Malgré son profond affaiblissement consécutif à la crise post électorale qu’ils ont créée de toutes pièces, les caciques du FPI continuent de croire en leurs illusions de renversement du régime, alors qu’Alassane Ouattara, lui, a le regard résolument tourné vers l’émergence de la Côte d’Ivoire à l’orée 2020.
On peut le dire, avec assurance, Alassane Ouattara et le camp FPI, c’est le jour et la nuit ! Et la démonstration se fait sans difficulté aucune. Tant au plan diplomatique, politique, qu’économique et social. Installé à la tête d’un pays quasiment ruiné par la méchanceté de Laurent Gbagbo et ses sbires, Alassane Ouattara, en vrai homme d’Etat, a pris la pleine mesure des dégâts et des réponses urgentes ont été envisagées pour soulager le peuple meurtri à tout point de vue par le fait d’un dictateur aux abois. Ainsi, au plan social, et alors que les caisses étaient totalement asséchées, suite aux multiples pillages et braquages des pro-Gbagbo, le président de la République ordonnera le paiement de deux mois de salaires aux fonctionnaires et agents de l’Etat. Là où son prédécesseur, en dépit des temps cléments, a craché aux yeux des travailleurs son mépris et son indifférence à leurs cris de détresse, Ouattara a exprimé concrètement sa sensibilité à leur situation. Et ce n’est pas tout ! Conscient qu’un peuple malade, ne peut être efficace au travail, il engage les soins gratuits dans les hôpitaux publics. Une décision qui se poursuit encore avec la gratuité ciblée. Et Dieu seul, sait si des familles ont été sauvées de justesse d’une mort certaine. On retiendra également de la réhabilitation totale et spectaculaire des deux universités d’Abidjan (Abobo-Adjamé et Cocody). Que dire de la voirie d’Abidjan qui a connu une véritable remise à niveau, particulièrement à Yopougon, ex-fief du FPI? Le triste souvenir de la voie Saguidiba-Sideci Lem, siège de la plus puissante tribune de la propagande de la galaxie patriotique, caisse de résonnance et espace d’endoctrinement des militants de la Refondation, est encore vivace dans les esprits. Ce quartier qui a abrité des miliciens et des mercenaires qui ont endeuillé de nombreuses familles, a été l’un des premiers quartiers à être réhabilité après la crise. En outre, le président Ouattara a donné un coup à l’opération ‘’pays propre’’ dont les résultats permettent aujourd’hui à Abidjan et à ses habitants de vivre dans un environnement sain. Cette action salutaire a atteint la capitale politique, Yamoussoukro, et s’étend progressivement aux autres villes du pays. Récemment, les taxes douanières sur l’importation du riz ont été suspendues pour éviter une augmentation du prix de cette denrée de grande consommation en Côte d’Ivoire. Ajouté à cela son niet à l’augmentation drastique des frais d’inscription dans les universités publiques. Un sacrifice qui équivaut à une prise en charge de 70% des 100.000FCFA proposés par le Conseil de l’université.
Visite historique à l’Ouest malgré toutes les menaces
En avril dernier, alors que des chants de cygnes annonçaient l’apocalypse dans la partie ouest de la Côte d’Ivoire, le président Alassane Ouattara s’y est rendu, dans le cadre d’une visite d’Etat de cinq jours. Il s’agissait pour lui de rassurer ses compatriotes Wê, victimes de plusieurs années de souffrances de toutes sortes. Des messages forts de réconciliations ont été distillés à chaque étape sans oublier les réalisations socio-économiques substantielles qui ont précédé son arrivée. Bien avant, et pour concrétiser sa volonté de réconciliation, le chef de l’Etat a mis en place une commission dans ce sens dont le patron est Charles Konan Banny. Que dire des différentes missions de bon nombre de ses collaborateurs dans les pays de la sous-région en vue d’inciter les exilés à rentrer au pays et à prendre leur place dans la reconstruction nationale.
