La réunion solennelle de la rentrée scolaire 2012-2013 du Ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (METFP) a eu lieu, au Lycée Technique d’Abidjan-Cocody, le lundi 10 septembre 2012.
La rentrée scolaire 2012-2013 du METFP est prévue pour le 17 septembre 2012.
En prélude, la réunion solennelle qui annonce cette rentrée académique, s’est tenue, le 10 septembre 2012 au Lycée Technique d’Abidjan-Cocody.
Cette rencontre qui réunissait tous les acteurs de cet ordre d’enseignement et les partenaires privés, a été l’occasion, pour le Ministre FLINDE Albert, de présenter à ses administrés, ses grandes orientations.
Mais avant, chaque corporation présente, a eu son tour d’allocution.
Monsieur GNAHORE Aka Lambert, représentant le Maire de la commune de Cocody, où est logé le site de la cérémonie a ouvert la série de discours. Après avoir félicité le Président de la République, son Excellence Alassane OUATTARA, pour l’importance qu’il attache à l’éducation nationale, à travers la réalisation de grands chantiers dans ce domaine, dont la réhabilitation des universités ivoiriennes, il dira pour couronner propos que :
« Lors de son accession à l’indépendance, notre pays, la Côte d’Ivoire, a fait de l’éducation une de ses priorités. Tout pays qui accorde une importance particulière à la pensée, au savoir et crée des réformes pour s’adapter aux exigences de ce millénaire, ne craint pas les alias du temps. C’est pourquoi, j’appelle un soutien accru de tous les partenaires au système éducatif ».
A sa suite, Monsieur KIA DIOMANDE, proviseur du Lycée Technique d’Abidjan, s’est réjoui du choix de son établissement, pour accueillir cette importante rencontre et a montré toute la détermination des acteurs du système, à mettre en pratique les recommandations du Ministre FLINDE Albert.
Monsieur ABONGA Jean-Yves, Secrétaire Général National du SYNAFETPCI, qui parlait au nom de tous les syndicats, va à son tour de parole, présenter les attentes et les préoccupations des agents dudit ministère en ces termes :
« Si notre inquiétude sur l’instabilité de notre institution s’est quelque peu dissipé, en ce sens que le Ministre lui-même est resté à son poste, dans la démarche syndicale, aucun acquis ne saurait être remis en cause par l’autorité. Or, nous constatons que le Premier Ministre, a initié un forum social. Nous n’irons pas au forum pour discuter des acquis du profil. Nous y seront pour parler des autres problèmes ».
Madame ATTIA, représentante du secteur privé, à travers la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), va lui succéder :
« En effet, au-delà de la convention de partenariat signé en octobre 2009 entre votre département ministériel, le secteur privé et les chambres consulaires, il nous faudra ensemble (Privé/Public) donner aux partenaires au développement qui nous accompagnent sur le chemin, un signal fort. Monsieur le Ministre, nous pouvons compter sur votre appui personnel, pour fédérer toutes les énergies pour la réussite de la réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle » a-t-elle soutenue.
Le grand oral tant attendu pour clore cette rencontre, était celui du Ministre FLINDE Albert. Morceaux choisis.
« La réforme de la réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, se poursuit allègrement. Elle a été lancée effectivement avec la production, l’année dernière, des actes du séminaire d’octobre 2009, et la mise en place des instances de mise en œuvre que sont : le Comité Paritaire de Pilotage, le Comité de mise en œuvre et la Cellule de développement.
Aux Chefs d’Etablissements, vous devez vous adapter aux nouvelles orientations que nous impulsons à notre système. Vous devez êtes de véritables managers en ayant de très bons rapports avec vos collaborateurs et les chefs d’entreprises. Vous avez le devoir d’assurer le suivi de l’insertion de nos apprenants. Aux enseignants et encadreurs, je demande de tout mettre en œuvre, afin de respecter les progressions et de terminer les programmes.
A la Direction des Examens et Concours (DEXC), à travers les efforts entrepris en vue de donner plus de crédibilité à nos diplômes et de transparence au processus d’accès à nos structures de formation ». a-t-il avancé.
