I/ Les faits
Dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 Août 2012, 06 individus armés non identifiés ont escaladé le mur du siège de Cyclone, société éditrice des quotidiens Le Temps, LG Infos et de l’hebdomadaire Prestige Mag. Une fois dans la cour, ils ont ligoté le gardien, l’ont passé à tabac, avant de l’obliger à ouvrir les portes. Dans les bureaux du rez-de-chaussée puis dans ceux du premier étage, les vandales se sont emparés de plusieurs ordinateurs et autres matériels de bureau, avant d’y mettre le feu.
Leur forfait accompli, les malfrats sont sortis en toute quiétude avec leur butin, pour se volatiliser dans la nature.
II/ Nos observations
L’attaque du groupe Cyclone intervient dans un contexte de crise particulièrement difficile pour les entreprises de presse, qui éprouvent d’énormes difficultés pour faire face à leurs charges de fonctionnement.
Cette agression intervient dans un contexte sociopolitique tendu fait d’attaques de cibles militaires par des individus non identifiés.
Cette attaque intervient alors que les travaux de réhabilitation du siège de Cyclone pillé pendant la crise postélectorale, venaient de prendre fin et que les journalistes s’apprêtaient à y aménager à nouveau.
III/ Notre position
Les organisations de la presse nationale,
- dénoncent avec force les attaques contre les entreprises de presse. Toute chose qui n’est pas de nature à montrer de notre pays un visage respectable à travers le monde.
- déplorent ces agissements d’individus irresponsables et dont les actes mettent fortement à mal la marche de la Côte d’Ivoire vers le progrès et la démocratie.
- condamnent avec la dernière énergie cet acte criminel digne d’un autre âge, qui constitue une violation grave de la liberté de la presse, de l’intégrité physique des journalistes et des entreprises de presse.
- assurent le groupe Cyclone de son soutien et de sa solidarité sans faille dans cette nouvelle épreuve.
- recommandent à l’Etat de Côte d’Ivoire de prendre dès maintenant, toutes les dispositions nécessaires pour assurer la sécurité des journalistes et de leurs entreprises. Car il n’y a pas de démocratie sans une presse libre.
Fait à Abidjan, le 20 Août 2012
- Pour l’UNJCI
- Pour l’OJPCI
- Pour le SYNAPPCI
- Pour le SAAPPCI
- Pour le CIPJ.
Dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 Août 2012, 06 individus armés non identifiés ont escaladé le mur du siège de Cyclone, société éditrice des quotidiens Le Temps, LG Infos et de l’hebdomadaire Prestige Mag. Une fois dans la cour, ils ont ligoté le gardien, l’ont passé à tabac, avant de l’obliger à ouvrir les portes. Dans les bureaux du rez-de-chaussée puis dans ceux du premier étage, les vandales se sont emparés de plusieurs ordinateurs et autres matériels de bureau, avant d’y mettre le feu.
Leur forfait accompli, les malfrats sont sortis en toute quiétude avec leur butin, pour se volatiliser dans la nature.
II/ Nos observations
L’attaque du groupe Cyclone intervient dans un contexte de crise particulièrement difficile pour les entreprises de presse, qui éprouvent d’énormes difficultés pour faire face à leurs charges de fonctionnement.
Cette agression intervient dans un contexte sociopolitique tendu fait d’attaques de cibles militaires par des individus non identifiés.
Cette attaque intervient alors que les travaux de réhabilitation du siège de Cyclone pillé pendant la crise postélectorale, venaient de prendre fin et que les journalistes s’apprêtaient à y aménager à nouveau.
III/ Notre position
Les organisations de la presse nationale,
- dénoncent avec force les attaques contre les entreprises de presse. Toute chose qui n’est pas de nature à montrer de notre pays un visage respectable à travers le monde.
- déplorent ces agissements d’individus irresponsables et dont les actes mettent fortement à mal la marche de la Côte d’Ivoire vers le progrès et la démocratie.
- condamnent avec la dernière énergie cet acte criminel digne d’un autre âge, qui constitue une violation grave de la liberté de la presse, de l’intégrité physique des journalistes et des entreprises de presse.
- assurent le groupe Cyclone de son soutien et de sa solidarité sans faille dans cette nouvelle épreuve.
- recommandent à l’Etat de Côte d’Ivoire de prendre dès maintenant, toutes les dispositions nécessaires pour assurer la sécurité des journalistes et de leurs entreprises. Car il n’y a pas de démocratie sans une presse libre.
Fait à Abidjan, le 20 Août 2012
- Pour l’UNJCI
- Pour l’OJPCI
- Pour le SYNAPPCI
- Pour le SAAPPCI
- Pour le CIPJ.