Les ex-dirigeants des structures qui ont eu en charge la gestion de la filière café-cacao ont répondu le lundi 8 octobre 2012 à la convocation du juge d’instruction, à l’exception de quelques-uns.
Poursuivis pour détournement de fonds, escroquerie, abus de biens sociaux, faux et usage de faux, Lucien Tapé Do, Henri Kassi Amouzou et des anciens dirigeants des structures qui ont eu en charge la gestion de la filière café-cacao étaient hier matin, au Tribunal de Première instance à Abidjan-Plateau. Pour cette reprise du procès des «prisonniers du cacao», tout le monde s’y est mis. Ainsi du président du Tribunal, Hamed Coulibaly, aux prévenus, en passant par le Parquet, la partie civile et la Défense, l’on a pu observer le grand retour après trois mois de vacances judiciaires. Mais le hic, c’est que personne n’est passé à la barre. Simplement, il a été signifié aux prévenus et aux témoins, une organisation pratique et un nouveau chronogramme afin de rendre le procès plus transparent et tirer dans le délai, des concluions équitables. Dans le cadre de la nouvelle organisation des auditions, les procès démarrent officiellement ce matin 9 octobre et s’étendra jusqu’au 19 décembre 2012. Les auditions auront lieu du lundi au mercredi de 9 heures 30 à 15 heures avec 15 minutes de pause à partir de 13 heures. En ce qui concerne la partie des plaidoiries et les délibérations, elles n’auront lieu qu’en 2013, a indiqué Hamed Coulibaly, président du Tribunal aux prévenus dont le souci est de connaître une issue rapide de ce procès. L’ancien président du conseil d’administration de la Bourse café-cacao, Lucien Tapé Do qui ne trouve aucun inconvénient sur la nouvelle organisation, a salué le nouvel esprit qui animera les uns et les autres lors du procès. Ils avaient été arrêtés en juin 2008 sous le régime de Laurent Gbagbo.
HK
Poursuivis pour détournement de fonds, escroquerie, abus de biens sociaux, faux et usage de faux, Lucien Tapé Do, Henri Kassi Amouzou et des anciens dirigeants des structures qui ont eu en charge la gestion de la filière café-cacao étaient hier matin, au Tribunal de Première instance à Abidjan-Plateau. Pour cette reprise du procès des «prisonniers du cacao», tout le monde s’y est mis. Ainsi du président du Tribunal, Hamed Coulibaly, aux prévenus, en passant par le Parquet, la partie civile et la Défense, l’on a pu observer le grand retour après trois mois de vacances judiciaires. Mais le hic, c’est que personne n’est passé à la barre. Simplement, il a été signifié aux prévenus et aux témoins, une organisation pratique et un nouveau chronogramme afin de rendre le procès plus transparent et tirer dans le délai, des concluions équitables. Dans le cadre de la nouvelle organisation des auditions, les procès démarrent officiellement ce matin 9 octobre et s’étendra jusqu’au 19 décembre 2012. Les auditions auront lieu du lundi au mercredi de 9 heures 30 à 15 heures avec 15 minutes de pause à partir de 13 heures. En ce qui concerne la partie des plaidoiries et les délibérations, elles n’auront lieu qu’en 2013, a indiqué Hamed Coulibaly, président du Tribunal aux prévenus dont le souci est de connaître une issue rapide de ce procès. L’ancien président du conseil d’administration de la Bourse café-cacao, Lucien Tapé Do qui ne trouve aucun inconvénient sur la nouvelle organisation, a salué le nouvel esprit qui animera les uns et les autres lors du procès. Ils avaient été arrêtés en juin 2008 sous le régime de Laurent Gbagbo.
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