ABIDJAN - Le calme est revenu à Toulepleu, à la frontière ivoiro-libérienne, où un poste de contrôle de l`armée a été attaqué lundi par des individus armés, a appris Xinhua de source préfectorale sans pouvoir établir de bilan en fin de journée.
"La situation est très calme, le poste-frontière a été attaqué mais Toulepleu n`a pas été perturbé, le calme est revenu", a indiqué le préfet du département de Toulepleu, Diarra Karim.
L`autorité administrative ajoute avoir rencontré les chefs de communauté et lancé des messages à la radio locale pour appeler les populations au calme et à la sérénité.
Le poste-frontière de Pekambly, situé à une dizaine de kilomètre de Toulepleu, a été pris pour cible par un groupé armé venu du Liberia, selon des sources militaires.
Aucun bilan n`était disponible en fin de journée, en l`absence de déclarations officielles sur l`attaque.
Cette attaque fait suite à une série de raids d`individus lourdement armés contre des postes de contrôle et camps militaires à Abidjan et à l`intérieur du pays, qui ont fait au moins 11 morts dans l`armée ivoirienne.
Le gouvernement avait dénoncé un "harcèlement" des partisans de l`ex-président Laurent Gbagbo pour "semer le trouble" au sein de la population au moment où "la confiance revient" dans le pays, après la meurtrière crise post-électorale.
Le président Alassane Ouattara avait déclaré avoir donné des instructions "fermes" pour renforcer le dispositif sécuritaire et mettre hors d`état de nuire les auteurs de ces attaques.
"La situation est très calme, le poste-frontière a été attaqué mais Toulepleu n`a pas été perturbé, le calme est revenu", a indiqué le préfet du département de Toulepleu, Diarra Karim.
L`autorité administrative ajoute avoir rencontré les chefs de communauté et lancé des messages à la radio locale pour appeler les populations au calme et à la sérénité.
Le poste-frontière de Pekambly, situé à une dizaine de kilomètre de Toulepleu, a été pris pour cible par un groupé armé venu du Liberia, selon des sources militaires.
Aucun bilan n`était disponible en fin de journée, en l`absence de déclarations officielles sur l`attaque.
Cette attaque fait suite à une série de raids d`individus lourdement armés contre des postes de contrôle et camps militaires à Abidjan et à l`intérieur du pays, qui ont fait au moins 11 morts dans l`armée ivoirienne.
Le gouvernement avait dénoncé un "harcèlement" des partisans de l`ex-président Laurent Gbagbo pour "semer le trouble" au sein de la population au moment où "la confiance revient" dans le pays, après la meurtrière crise post-électorale.
Le président Alassane Ouattara avait déclaré avoir donné des instructions "fermes" pour renforcer le dispositif sécuritaire et mettre hors d`état de nuire les auteurs de ces attaques.