Désormais, les complices de Douaty sont connus. Selon une source proche des grandes oreilles, il s’agit de civils et de militaires
Ce n’est plus un secret. Les services de renseignements ivoiriens sont sur la bonne piste. Les téléphones portables et les numéros décryptés ont commencé à parler. Certains hommes politiques bien connus sont au centre du projet de déstabilisation qui était en cours à travers les attaques tous azimuts des positions des forces de l’ordre à Abidjan et à l’intérieur du pays. Cette liste est composée de civils et de militaires. Il s’agit, selon nos sources, pour la classe politique de Koré Moïse, pasteur de Gbagbo (exilé au Ghana), du ministre Assoa Adou (exilé au Ghana) et de Koné Katinan (en fuite). Côté militaire, l’on nous cite les colonels Gouanou, Dady, les commandants Jean Noël Abéhi, KB et des commissaires de police Loba et Gnahoua dit Kabila. Toujours d’après nos interlocuteurs, ces militaires sont les concepteurs des plans d’attaques dont le poste de commandement des opérations est basé au Ghana. C’est le cdt KB qui dirige ce poste de commandement. Alphonse Douati était régulièrement en contact téléphonique avec ses complices. Ils se sont donné des indicatifs dans l’espoir de brouiller les pistes. Ainsi, les enquêteurs ont pu relever les numéros auxquels l’ancien ministre de la production animale et des ressources halieutiques et ses «putschistes» communiquaient depuis le Ghana. Ce sont les numéros suivants : (+233) 546 772 586 ; (+233) 271 835 684 ; (+233) 248 768 393. «La direction du Front populaire ivoirien n’est pas étrangère au comportement de Alphonse Douaty. Elle savait que ce dernier était en contact permanent avec ces personnes. Et il rendait régulièrement compte en off à la direction de leur parti de l’avancement de leur projet. Dans les jours à venir, nous allons communiquer les noms des membres de la direction du Fpi qui sont impliqués dans ces différents projets de déstabilisation», annonce un officier des services secrets qui a requis l’anonymat. Assure-t-on, très bientôt, le gouvernement va éclairer l’opinion nationale sur les actions subversives entreprises par l’opposition notamment le Fpi.
Bahi K.
Ce n’est plus un secret. Les services de renseignements ivoiriens sont sur la bonne piste. Les téléphones portables et les numéros décryptés ont commencé à parler. Certains hommes politiques bien connus sont au centre du projet de déstabilisation qui était en cours à travers les attaques tous azimuts des positions des forces de l’ordre à Abidjan et à l’intérieur du pays. Cette liste est composée de civils et de militaires. Il s’agit, selon nos sources, pour la classe politique de Koré Moïse, pasteur de Gbagbo (exilé au Ghana), du ministre Assoa Adou (exilé au Ghana) et de Koné Katinan (en fuite). Côté militaire, l’on nous cite les colonels Gouanou, Dady, les commandants Jean Noël Abéhi, KB et des commissaires de police Loba et Gnahoua dit Kabila. Toujours d’après nos interlocuteurs, ces militaires sont les concepteurs des plans d’attaques dont le poste de commandement des opérations est basé au Ghana. C’est le cdt KB qui dirige ce poste de commandement. Alphonse Douati était régulièrement en contact téléphonique avec ses complices. Ils se sont donné des indicatifs dans l’espoir de brouiller les pistes. Ainsi, les enquêteurs ont pu relever les numéros auxquels l’ancien ministre de la production animale et des ressources halieutiques et ses «putschistes» communiquaient depuis le Ghana. Ce sont les numéros suivants : (+233) 546 772 586 ; (+233) 271 835 684 ; (+233) 248 768 393. «La direction du Front populaire ivoirien n’est pas étrangère au comportement de Alphonse Douaty. Elle savait que ce dernier était en contact permanent avec ces personnes. Et il rendait régulièrement compte en off à la direction de leur parti de l’avancement de leur projet. Dans les jours à venir, nous allons communiquer les noms des membres de la direction du Fpi qui sont impliqués dans ces différents projets de déstabilisation», annonce un officier des services secrets qui a requis l’anonymat. Assure-t-on, très bientôt, le gouvernement va éclairer l’opinion nationale sur les actions subversives entreprises par l’opposition notamment le Fpi.
Bahi K.