Les grands chantiers en cours
Le troisième pont d’Abidjan, le pont de Jacqueville, l’autoroute du Nord, l’autoroute de Grand-Bassam, l’eau portable à Abidjan depuis Bonoua, et à partir de 2013, le lancement de projets, de plus grande envergure au plan des infrastructures socio-économiques, des productions minières, agricoles, etc. Les premiers résultats des Solutions sont là, palpables et se passent de commentaire.
Les exploits financiers
En moins d’un an, la Côte d’Ivoire est passée, des ruines financières à un embellissement caractérisé par l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative Ppte et le retour de la confiance entre les institutions financières et le régime ivoirien. Le retour de la Bad n’est plus qu’une question de mois et les investisseurs se bousculent aux portes du pays. Il ne se passe plus de jours sans qu’Européens, Asiatiques ou Américains ne débarquent au bord de la lagune Ebrié pour s’enquérir auprès des autorités ivoiriennes sur les opportunités économiques du pays. Par exemple, sur l’importation du riz, le sens d’anticipation du président Ouattara a permis d’obtenir une bonne réserve avec la Thaïlande. L’instruction exécutée avec dextérité par le ministre du Commerce, Dagobert Banzio, met les populations à l’abri d’une augmentation du prix de cette denrée, liée aux fluctuations du marché mondial. Bien qu’il ait trouvé la Côte d’Ivoire dans un état de délabrement avancé, causés par Laurent Gbagbo et sa machine à détruire mettant à plat tout l’appareil de l’Etat par des braquages, pillages et saccages, Alassane Ouattara n’en a jamais fait une raison de pleurnichement et de lamentation. Au contraire, il s’est résolu à y faire face avec efficacité, acharnement au travail, responsabilité et compétence. Le programme présidentiel d’urgence qu’il a lancé et dont les fruits sont plus que visibles, en constitue une vraie démonstration.
Les prouesses diplomatiques
L’offensive et les succès diplomatiques entamés alors qu’il était sous blocus à l’hôtel du Golf se sont amplifiés depuis la chute du faucon bleu. Les nombreux déplacements à l’extérieur, l’afflux des diplomates, les lauriers africains et bine d’autres actions ont contribué à redonner à la Côte d’Ivoire son lustre diplomatique complètement bousillé par l’ère Gbagbo. Sa désignation par ses pairs à la tête de la prestigieuse CEDEAO est une illustration très forte du grand espoir que toute l’Afrique place en lui. Jamais, dans l’histoire de cette organisation, un président nouvellement élu à la tête de son pays, n’a occupé la présidence de l’UA, ex OUA.
Un fossé trop profond et trop large entre Gbagbo et Ouattara
De pays infréquentable, la Côte d’Ivoire est à nouveau une destination attrayante. Parce qu’à sa tête, il y a, désormais, un homme d’Etat, un président qui maîtrise son sujet, un docteur qui sait où se situe le mal de son pays. Bref, un humaniste dont le seul péché est sa volonté manifeste de conduire son peuple vers des pâturages verdoyants, vers l’oasis. Toutes choses qui mettent à nue la médiocrité du régime précédent et qui lui valent une jalousie et les velléités de déstabilisation qui endeuillent, depuis un moment, des familles.
Les chiens peuvent-ils arrêter la caravane ?
