Le général de corps d’armée Soumaïla Bakayoko, chef d’état-major général des Frci a effectué le 28 septembre 2012, une mission d’inspection des troupes déployées à Noé, à la frontière ivoiro-ghanéene.
Dans la nuit du 20 au 21 septembre dernier, le poste frontière de NOE où y est déployé un détachement des FRCI depuis avril 2011 a été le théâtre d’une attaque perpétrée par des assaillants venus du territoire voisin. Ces ennemis de la République, ont attaqué cette nuit-là, non seulement le Poste de Commandement des FRCI à NOE à la frontière avec le GHANA, mais s’en sont également pris aux positions de la Brigade de Gendarmerie à VRIDI, au Commissariat du 33ème Arrondissement de PORT-BOUET et au Corridor de GONZAQUEVILLE (route de Bassam) dans le District d’ABIDJAN.
Ces individus sans foi, ni loi ont été surpris et mis en déroute au cours de cette énième attaque des installations des FRCI, au poste frontière de NOE, grâce à la promptitude de la riposte des éléments du Lieutenant AMADOU KONE alias SAMPAYO, Commandant le Détachement de cette localité. Ces assaillants ont trouvé leur salut dans leur débandade, en se réfugiant à NOUGOUA, petit village ghanéen situé non loin de NOE. Toute chose qui a permis aux Autorités ivoiriennes de décider de la fermeture de la frontière entre les deux pays frères.
Voulant s’enquérir des raisons de ces récurrentes attaques contre les positions militaires ivoiriennes et s’assurer des dispositions sécuritaires mises en place ; le Général SOUMAÏLA BAKAYOKO s’est rendu hier vendredi à NOE.
A la tête d’une forte délégation des FRCI, le Chef d’Etat-Major Général a été accueilli à l’entrée de la sous-préfecture de NOE par le Préfet de TIAPOUM et les responsables des Forces de sécurité.
Il s’est agi pour le Général de Corps d’Armée SOUMAÏLA BAKAYOKO, en effectuant ce déplacement dans cette localité:
• d’apprécier le moral des troupes afin d’accroitre la capacité opérationnelle de la compagnie basée à NOE,
• d’encourager les braves soldats face au danger permanent de déstabilisation des institutions de la République,
• et enfin, de faire savoir, de vive voix à tous les militaires, gendarmes, policiers, éléments des douanes et des eaux & forêts ; l’engagement des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire à se battre, vaille que vaille, même au péril de leur vie, pour ne céder aucun centimètre carré du territoire aux assaillants.
Sitôt après l’accueil à l’entrée de NOE et les civilités d’usage à la résidence du Sous-préfet, le CEMG des FRCI et la forte délégation qui l’accompagnait, se sont rendus directement au « portail du poste frontière » hermétiquement fermé, pour apprécier la stricte application de la fermeture de la frontière commune entre les deux pays voisins.
Par la suite, le Chef d’Etat-Major Général a eu droit à un exposé succinct du plan d’attaque des assaillants et l’évolution de la situation sécuritaire jusqu’à ce jour, par le Lieutenant SAMPAYO. Ce dernier, en fin stratège, a convaincu l’assistance de la maitrise des opérations de riposte à cette attaque barbare. Et de conclure par la parfaite collaboration de la Chefferie villageoise avec leur armée, dans les opérations de ratissage après cette attaque de NOE.
Heureux et satisfait du professionnalisme de nos soldats pour sécuriser la région, le Général BAKAYOKO a exprimé toute sa fierté à la Compagnie du Lieutenant SAMPAYO. Cependant, face aux velléités d’attaques et rumeurs persistantes de troubles à l’ordre public à TIAPOUM et ses environs, le Chef d’Etat-Major Général a donné des instructions fermes pour un renforcement de la Compagnie par des éléments des Forces terrestres et de la Marine nationale.
A cette étape de sa mission à NOE, le CEMG s’est également adressé aux troupes rassemblées pour leur apporter ses encouragements et félicitations. Il n’a pas manqué de leur rappeler d’observer la DISCIPLINE qui fait la force principale des Armées. Il leur a réitéré sa ferme volonté de programmer des stages de formation sur le théâtre des opérations pour le renforcement des capacités.
Avant de prendre congé de ses soldats, le CEMG est allé saluer la chefferie villageoise de NOE qui l’attendait sur la place publique dudit village jouxtant avec le plan d’eau de la rivière TANOE, frontière naturelle entre le GHANA et la Côte d’Ivoire.
Au cours des échanges de civilités, la notabilité de NOE a exposé au Chef d’Etat-Major Général, quelques préoccupations aux fins de recherche de solutions pacifiques à la reprise des activités de cet espace économique profitable à tous.
Il est bon signaler qu’avant d’effectuer le déplacement de ce jour à NOE, le Général de Corps d’Armée SOUMAÏLA BAKAYOKO a honoré de sa présence, tôt le matin, à la cérémonie traditionnelle bihebdomadaire de ‘’salut aux couleurs’’ au Camp GALLIENI.
