. Des armes emportées
La gendarmerie de Vridi cité, dans la commune de Port-Bouet, a essuyé une attaque de personnes non-identifiées, dans la soirée d’hier, 20 septembre 2012. Selon des témoignages, sept assaillants ont usé de l’effet de surprise pour prendre les gendarmes à défaut. Arrivés en civils sur les lieux, cinq de ces personnes aux idées funestes font irruption dans la Brigade, quand deux autres montent la garde à l’extérieur de la brigade. Les cinq premiers, une fois à l’intérieur, parviennent à maîtriser les gendarmes en service. Par la suite, ces otages sont enfermés et les visiteurs indésirables prennent la poudre d’escampette, en tirant des coups de feu en l’air, avec les armes qu’ils ont soutirées aux gendarmes. Dans leur fuite, ces quidams vont semer la panique sur leur chemin. Prenant la direction de Grand Bassam, ils mettent Gonzagueville en ébullition. Pour les habitants, c’est un quart d’heure difficile. Le sauve qui peut. Cette attaque vient, une fois de plus, semer le doute dans l’esprit des populations. Et remettre au goût du jour la question de la sécurité des personnes et des biens, à Abidjan, et partout en Côte d’Ivoire. Les autorités compétentes sont plus que jamais interpellées.
RMK
La gendarmerie de Vridi cité, dans la commune de Port-Bouet, a essuyé une attaque de personnes non-identifiées, dans la soirée d’hier, 20 septembre 2012. Selon des témoignages, sept assaillants ont usé de l’effet de surprise pour prendre les gendarmes à défaut. Arrivés en civils sur les lieux, cinq de ces personnes aux idées funestes font irruption dans la Brigade, quand deux autres montent la garde à l’extérieur de la brigade. Les cinq premiers, une fois à l’intérieur, parviennent à maîtriser les gendarmes en service. Par la suite, ces otages sont enfermés et les visiteurs indésirables prennent la poudre d’escampette, en tirant des coups de feu en l’air, avec les armes qu’ils ont soutirées aux gendarmes. Dans leur fuite, ces quidams vont semer la panique sur leur chemin. Prenant la direction de Grand Bassam, ils mettent Gonzagueville en ébullition. Pour les habitants, c’est un quart d’heure difficile. Le sauve qui peut. Cette attaque vient, une fois de plus, semer le doute dans l’esprit des populations. Et remettre au goût du jour la question de la sécurité des personnes et des biens, à Abidjan, et partout en Côte d’Ivoire. Les autorités compétentes sont plus que jamais interpellées.
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