Malgré l’engagement du président Alassane Ouattara à faire de la Côte d’Ivoire un pays émergeant avec toutes ses intelligences, des forces obscures, nostalgiques de la regrettable parenthèse de la Refondation, continuent d’entretenir des illusions d’un retour aux affirmes de Laurent Gbagbo. A cet effet, ils mènent çà et là des opérations subversives, tendant à effrayer les populations et à les détourner des sentiers et des chantiers nouveaux que trace et lance le nouveau régime. Il s’agit aussi de distraire le gouvernement et de faire fuir les investisseurs qui affluent depuis un moment. Tout cela leur fait grincer des dents. Ils ont peur de voir la compétence et l’expérience de Ouattara s’exprimer là où ils ont foutu le bordel total. Mais, comme l’a déclaré le ministre, Hamed Bakayoko, ‘’ces gens ne pourront jamais tenir longtemps une position au point d’en faire un bastion imprenable’’. Ils s’agitent mais agit. Ils piaillent mais, Ouattara est serein et mène le navire Ivoire vers la destination “ émergence’’. Ouattara préfère emprisonner ceux d’entre eux qui osent braver la République au lieu de les tuer comme ils le faisaient avec les escadrons de la mort, les miliciens et les mercenaires libériens cautionnés jusqu’au sommet de l’Etat. Le monde entier a encore en mémoire l’article 125 de Blé Goudé et ses ravages cruels. On se souviendra aussi longtemps que nécessaire des assauts meurtriers du général Dogbo Blé et ses hommes. On ‘oublie également les différentes tentatives d’assassinats de Ouattara et de plein d’autres membres influents du Rhdp. Mais, pour l’humaniste Ouattara, tout cela doit relever du passer pour ne regarder que l’avenir de la Côte d’Ivoire et des Ivoiriens. A l’opposé de la souillure dans laquelle Laurent Gbagbo et ses chiens de guerre ont plongé le pays, Ouattara propose une renaissance. Des mentalités, une véritable prise en compte des aspirations du peuple. Il en donne l’exemple par son assiduité et sa rigueur au travail. Et le plan national de développement, déballé récemment devant le parlement ivoirien est le gage d’une marche ordonnée, réaliste et responsable vers une nation prospère et démocratique. Les marchands d’illusion peuvent toujours distribuer leurs insensés produits sur le marché de ces petits psychopathes névrosés, nostalgiques d’une époque ensevelie depuis le 11 avril 2011 et qui s’enfoncent dans leurs rêves de reprendre le pouvoir par les armes. La Côte d’Ivoire continuera sa remontée avec Ouattara, n’en déplaise à tous ces esprits chagrins noyés dans leur propre océan d’illusions.
MASS DOMI
massoueudomi@yahoo.fr
On peut le dire, avec assurance, Alassane Ouattara et le camp FPI, c’est le jour et la nuit ! Et la démonstration se fait sans difficulté aucune. Tant au plan diplomatique, politique, qu’économique et social. Installé à la tête d’un pays quasiment ruiné par la méchanceté de Laurent Gbagbo et ses sbires, Alassane Ouattara, en vrai homme d’Etat, a pris la pleine mesure des dégâts et des réponses urgentes ont été envisagées pour soulager le peuple meurtri à tout point de vue par le fait d’un dictateur aux abois. Ainsi, au plan social, et alors que les caisses étaient totalement asséchées, suite aux multiples pillages et braquages des pro-Gbagbo, le président de la République ordonnera le paiement de deux mois de salaires aux fonctionnaires et agents de l’Etat. Là où son prédécesseur, en dépit des temps cléments, a craché aux yeux des travailleurs son mépris et son indifférence à leurs cris de détresse, Ouattara a exprimé concrètement sa sensibilité à leur situation. Et ce n’est pas tout ! Conscient qu’un peuple malade, ne peut être efficace au travail, il engage les soins gratuits dans les hôpitaux publics. Une décision qui se poursuit encore avec la gratuité ciblée. Et Dieu seul, sait si des familles ont été sauvées de justesse d’une mort certaine. On retiendra également de la réhabilitation totale et spectaculaire des deux universités d’Abidjan (Abobo-Adjamé et Cocody). Que dire de la voirie d’Abidjan qui a connu une véritable remise à niveau, particulièrement à Yopougon, ex-fief du FPI? Le triste souvenir de la voie Saguidiba-Sideci Lem, siège de la plus puissante tribune de la propagande de la galaxie patriotique, caisse de résonnance et espace d’endoctrinement des militants de la Refondation, est encore vivace dans les esprits. Ce quartier qui a abrité des miliciens et des mercenaires qui ont endeuillé de nombreuses familles, a été l’un des premiers quartiers à être réhabilité après la crise. En outre, le président Ouattara a donné un coup à l’opération ‘’pays propre’’ dont les résultats permettent aujourd’hui à Abidjan et à ses habitants de vivre dans un environnement sain. Cette action salutaire a atteint la capitale politique, Yamoussoukro, et s’étend progressivement aux autres villes du pays. Récemment, les taxes douanières sur l’importation du riz ont été suspendues pour éviter une augmentation du prix de cette denrée de grande consommation en Côte d’Ivoire. Ajouté à cela son niet à l’augmentation drastique des frais d’inscription dans les universités publiques. Un sacrifice qui équivaut à une prise en charge de 70% des 100.000FCFA proposés par le Conseil de l’université.
