Abidjan - Bientôt, une mission conjointe Gouvernement-Assemblée nationale va sillonner le pays, à la rencontre des populations en vue de les sensibiliser à la réconciliation et à la paix, annonce le président du parlement ivoirien, l`ancien Premier ministre Guillaume Kigbafori Soro, au sortir d`une audience, ce jeudi, à la Primature, à Abidjan, avec son successeur, Jeannot Ahoussou-Kouadio, indiquant que cette mission conjointe se voudrait traduire la "solidarité agissante" entre les institutions.
"Nous avons convenu d`envoyer, sur l`ensemble du territoire national, des missions communes pour sensibiliser les populations à la paix et à la réconciliation", a déclaré M. Soro, au terme d`une séance de travail qualifiée de "fructueuse", indiquant placer cette visite sous le signe de la "solidarité entre les institutions". M. Soro a également souligné avoir fait avec le chef du gouvernement ivoirien un tour d’horizon des questions brûlantes de l’actualité, notamment les questions politiques, sociales et de sécurité, nécessaires à la gouvernance publique.
Le président de l’Assemblée nationale, dans le même cadre, s’est rendu, par la suite, à la Grande Chancellerie pour d’autres échanges et, dans les tout-prochains jours, avec le président du Conseil économique et social. Dans cette même veine, le président Soro a déjà reçu les ministres des Affaires présidentielles, Ibrahim Ouattara, Hamed Bakayoko, ainsi que le haut commandement militaire des Forces républicaines de Côte d`Ivoire(FRCI), conduite par le chef d`état-major général, Soumaïla Bakayoko.
Le gouvernement ivoirien est, ces derniers temps, confronté à une vague de violences, qualifiées de "harcèlement psychologique", perpétrées par des milices pro-Gbagbo, non rentrées dans les rangs, et qui ont déjà fait, à ce jour, une soixantaine de victimes parmi les populations civiles et militaires. La police a interpellé, Alphonse Douaty, un haut dirigeant du front populaire ivoirien(FPI) de l`ex-président Laurent Gbagbo, qui serait impliqué dans ces attaques. Il est déféré, depuis mardi, à la maison d`arrêt et de correction d`Abidjan(MACA), sous le chef d`inculpation d`"atteinte à la sûreté de l`Etat". Selon la presse abidjanaise, celui-ci aurait été abondamment cité par de nombreux miliciens arrêtés. En compagnie de ce dirigeant, des cadres FPI également, poursuivis pour "troubles à l`ordre public".
"Nous avons convenu d`envoyer, sur l`ensemble du territoire national, des missions communes pour sensibiliser les populations à la paix et à la réconciliation", a déclaré M. Soro, au terme d`une séance de travail qualifiée de "fructueuse", indiquant placer cette visite sous le signe de la "solidarité entre les institutions". M. Soro a également souligné avoir fait avec le chef du gouvernement ivoirien un tour d’horizon des questions brûlantes de l’actualité, notamment les questions politiques, sociales et de sécurité, nécessaires à la gouvernance publique.
Le président de l’Assemblée nationale, dans le même cadre, s’est rendu, par la suite, à la Grande Chancellerie pour d’autres échanges et, dans les tout-prochains jours, avec le président du Conseil économique et social. Dans cette même veine, le président Soro a déjà reçu les ministres des Affaires présidentielles, Ibrahim Ouattara, Hamed Bakayoko, ainsi que le haut commandement militaire des Forces républicaines de Côte d`Ivoire(FRCI), conduite par le chef d`état-major général, Soumaïla Bakayoko.
Le gouvernement ivoirien est, ces derniers temps, confronté à une vague de violences, qualifiées de "harcèlement psychologique", perpétrées par des milices pro-Gbagbo, non rentrées dans les rangs, et qui ont déjà fait, à ce jour, une soixantaine de victimes parmi les populations civiles et militaires. La police a interpellé, Alphonse Douaty, un haut dirigeant du front populaire ivoirien(FPI) de l`ex-président Laurent Gbagbo, qui serait impliqué dans ces attaques. Il est déféré, depuis mardi, à la maison d`arrêt et de correction d`Abidjan(MACA), sous le chef d`inculpation d`"atteinte à la sûreté de l`Etat". Selon la presse abidjanaise, celui-ci aurait été abondamment cité par de nombreux miliciens arrêtés. En compagnie de ce dirigeant, des cadres FPI également, poursuivis pour "troubles à l`ordre public".