Bouaké (AIP) -La Coordination nationale des ex-enseignants volontaires de Côte d’Ivoire (CNEEVCI) observent, depuis mardi, une grève de 72 heures, pour exiger le paiement de 30 mois de salaires.
Les grévistes qui ont procédé à la fermeture des locaux de la direction régionale de l’Education nationale, des inspections de l’enseignement primaire et des établissements techniques de Bouaké, menacent de perturber la rentrée scolaire fixée au 17 septembre, si aucune solution n’est trouvée à leurs revendications dans les jours à venir.
Bénéficiant d’un recrutement exceptionnel à la Fonction publique, les enseignants volontaires ont été affectés, en mars 2010, dans les établissements primaires, secondaires et techniques sur l’ensemble du territoire national.
Selon les explications du président de la CNEEVCI, Dao Issa, sa coordination revendique 30 mois de salaires de ses membres depuis la date de leur prise de fonction, alors que l’Etat prendrait en compte 13 mois de salaires, à partir du premier septembre 2011, estimant que les 17 autres mois passés avant cette date sont considérés comme des mois de stage.
"Même les 13 mois que reconnait le gouvernement ne sont toujours pas payés, nous voulons dans un premier temps le rappel de ces mois, sinon il n’y aura pas de rentée", a prévenu un des enseignants grévistes.
(AIP)
Nam/kp
(AIP)
Les grévistes qui ont procédé à la fermeture des locaux de la direction régionale de l’Education nationale, des inspections de l’enseignement primaire et des établissements techniques de Bouaké, menacent de perturber la rentrée scolaire fixée au 17 septembre, si aucune solution n’est trouvée à leurs revendications dans les jours à venir.
Bénéficiant d’un recrutement exceptionnel à la Fonction publique, les enseignants volontaires ont été affectés, en mars 2010, dans les établissements primaires, secondaires et techniques sur l’ensemble du territoire national.
Selon les explications du président de la CNEEVCI, Dao Issa, sa coordination revendique 30 mois de salaires de ses membres depuis la date de leur prise de fonction, alors que l’Etat prendrait en compte 13 mois de salaires, à partir du premier septembre 2011, estimant que les 17 autres mois passés avant cette date sont considérés comme des mois de stage.
"Même les 13 mois que reconnait le gouvernement ne sont toujours pas payés, nous voulons dans un premier temps le rappel de ces mois, sinon il n’y aura pas de rentée", a prévenu un des enseignants grévistes.
(AIP)
Nam/kp
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