-même sont informés. Un plan de sécurisation approprié est mis en place pour faire face. Les Ivoiriens peuvent être sereins. Plus rien ne peut prospérer dans ce pays par la violence. C’est impossible. Notre pays est dans une dynamique de retour, il y a une croissance, il y a des investisseurs, les grands dossiers sont traités, les Ivoiriens commencent à voir le bout du tunnel etc. C’est cette dynamique qu’on veut arrêter. Nous, nous avons la responsabilité de faire face. Ils n’arriveront pas à assouvir leurs desseins. C’est inutile de croire qu’on peut nous ébranler par la violence et par la force.
Propos recueillis par K.I.