Cela paraît surréaliste mais c'est la vérité, puisque vérifiable. Sur le site pro-Gbagbo cauris.info, un article a été publié tôt le matin du samedi, sur l'attaque du siège du FPI, avant même que les faits ne se déroulent. Apparemment, ce site pro-Gbagbo est très renseigné sur l'avenir. Voici qui devrait apporter de l'eau au moulin de ceux qui soutiennent que c'est un auto-coup du FPI. Ci-dessous l'article douteux.
Côte d'Ivoire : Le siège du FPI attaqué
A Abidjan, plus d'un an après la crise postélectorale qui a endeuillé la Côte d'Ivoire avec ses 3.000 morts à la clef, c'est avec étonnement que l'on assiste à un regain de violence.
Plombant dans l'aile, la réconciliation qui avait été amorcé par le gouvernement. En effet, en moins de deux semaines, près de 10 attaques ciblées et orchestrées par des bandes armées non encore identifiées, ont fait de nombreuses victimes et dégâts matériels.
La nuit du vendredi 17 août 2012, a servi à cambrioler le siège du parti de l'ancien chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, qui croupit dans les geôles de La Haye. Situé à Cocody-Attoban (au nord d’Abidjan) , le siège du Front Populaire Ivoirien a été pris pour cible par des hommes en armes. Selon des témoins, le bilan fait état de plusieurs personnes blessées, des véhicules incendiés, le matériel bureautique emporté. Seule note d'espoir dans ces actes, aucune perte en vie humaine.
Mais les rafles, arrestations systématiques se font de plus en plus récurrents dans certains quartiers favorables à Laurent Gbagbo. Et nos sources de révéler par exemple plus de 300 personnes arrêtées à Yopougon, dont deux journalistes du quotidien ''Le Mandat'', proche du Premier ministre Ahoussou Jeannot. Il s'agit de Jules César, chef service Economie et Lorn Esmel du service politique. Malgré les appels au calme lancés ça et là, la classe politique ivoirienne se confond en de grotesques accusations mutuelles. Causant un climat délétère et propice à la guérilla et à la chienlit, ce qui n'est pas fait pour arranger aucun clan.
Auguste Zirignon
Côte d'Ivoire : Le siège du FPI attaqué
A Abidjan, plus d'un an après la crise postélectorale qui a endeuillé la Côte d'Ivoire avec ses 3.000 morts à la clef, c'est avec étonnement que l'on assiste à un regain de violence.
Plombant dans l'aile, la réconciliation qui avait été amorcé par le gouvernement. En effet, en moins de deux semaines, près de 10 attaques ciblées et orchestrées par des bandes armées non encore identifiées, ont fait de nombreuses victimes et dégâts matériels.
La nuit du vendredi 17 août 2012, a servi à cambrioler le siège du parti de l'ancien chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, qui croupit dans les geôles de La Haye. Situé à Cocody-Attoban (au nord d’Abidjan) , le siège du Front Populaire Ivoirien a été pris pour cible par des hommes en armes. Selon des témoins, le bilan fait état de plusieurs personnes blessées, des véhicules incendiés, le matériel bureautique emporté. Seule note d'espoir dans ces actes, aucune perte en vie humaine.
Mais les rafles, arrestations systématiques se font de plus en plus récurrents dans certains quartiers favorables à Laurent Gbagbo. Et nos sources de révéler par exemple plus de 300 personnes arrêtées à Yopougon, dont deux journalistes du quotidien ''Le Mandat'', proche du Premier ministre Ahoussou Jeannot. Il s'agit de Jules César, chef service Economie et Lorn Esmel du service politique. Malgré les appels au calme lancés ça et là, la classe politique ivoirienne se confond en de grotesques accusations mutuelles. Causant un climat délétère et propice à la guérilla et à la chienlit, ce qui n'est pas fait pour arranger aucun clan.
Auguste Zirignon