Visite historique à l’Ouest malgré toutes les menaces
En avril dernier, alors que des chants de cygnes annonçaient l’apocalypse dans la partie ouest de la Côte d’Ivoire, le président Alassane Ouattara s’y est rendu, dans le cadre d’une visite d’Etat de cinq jours. Il s’agissait pour lui de rassurer ses compatriotes Wê, victimes de plusieurs années de souffrances de toutes sortes. Des messages forts de réconciliations ont été distillés à chaque étape sans oublier les réalisations socio-économiques substantielles qui ont précédé son arrivée. Bien avant, et pour concrétiser sa volonté de réconciliation, le chef de l’Etat a mis en place une commission dans ce sens dont le patron est Charles Konan Banny. Que dire des différentes missions de bon nombre de ses collaborateurs dans les pays de la sous-région en vue d’inciter les exilés à rentrer au pays et à prendre leur place dans la reconstruction nationale.
Les grands chantiers en cours
Le troisième pont d’Abidjan, le pont de Jacqueville, l’autoroute du Nord, l’autoroute de Grand-Bassam, l’eau portable à Abidjan depuis Bonoua, et à partir de 2013, le lancement de projets, de plus grande envergure au plan des infrastructures socio-économiques, des productions minières, agricoles, etc. Les premiers résultats des Solutions sont là, palpables et se passent de commentaire.
Les exploits financiers
En moins d’un an, la Côte d’Ivoire est passée, des ruines financières à un embellissement caractérisé par l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative Ppte et le retour de la confiance entre les institutions financières et le régime ivoirien. Le retour de la Bad n’est plus qu’une question de mois et les investisseurs se bousculent aux portes du pays. Il ne se passe plus de jours sans qu’Européens, Asiatiques ou Américains ne débarquent au bord de la lagune Ebrié pour s’enquérir auprès des autorités ivoiriennes sur les opportunités économiques du pays. Par exemple, sur l’importation du riz, le sens d’anticipation du président Ouattara a permis d’obtenir une bonne réserve avec la Thaïlande. L’instruction exécutée avec dextérité par le ministre du Commerce, Dagobert Banzio, met les populations à l’abri d’une augmentation du prix de cette denrée, liée aux fluctuations du marché mondial. Bien qu’il ait trouvé la Côte d’Ivoire dans un état de délabrement avancé, causés par Laurent Gbagbo et sa machine à détruire mettant à plat tout l’appareil de l’Etat par des braquages, pillages et saccages, Alassane Ouattara n’en a jamais fait une raison de pleurnichement et de lamentation. Au contraire, il s’est résolu à y faire face avec efficacité, acharnement au travail, responsabilité et compétence. Le programme présidentiel d’urgence qu’il a lancé et dont les fruits sont plus que visibles, en constitue une vraie démonstration.
