ABIDJAN - L'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) condamne "énergiquement" le saccage samedi à Abidjan du siège du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l'ex-président Laurent Gbagbo, par des individus non identifiés.
"L'Onuci condamne énergiquement les incidents violents survenus au siège du Front populaire ivoirien (FPI) à Cocody, un quartier d'Abidjan", indique un communiqué de la mission onusienne.
Des individus armés de machette et de gourdins, selon des témoins, ont mis à sac le quartier général de campagne de l'ex- président Laurent Gbagbo qui sert de siège provisoire à son parti et molesté ses occupants faisant deux blessés.
Les assaillants ont également incendié un véhicule, selon les mêmes sources.
Un haut responsable du FPI soutient avoir reconnu des partisans du président Alassane Ouattara.
"Ce genre d'acte est d'autant plus regrettable qu'il survient à un moment où la nation ivoirienne a besoin du concours de tous pour permettre le dialogue tant nécessaire pour arriver à une réconciliation véritable", poursuit le communiqué de l'Onuci.
Le saccage du siège du FPI intervient après une série de raids meurtriers de groupés armés non identifiés contre des postes de contrôle et des camps militaires à Abidjan et dans des localités du pays.
Le gouvernement a accusé des partisans de Laurent Gbagbo d'en être les auteurs, ce que nie le FPI.
L'Onuci "tient à réitérer son appel urgent au calme dans cette période sensible de l'histoire de la nation ivoirienne".
Elle exhorte le gouvernement à "n'épargner aucun effort pour identifier et sanctionner les auteurs de ces actes violents".
L'Onuci "encourage également le gouvernement à prendre des mesures concrètes et urgentes pour impulser le processus indispensable de réconciliation nationale", conclut le communiqué.
"L'Onuci condamne énergiquement les incidents violents survenus au siège du Front populaire ivoirien (FPI) à Cocody, un quartier d'Abidjan", indique un communiqué de la mission onusienne.
Des individus armés de machette et de gourdins, selon des témoins, ont mis à sac le quartier général de campagne de l'ex- président Laurent Gbagbo qui sert de siège provisoire à son parti et molesté ses occupants faisant deux blessés.
Les assaillants ont également incendié un véhicule, selon les mêmes sources.
Un haut responsable du FPI soutient avoir reconnu des partisans du président Alassane Ouattara.
"Ce genre d'acte est d'autant plus regrettable qu'il survient à un moment où la nation ivoirienne a besoin du concours de tous pour permettre le dialogue tant nécessaire pour arriver à une réconciliation véritable", poursuit le communiqué de l'Onuci.
Le saccage du siège du FPI intervient après une série de raids meurtriers de groupés armés non identifiés contre des postes de contrôle et des camps militaires à Abidjan et dans des localités du pays.
Le gouvernement a accusé des partisans de Laurent Gbagbo d'en être les auteurs, ce que nie le FPI.
L'Onuci "tient à réitérer son appel urgent au calme dans cette période sensible de l'histoire de la nation ivoirienne".
Elle exhorte le gouvernement à "n'épargner aucun effort pour identifier et sanctionner les auteurs de ces actes violents".
L'Onuci "encourage également le gouvernement à prendre des mesures concrètes et urgentes pour impulser le processus indispensable de réconciliation nationale", conclut le communiqué.