L’information selon laquelle M. Bédié est candidat à sa propre succession ne va-t-elle pas créer de l’émoi chez d’autres prétendants à la présidence du Pdci ?
La question de la candidature à la présidence du Pdci ne se pose pas pour le moment ; en tout cas pas avant le congrès. Le congrès décidera qui sera candidat et qui ne le sera pas.
Le congrès va donc parler de la succession ?
C’est le congrès qui décide. On ne se lève pas pour dire qu’on est candidat. Sinon au Pdci, il n’y a pas d’émoi. Il n’y a pas d’inquiétude parce que tout le monde est serein. Et, ils (militants, ndlr) sont sereins avec lui (Henri Konan Bédié, ndlr).
Est-il raisonnable de dire qu’après Bédié ce sera la catastrophe, comme le font croire des cadres de votre parti?
La situation se jugera à l’aune de la décision du congrès. C’est seulement quand nous serons au congrès que nous verrons. En attendant, le parti est organisé.
Que répondez-vous dans ce cas à ceux qui déclarent dans la presse qu’après Bédié il n’y a plus rien?
Il y a des gens qui sont toujours pessimistes dans la vie. On ne peut rien faire pour ceux-là. Mais, ce qui est certain, c’est que le Pdci aura toujours besoin de Bédié.
Comment expliquez-vous cet attachement soudainement renouvelé à M. Bedié quand on sait que des militants avaient réclamé son départ ?
Quand on a un leader, n’a-t-on pas le droit de s’attacher à lui ? Vous voyez bien que Laurent Gbagbo est à La Haye ; n’empêche des gens ne jurent que par lui après tout ce qu’il a pu faire. Il n’y a donc rien de sorcier.
Au Fpi, les frontistes sont longtemps restés attachés à Laurent Gbagbo au point qu’aujourd’hui il se pose un problème de sa digne succession. Le Pdci ne s’expose-t-il pas à cette même situation ?
Il y a des leaders qui sont importants, c’est à leur avantage.
Quel mot à l’endroit de vos camarades militants ?
Nous leur demandons de rester sereins parce que leur parti est organisé.
Pdci/Bédié, président à vie?
La candidature du président Henri Konan Bédié pour se succéder à lui-même à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) ne fait plus l’objet de doute.
La question de la candidature à la présidence du Pdci ne se pose pas pour le moment ; en tout cas pas avant le congrès. Le congrès décidera qui sera candidat et qui ne le sera pas.
Le congrès va donc parler de la succession ?
C’est le congrès qui décide. On ne se lève pas pour dire qu’on est candidat. Sinon au Pdci, il n’y a pas d’émoi. Il n’y a pas d’inquiétude parce que tout le monde est serein. Et, ils (militants, ndlr) sont sereins avec lui (Henri Konan Bédié, ndlr).
Est-il raisonnable de dire qu’après Bédié ce sera la catastrophe, comme le font croire des cadres de votre parti?
La situation se jugera à l’aune de la décision du congrès. C’est seulement quand nous serons au congrès que nous verrons. En attendant, le parti est organisé.
Que répondez-vous dans ce cas à ceux qui déclarent dans la presse qu’après Bédié il n’y a plus rien?
Il y a des gens qui sont toujours pessimistes dans la vie. On ne peut rien faire pour ceux-là. Mais, ce qui est certain, c’est que le Pdci aura toujours besoin de Bédié.
Comment expliquez-vous cet attachement soudainement renouvelé à M. Bedié quand on sait que des militants avaient réclamé son départ ?
Quand on a un leader, n’a-t-on pas le droit de s’attacher à lui ? Vous voyez bien que Laurent Gbagbo est à La Haye ; n’empêche des gens ne jurent que par lui après tout ce qu’il a pu faire. Il n’y a donc rien de sorcier.
Au Fpi, les frontistes sont longtemps restés attachés à Laurent Gbagbo au point qu’aujourd’hui il se pose un problème de sa digne succession. Le Pdci ne s’expose-t-il pas à cette même situation ?
Il y a des leaders qui sont importants, c’est à leur avantage.
Quel mot à l’endroit de vos camarades militants ?
Nous leur demandons de rester sereins parce que leur parti est organisé.
Pdci/Bédié, président à vie?
La candidature du président Henri Konan Bédié pour se succéder à lui-même à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) ne fait plus l’objet de doute.