Dans un document que nous a transmis, l’Union Socialiste du Peuple (USP), le président dudit parti, M. Tohou Henri, candidat malheureux aux élections présidentielles de 2010, a fait ses propositions pour la stabilité et une paix durable en Côte d’ivoire. Il s’agit entre autre, de la suspension de toutes les procédures judiciaires en cours, l’arrêt de l’exécution de tous les mandats d’arrêt nationaux et internationaux ; la libération de tous les détenus pour crime économique et crime de sang ; la mise en place d’un gouvernement d’union national ; la réforme de l’armée et le renvoi des « dozos » dans leur aire culturel, après paiement de ce qu’on leur doit. A cela, s’ajoute l’organisation d’un débat national sur l’avenir de la jeunesse et plan Marshall pour celle-ci.
Pour Tohou, le pays va mal, malgré les efforts des uns et des autres. Et de nombreux obstacles plombent la réconciliation nationale, du fait de l’interprétation subjective de ce concept par le RDR et l’opposition. Raison pour laquelle celui-ci demande à la CDVR que dirige le gouverneur Charles Konan Banny d’agir vite.
« Il nous faut maintenant agir en faisant des efforts sur nous-mêmes et parfois en ignorant ce que nous avions subi d’inacceptable, pour permettre à la nation de survivre ; et le faisant, pour donner la possibilité à nos petits enfants de vivre dans une atmosphère d’unité, de fraternité et de prospérité pour laquelle ils ne manqueront d’éloges pour nos mémoires. Faillir à cela serait sacrifier l’avenir de pauvres innocents qui n’ont pas demandé à naître et qui, en plus, vivront malheureux des conséquences de nos intolérances et de nos égos », a-t-il recommandé.
Ouattara Abdul-Mohamed
Pour Tohou, le pays va mal, malgré les efforts des uns et des autres. Et de nombreux obstacles plombent la réconciliation nationale, du fait de l’interprétation subjective de ce concept par le RDR et l’opposition. Raison pour laquelle celui-ci demande à la CDVR que dirige le gouverneur Charles Konan Banny d’agir vite.
« Il nous faut maintenant agir en faisant des efforts sur nous-mêmes et parfois en ignorant ce que nous avions subi d’inacceptable, pour permettre à la nation de survivre ; et le faisant, pour donner la possibilité à nos petits enfants de vivre dans une atmosphère d’unité, de fraternité et de prospérité pour laquelle ils ne manqueront d’éloges pour nos mémoires. Faillir à cela serait sacrifier l’avenir de pauvres innocents qui n’ont pas demandé à naître et qui, en plus, vivront malheureux des conséquences de nos intolérances et de nos égos », a-t-il recommandé.
Ouattara Abdul-Mohamed
