Philipe Duval - Créer une nation ouest-africaine pour mettre un terme au conflit ivoirien n`est pas la solution. Il faut plutôt tout miser sur les efforts de réconciliation.
«Une nation ouest-africaine pour résoudre le problème ivoirien.»
Sur le papier, l’idée peut paraître intellectuellement séduisante. Mais, elle ne résiste pas à la confrontation avec les réalités. Et surtout, c’est mettre la charrue avant les bœufs et renvoyer le règlement de la question aux calendes grecques.
La Côte d’Ivoire compte en effet près de dix millions d’étrangers (plus de quarante pour cent de sa population), plus de quatre millions de Burkinabè, plus de deux millions de Maliens, des centaines de milliers de Nigériens, de Sénégalais, de Mauritaniens, de Béninois, de... suite de l'article sur Slate Afrique
«Une nation ouest-africaine pour résoudre le problème ivoirien.»
Sur le papier, l’idée peut paraître intellectuellement séduisante. Mais, elle ne résiste pas à la confrontation avec les réalités. Et surtout, c’est mettre la charrue avant les bœufs et renvoyer le règlement de la question aux calendes grecques.
La Côte d’Ivoire compte en effet près de dix millions d’étrangers (plus de quarante pour cent de sa population), plus de quatre millions de Burkinabè, plus de deux millions de Maliens, des centaines de milliers de Nigériens, de Sénégalais, de Mauritaniens, de Béninois, de... suite de l'article sur Slate Afrique