Le cirque national et historique d’Italie, Il Forilegio Darix Togni, a dressé son chapiteau en face de l’hôtel de ville, au Plateau. Depuis le 11 août, ses artistes présentent aux Abidjanais un spectacle sensationnel.
C’est le numéro-phare de la troupe. Darix Togni, directeur du cirque national et historique d’Italie, Il Forilegio Darix Togni, est dans une cage au centre de la scène avec 5 tigres du Bengale. Habillement et avec autorité, l’artiste, telle un chef d’orchestre, fait sauter, coucher, s’arrêter sur deux pattes, se percher sur des balustrades et bien d’autres positions, les animaux. Tout cela dans une symbiose parfaite. Et la délicatesse avec laquelle, par des mots, il fait sortir les félins de l’arène à la fin du passage est stupéfiante. Le public est émerveillé. Nous sommes au Plateau ce mardi, à l’espace de l’ancien marché, situé devant l’hôtel de ville, où le cirque a dressé son chapiteau depuis le 11 août. Mais avant, à notre arrivée vers 18 h, le contorsionniste présentait des figures à faire tordre le cou aux spectateurs. Après lui, le charmeur de serpent est entré scène avec ses reptiles enroulés autour de son corps. Et quand vient le numéro d’une jeune artiste enfermée dans une boîte transparente et éclairée avec des serpents et un crocodile, le public retient son souffle. La petite balade qu’elle effectuera avec ses ‘’voisins’’ transportés par quatre personnes dans la salle, permettra de détendre l’atmosphère. Entre-temps, deux clowns amusent le public et particulièrement les enfants. Que dire du jongleur de la troupe qui réussit à lancer les boules dans l’air avec sa bouche. Des trapézistes qui voltigent çà et là avec leur fameux numéro le double passage. Pepito, le chien, fait un saut de plus de 5 mètres depuis une échelle. Deux motards qui font des tours de cercle dans une bulle en métal viennent boucler la série des acrobaties. Les spectateurs ne cessent d’applaudir. La petite Maryse R., venue assister au spectacle aves ses parents, en redemande. « Maman, je veux revenir ici pour revoir les tigres parce qu’ils sont très amusants », lâche-t-elle à sa mère qui est aussi conquise. Selon le directeur de la troupe, ils sont venus apporter la joie et la réconciliation à travers le cirque suite aux durs moments que le pays a traversés. Et l’engouement des Ivoiriens est surprenant. D’autant plus que la dernière venue d’une troupe en Côte d’Ivoire date des années 70 avec le cirque Moreno. Il Forilegio Darix Togni est constitué de 40 artistes de 12 nationalités. Les spectacles ont lieu du mercredi au lundi à 18 heures, car la troupe se repose dorénavant les mardis. Mais les mercredi, samedi et dimanche, des présentations sont prévues à 15 heures. Le cirque se produira jusqu’au 14 octobre.
Franck koffi
C’est le numéro-phare de la troupe. Darix Togni, directeur du cirque national et historique d’Italie, Il Forilegio Darix Togni, est dans une cage au centre de la scène avec 5 tigres du Bengale. Habillement et avec autorité, l’artiste, telle un chef d’orchestre, fait sauter, coucher, s’arrêter sur deux pattes, se percher sur des balustrades et bien d’autres positions, les animaux. Tout cela dans une symbiose parfaite. Et la délicatesse avec laquelle, par des mots, il fait sortir les félins de l’arène à la fin du passage est stupéfiante. Le public est émerveillé. Nous sommes au Plateau ce mardi, à l’espace de l’ancien marché, situé devant l’hôtel de ville, où le cirque a dressé son chapiteau depuis le 11 août. Mais avant, à notre arrivée vers 18 h, le contorsionniste présentait des figures à faire tordre le cou aux spectateurs. Après lui, le charmeur de serpent est entré scène avec ses reptiles enroulés autour de son corps. Et quand vient le numéro d’une jeune artiste enfermée dans une boîte transparente et éclairée avec des serpents et un crocodile, le public retient son souffle. La petite balade qu’elle effectuera avec ses ‘’voisins’’ transportés par quatre personnes dans la salle, permettra de détendre l’atmosphère. Entre-temps, deux clowns amusent le public et particulièrement les enfants. Que dire du jongleur de la troupe qui réussit à lancer les boules dans l’air avec sa bouche. Des trapézistes qui voltigent çà et là avec leur fameux numéro le double passage. Pepito, le chien, fait un saut de plus de 5 mètres depuis une échelle. Deux motards qui font des tours de cercle dans une bulle en métal viennent boucler la série des acrobaties. Les spectateurs ne cessent d’applaudir. La petite Maryse R., venue assister au spectacle aves ses parents, en redemande. « Maman, je veux revenir ici pour revoir les tigres parce qu’ils sont très amusants », lâche-t-elle à sa mère qui est aussi conquise. Selon le directeur de la troupe, ils sont venus apporter la joie et la réconciliation à travers le cirque suite aux durs moments que le pays a traversés. Et l’engouement des Ivoiriens est surprenant. D’autant plus que la dernière venue d’une troupe en Côte d’Ivoire date des années 70 avec le cirque Moreno. Il Forilegio Darix Togni est constitué de 40 artistes de 12 nationalités. Les spectacles ont lieu du mercredi au lundi à 18 heures, car la troupe se repose dorénavant les mardis. Mais les mercredi, samedi et dimanche, des présentations sont prévues à 15 heures. Le cirque se produira jusqu’au 14 octobre.
Franck koffi