Les prouesses diplomatiques
L’offensive et les succès diplomatiques entamés alors qu’il était sous blocus à l’hôtel du Golf se sont amplifiés depuis la chute du faucon bleu. Les nombreux déplacements à l’extérieur, l’afflux des diplomates, les lauriers africains et bine d’autres actions ont contribué à redonner à la Côte d’Ivoire son lustre diplomatique complètement bousillé par l’ère Gbagbo. Sa désignation par ses pairs à la tête de la prestigieuse CEDEAO est une illustration très forte du grand espoir que toute l’Afrique place en lui. Jamais, dans l’histoire de cette organisation, un président nouvellement élu à la tête de son pays, n’a occupé la présidence de l’UA, ex OUA.
Un fossé trop profond et trop large entre Gbagbo et Ouattara
De pays infréquentable, la Côte d’Ivoire est à nouveau une destination attrayante. Parce qu’à sa tête, il y a, désormais, un homme d’Etat, un président qui maîtrise son sujet, un docteur qui sait où se situe le mal de son pays. Bref, un humaniste dont le seul péché est sa volonté manifeste de conduire son peuple vers des pâturages verdoyants, vers l’oasis. Toutes choses qui mettent à nue la médiocrité du régime précédent et qui lui valent une jalousie et les velléités de déstabilisation qui endeuillent, depuis un moment, des familles.
Les chiens peuvent-ils arrêter la caravane ?
Malgré l’engagement du président Alassane Ouattara à faire de la Côte d’Ivoire un pays émergeant avec toutes ses intelligences, des forces obscures, nostalgiques de la regrettable parenthèse de la Refondation, continuent d’entretenir des illusions d’un retour aux affirmes de Laurent Gbagbo. A cet effet, ils mènent çà et là des opérations subversives, tendant à effrayer les populations et à les détourner des sentiers et des chantiers nouveaux que trace et lance le nouveau régime. Il s’agit aussi de distraire le gouvernement et de faire fuir les investisseurs qui affluent depuis un moment. Tout cela leur fait grincer des dents. Ils ont peur de voir la compétence et l’expérience de Ouattara s’exprimer là où ils ont foutu le bordel total. Mais, comme l’a déclaré le ministre, Hamed Bakayoko, ‘’ces gens ne pourront jamais tenir longtemps une position au point d’en faire un bastion imprenable’’. Ils s’agitent mais agit. Ils piaillent mais, Ouattara est serein et mène le navire Ivoire vers la destination “ émergence’’. Ouattara préfère emprisonner ceux d’entre eux qui osent braver la République au lieu de les tuer comme ils le faisaient avec les escadrons de la mort, les miliciens et les mercenaires libériens cautionnés jusqu’au sommet de l’Etat. Le monde entier a encore en mémoire l’article 125 de Blé Goudé et ses ravages cruels. On se souviendra aussi longtemps que nécessaire des assauts meurtriers du général Dogbo Blé et ses hommes. On ‘oublie également les différentes tentatives d’assassinats de Ouattara et de plein d’autres membres influents du Rhdp. Mais, pour l’humaniste Ouattara, tout cela doit relever du passer pour ne regarder que l’avenir de la Côte d’Ivoire et des Ivoiriens. A l’opposé de la souillure dans laquelle Laurent Gbagbo et ses chiens de guerre ont plongé le pays, Ouattara propose une renaissance. Des mentalités, une véritable prise en compte des aspirations du peuple. Il en donne l’exemple par son assiduité et sa rigueur au travail. Et le plan national de développement, déballé récemment devant le parlement ivoirien est le gage d’une marche ordonnée, réaliste et responsable vers une nation prospère et démocratique. Les marchands d’illusion peuvent toujours distribuer leurs insensés produits sur le marché de ces petits psychopathes névrosés, nostalgiques d’une époque ensevelie depuis le 11 avril 2011 et qui s’enfoncent dans leurs rêves de reprendre le pouvoir par les armes. La Côte d’Ivoire continuera sa remontée avec Ouattara, n’en déplaise à tous ces esprits chagrins noyés dans leur propre océan d’illusions.
MASS DOMI
massoueudomi@yahoo.fr