Après l’attaque contre le camp militaire d’Akouédo, notre ministre de l’Intérieur avait prévenu : «On sera désormais sans pitié contre les déstabilisateurs». Suivront ensuite d’autres déclarations les unes aussi martiales que les autres.
Après l’attaque de Dabou, on n’a pas beaucoup entendu notre ministre de l’Intérieur. Un silence auquel il n’avait pas habitué les Ivoiriens et qui commençait à faire beaucoup de bruits. Pas pour longtemps, heureusement !
Le 24 août, soit neuf jours après l’attaque, il s’est rendu sur le terrain à Dabou où il a rencontré le préfet et la chefferie traditionnelle. Entres autres révélations et menaces, le ministre de l’Intérieur a encore promis deux choses : «On ne fera plus de cadeau. Tout chef de village complice sera destitué et poursuivi».
Tout d’un coup, nous sommes rassurés quant à notre sécurité…
ALEX KASSY
Après l’attaque de Dabou, on n’a pas beaucoup entendu notre ministre de l’Intérieur. Un silence auquel il n’avait pas habitué les Ivoiriens et qui commençait à faire beaucoup de bruits. Pas pour longtemps, heureusement !
Le 24 août, soit neuf jours après l’attaque, il s’est rendu sur le terrain à Dabou où il a rencontré le préfet et la chefferie traditionnelle. Entres autres révélations et menaces, le ministre de l’Intérieur a encore promis deux choses : «On ne fera plus de cadeau. Tout chef de village complice sera destitué et poursuivi».
Tout d’un coup, nous sommes rassurés quant à notre sécurité…
ALEX KASSY