Le prix du pain n’augmentera pas. En tous cas, pas pour le moment. Ainsi en a décidé la Fédération interprofessionnelle des patrons boulangers et pâtissiers de Côte d’Ivoire (Fipbpci). L’information nous a été livrée par son président Any Zoboué Jean-Baptiste. Ce qui ne signifie pas que le problème lié à l’augmentation du prix de la farine de blé par les meuniers (de 350.000 Fcfa à 410.000 Fcfa la tonne) a été réglé.
En effet, comme nous l’a fait savoir notre interlocuteur, les décisions de renoncer à l’exclusion des intermédiaires dans la chaîne de distribution et de ne vendre la baguette de pain à 150 Fcfa que dans les boulangeries, ont été suspendues juste pour éviter d’en rajouter à la souffrance des Ivoiriens en cette veille de rentrée scolaire. Toutefois, a-t-il précisé, «il nous faut des mesures d’accompagnement». C’est pourquoi, fait-il savoir, des discussions vont être engagées avec la tutelle. Déjà, selon le président du Fipbpci, des rencontres sont programmées avec les autorités en charge du secteur.
C’est le 21 août dernier que les boulangers et pâtissiers ont constaté que les meuniers de Côte d’Ivoire (les Grands moulins d’Abidjan, les Moulins modernes de Côte d’Ivoire et Les moulins de Côte d’Ivoire) avait procédé à une augmentation du prix de la tonne de la farine de blé. Elle a connu une augmentation de 60.000 Fcfa soit 3000 Fcfa en plus sur chaque sac de blé de 50 kg. Malgré la déclaration de la Fipbpci pour dénoncer cette situation, ni les meuniers ni le gouvernement ne sont intervenus pour communiquer sur la situation. C’est pourquoi, les boulangers et pâtissiers avaient décidé de procéder à une augmentation du prix pain.
Koné Modeste
konemo2002@yahoo.fr
En effet, comme nous l’a fait savoir notre interlocuteur, les décisions de renoncer à l’exclusion des intermédiaires dans la chaîne de distribution et de ne vendre la baguette de pain à 150 Fcfa que dans les boulangeries, ont été suspendues juste pour éviter d’en rajouter à la souffrance des Ivoiriens en cette veille de rentrée scolaire. Toutefois, a-t-il précisé, «il nous faut des mesures d’accompagnement». C’est pourquoi, fait-il savoir, des discussions vont être engagées avec la tutelle. Déjà, selon le président du Fipbpci, des rencontres sont programmées avec les autorités en charge du secteur.
C’est le 21 août dernier que les boulangers et pâtissiers ont constaté que les meuniers de Côte d’Ivoire (les Grands moulins d’Abidjan, les Moulins modernes de Côte d’Ivoire et Les moulins de Côte d’Ivoire) avait procédé à une augmentation du prix de la tonne de la farine de blé. Elle a connu une augmentation de 60.000 Fcfa soit 3000 Fcfa en plus sur chaque sac de blé de 50 kg. Malgré la déclaration de la Fipbpci pour dénoncer cette situation, ni les meuniers ni le gouvernement ne sont intervenus pour communiquer sur la situation. C’est pourquoi, les boulangers et pâtissiers avaient décidé de procéder à une augmentation du prix pain.
Koné Modeste
konemo2002@yahoo.fr