BIPA
Dans la nuit du 20 au 21 septembre dernier, le poste frontière de NOE où y est déployé un détachement des FRCI depuis avril 2011 a été le théâtre d’une attaque perpétrée par des assaillants venus du territoire voisin. Ces ennemis de la République, ont attaqué cette nuit-là, non seulement le Poste de Commandement des FRCI à NOE à la frontière avec le GHANA, mais s’en sont également pris aux positions de la Brigade de Gendarmerie à VRIDI, au Commissariat du 33ème Arrondissement de PORT-BOUET et au Corridor de GONZAQUEVILLE (route de Bassam) dans le District d’ABIDJAN.
Ces individus sans foi, ni loi ont été surpris et mis en déroute au cours de cette énième attaque des installations des FRCI, au poste frontière de NOE, grâce à la promptitude de la riposte des éléments du Lieutenant AMADOU KONE alias SAMPAYO, Commandant le Détachement de cette localité. Ces assaillants ont trouvé leur salut dans leur débandade, en se réfugiant à NOUGOUA, petit village ghanéen situé non loin de NOE. Toute chose qui a permis aux Autorités ivoiriennes de décider de la fermeture de la frontière entre les deux pays frères.
Voulant s’enquérir des raisons de ces récurrentes attaques contre les positions militaires ivoiriennes et s’assurer des dispositions sécuritaires mises en place ; le Général SOUMAÏLA BAKAYOKO s’est rendu hier vendredi à NOE.
A la tête d’une forte délégation des FRCI, le Chef d’Etat-Major Général a été accueilli à l’entrée de la sous-préfecture de NOE par le Préfet de TIAPOUM et les responsables des Forces de sécurité.
Il s’est agi pour le Général de Corps d’Armée SOUMAÏLA BAKAYOKO, en effectuant ce déplacement dans cette localité:
• d’apprécier le moral des troupes afin d’accroitre la capacité opérationnelle de la compagnie basée à NOE,
• d’encourager les braves soldats face au danger permanent de déstabilisation des institutions de la République,
• et enfin, de faire savoir, de vive voix à tous les militaires, gendarmes, policiers, éléments des douanes et des eaux & forêts ; l’engagement des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire à se battre, vaille que vaille, même au péril de leur vie, pour ne céder aucun centimètre carré du territoire aux assaillants.
Sitôt après l’accueil à l’entrée de NOE et les civilités d’usage à la résidence du Sous-préfet, le CEMG des FRCI et la forte délégation qui l’accompagnait, se sont rendus directement au « portail du poste frontière » hermétiquement fermé, pour apprécier la stricte application de la fermeture de la frontière commune entre les deux pays voisins.
Par la suite, le Chef d’Etat-Major Général a eu droit à un exposé succinct du plan d’attaque des assaillants et l’évolution de la situation sécuritaire jusqu’à ce jour, par le Lieutenant SAMPAYO. Ce dernier, en fin stratège, a convaincu l’assistance de la maitrise des opérations de riposte à cette attaque barbare. Et de conclure par la parfaite collaboration de la Chefferie villageoise avec leur armée, dans les opérations de ratissage après cette attaque de NOE.
Heureux et satisfait du professionnalisme de nos soldats pour sécuriser la région, le Général BAKAYOKO a exprimé toute sa fierté à la Compagnie du Lieutenant SAMPAYO. Cependant, face aux velléités d’attaques et rumeurs persistantes de troubles à l’ordre public à TIAPOUM et ses environs, le Chef d’Etat-Major Général a donné des instructions fermes pour un renforcement de la Compagnie par des éléments des Forces terrestres et de la Marine nationale.
A cette étape de sa mission à NOE, le CEMG s’est également adressé aux troupes rassemblées pour leur apporter ses encouragements et félicitations. Il n’a pas manqué de leur rappeler d’observer la DISCIPLINE qui fait la force principale des Armées. Il leur a réitéré sa ferme volonté de programmer des stages de formation sur le théâtre des opérations pour le renforcement des capacités.
Avant de prendre congé de ses soldats, le CEMG est allé saluer la chefferie villageoise de NOE qui l’attendait sur la place publique dudit village jouxtant avec le plan d’eau de la rivière TANOE, frontière naturelle entre le GHANA et la Côte d’Ivoire.
Au cours des échanges de civilités, la notabilité de NOE a exposé au Chef d’Etat-Major Général, quelques préoccupations aux fins de recherche de solutions pacifiques à la reprise des activités de cet espace économique profitable à tous.
Il est bon signaler qu’avant d’effectuer le déplacement de ce jour à NOE, le Général de Corps d’Armée SOUMAÏLA BAKAYOKO a honoré de sa présence, tôt le matin, à la cérémonie traditionnelle bihebdomadaire de ‘’salut aux couleurs’’ au Camp GALLIENI.
BIPA