Yamoussoukro, 1er sept (AIP) – Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, mouvance présidentielle) salue l’appel du président Ouattara à la réconciliation, malgré les attaques récurrentes des Frci par des inconnus en plusieurs endroits du pays.
Yamoussoukro, 1er sept (AIP) – Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, mouvance présidentielle) salue l’appel du président Ouattara à la réconciliation, malgré les attaques récurrentes des Frci par des inconnus en plusieurs endroits du pays.
« Je crois qu’il faut saluer la phrase à deux volets du président Ouattara quand il est arrivé et a lancé un appel à la réconciliation. Il a aussi parlé de ce que la justice devrait faire son travail. On souhaite donc que la justice fasse son travail, mais que des mesures soient aussi prises pour que la réconciliation soit possible. Je pense que les effets que nous donnera le processus de réconciliation soit immense par rapport à ce qu’une justice pure et dure aura donné aux Ivoiriens dans leur ensemble », a déclaré M. Djédjé Mady, lors d'un échange mercredi avec la presse à Yamoussoukro.
Selon le SG du Pdci, tous les ivoiriens sont fautifs à des niveaux divers, à des degrés divers. Mais la réconciliation suppose des sacrifices de part et d’autre, la bonne volonté de part et d’autre. « Mais il y a des faits qui doivent être connus par la justice, puisque souvent la réconciliation qui apaise les cœurs fait suite à des mesures de justice, quitte à faire une rémission de peine », a-t-il dit, relevant que tout ce qui peut se faire sans être obligé d’attendre des rémissions de peine pour qu’on aille à la paix mériterait d’être fait comme sacrifice, comme efforts.
« La Côte d’Ivoire est notre bien commun. On ne pourra rayer quelqu’un de la Côte d’Ivoire, qu’on soit bon ou mauvais, grand ou court. On est tous Ivoiriens, chacun avec ses qualités, chacun avec ses défauts! Je crois que la vie en commun suppose un degré de tolérance pour accepter l’autre comme étant une partie de soi-même », a conseillé M. Mady.
« Il n’y a pas un seul homme mauvais qui n’a pas en lui quelque chose de bon auquel on peut s’accrocher, quitte à l’aider à réparer l’immense partie mauvaise. Donc…c’est un impératif catégorique, la nécessité de nous tendre la main, quels que soient nos opinions. Seulement, nous devons renoncer à la violence, nous devons de part et d’autre, nous accepter pour vivre ensemble», a-t-il insisté.
(AIP)
Yamoussoukro, 1er sept (AIP) – Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, mouvance présidentielle) salue l’appel du président Ouattara à la réconciliation, malgré les attaques récurrentes des Frci par des inconnus en plusieurs endroits du pays.
« Je crois qu’il faut saluer la phrase à deux volets du président Ouattara quand il est arrivé et a lancé un appel à la réconciliation. Il a aussi parlé de ce que la justice devrait faire son travail. On souhaite donc que la justice fasse son travail, mais que des mesures soient aussi prises pour que la réconciliation soit possible. Je pense que les effets que nous donnera le processus de réconciliation soit immense par rapport à ce qu’une justice pure et dure aura donné aux Ivoiriens dans leur ensemble », a déclaré M. Djédjé Mady, lors d'un échange mercredi avec la presse à Yamoussoukro.
Selon le SG du Pdci, tous les ivoiriens sont fautifs à des niveaux divers, à des degrés divers. Mais la réconciliation suppose des sacrifices de part et d’autre, la bonne volonté de part et d’autre. « Mais il y a des faits qui doivent être connus par la justice, puisque souvent la réconciliation qui apaise les cœurs fait suite à des mesures de justice, quitte à faire une rémission de peine », a-t-il dit, relevant que tout ce qui peut se faire sans être obligé d’attendre des rémissions de peine pour qu’on aille à la paix mériterait d’être fait comme sacrifice, comme efforts.
« La Côte d’Ivoire est notre bien commun. On ne pourra rayer quelqu’un de la Côte d’Ivoire, qu’on soit bon ou mauvais, grand ou court. On est tous Ivoiriens, chacun avec ses qualités, chacun avec ses défauts! Je crois que la vie en commun suppose un degré de tolérance pour accepter l’autre comme étant une partie de soi-même », a conseillé M. Mady.
« Il n’y a pas un seul homme mauvais qui n’a pas en lui quelque chose de bon auquel on peut s’accrocher, quitte à l’aider à réparer l’immense partie mauvaise. Donc…c’est un impératif catégorique, la nécessité de nous tendre la main, quels que soient nos opinions. Seulement, nous devons renoncer à la violence, nous devons de part et d’autre, nous accepter pour vivre ensemble», a-t-il insisté.
(AIP)