Sylvain Miaka Ouretto, le président par intérim du Front populaire ivoirien (FPI, parti de Laurent Gbagbo), confie à Jeune Afrique ses impressions et ses attentes quant à la reprise du dialogue politique en Côte d’Ivoire. Interview.
Jeune Afrique : Vous avez appelé à la reprise du dialogue politique en Côte d’Ivoire. Quelles sont vos conditions ?
Sylvain Miaka Ouretto : Je ne sais pas si on peut parler de conditions. Mais beaucoup de nos cadres sont emprisonnés, d’autres sont en exil, nos militants sont régulièrement inquiétés et vivent dans l’insécurité permanente. C’est comme si on voulait détruire le FPI. Nous attendons un geste politique fort du président Ouattara. Le FPI veut participer à la recherche de la paix. L’idéal serait de mettre en place un... suite de l'article sur Jeune Afrique
Jeune Afrique : Vous avez appelé à la reprise du dialogue politique en Côte d’Ivoire. Quelles sont vos conditions ?
Sylvain Miaka Ouretto : Je ne sais pas si on peut parler de conditions. Mais beaucoup de nos cadres sont emprisonnés, d’autres sont en exil, nos militants sont régulièrement inquiétés et vivent dans l’insécurité permanente. C’est comme si on voulait détruire le FPI. Nous attendons un geste politique fort du président Ouattara. Le FPI veut participer à la recherche de la paix. L’idéal serait de mettre en place un... suite de l'article sur Jeune Afrique