Le service de communication
La rentrée scolaire 2012-2013 du METFP est prévue pour le 17 septembre 2012.
En prélude, la réunion solennelle qui annonce cette rentrée académique, s’est tenue, le 10 septembre 2012 au Lycée Technique d’Abidjan-Cocody.
Cette rencontre qui réunissait tous les acteurs de cet ordre d’enseignement et les partenaires privés, a été l’occasion, pour le Ministre FLINDE Albert, de présenter à ses administrés, ses grandes orientations.
Mais avant, chaque corporation présente, a eu son tour d’allocution.
Monsieur GNAHORE Aka Lambert, représentant le Maire de la commune de Cocody, où est logé le site de la cérémonie a ouvert la série de discours. Après avoir félicité le Président de la République, son Excellence Alassane OUATTARA, pour l’importance qu’il attache à l’éducation nationale, à travers la réalisation de grands chantiers dans ce domaine, dont la réhabilitation des universités ivoiriennes, il dira pour couronner propos que :
« Lors de son accession à l’indépendance, notre pays, la Côte d’Ivoire, a fait de l’éducation une de ses priorités. Tout pays qui accorde une importance particulière à la pensée, au savoir et crée des réformes pour s’adapter aux exigences de ce millénaire, ne craint pas les alias du temps. C’est pourquoi, j’appelle un soutien accru de tous les partenaires au système éducatif ».
A sa suite, Monsieur KIA DIOMANDE, proviseur du Lycée Technique d’Abidjan, s’est réjoui du choix de son établissement, pour accueillir cette importante rencontre et a montré toute la détermination des acteurs du système, à mettre en pratique les recommandations du Ministre FLINDE Albert.
Monsieur ABONGA Jean-Yves, Secrétaire Général National du SYNAFETPCI, qui parlait au nom de tous les syndicats, va à son tour de parole, présenter les attentes et les préoccupations des agents dudit ministère en ces termes :
« Si notre inquiétude sur l’instabilité de notre institution s’est quelque peu dissipé, en ce sens que le Ministre lui-même est resté à son poste, dans la démarche syndicale, aucun acquis ne saurait être remis en cause par l’autorité. Or, nous constatons que le Premier Ministre, a initié un forum social. Nous n’irons pas au forum pour discuter des acquis du profil. Nous y seront pour parler des autres problèmes ».
Madame ATTIA, représentante du secteur privé, à travers la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), va lui succéder :
« En effet, au-delà de la convention de partenariat signé en octobre 2009 entre votre département ministériel, le secteur privé et les chambres consulaires, il nous faudra ensemble (Privé/Public) donner aux partenaires au développement qui nous accompagnent sur le chemin, un signal fort. Monsieur le Ministre, nous pouvons compter sur votre appui personnel, pour fédérer toutes les énergies pour la réussite de la réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle » a-t-elle soutenue.
Le grand oral tant attendu pour clore cette rencontre, était celui du Ministre FLINDE Albert. Morceaux choisis.
« La réforme de la réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, se poursuit allègrement. Elle a été lancée effectivement avec la production, l’année dernière, des actes du séminaire d’octobre 2009, et la mise en place des instances de mise en œuvre que sont : le Comité Paritaire de Pilotage, le Comité de mise en œuvre et la Cellule de développement.
Aux Chefs d’Etablissements, vous devez vous adapter aux nouvelles orientations que nous impulsons à notre système. Vous devez êtes de véritables managers en ayant de très bons rapports avec vos collaborateurs et les chefs d’entreprises. Vous avez le devoir d’assurer le suivi de l’insertion de nos apprenants. Aux enseignants et encadreurs, je demande de tout mettre en œuvre, afin de respecter les progressions et de terminer les programmes.
A la Direction des Examens et Concours (DEXC), à travers les efforts entrepris en vue de donner plus de crédibilité à nos diplômes et de transparence au processus d’accès à nos structures de formation ». a-t-il avancé.
Le service de communication
