ABIDJAN -- Les autorités ivoiriennes ont annoncé lundi à Abidjan le limogeage du chef des gendarmes de Yopougon (ouest d`Abidjan) en charge de la sécurisation de la centrale thermique d`Azito attaquée dans la nuit de dimanche à lundi par des hommes armés.
Selon le ministre ivoirien en charge de la Défense Paul Koffi Koffi, le commandant de l`escadron de gendarmerie de Yopougon sera relevé de ses fonctions pour "manquement".
"Deux civils, deux policiers, deux gendarmes et trois marins vêtus de nouvelles tenues militaires ont été arrêtés. Il y a eu infiltration parmi les forces de sécurité", a expliqué M. Koffi Koffi.
A en croire celui-ci, des mesures disciplinaires ont été prises à l`encontre de l`officier de gendarmerie qui a failli dans sa mission de sécurisation du site de la centrale thermique placé sous sa responsabilité sur le plan de la surveillance.
La centrale thermique d`Azito constitue une source d`alimentation de la ville d`Abidjan en matière d`électricité.
Selon le ministre en charge de la Défense, les assaillants avaient voulu contraindre les agents de la centrale à couper les générateurs électriques sous la menace de leurs armes, ce qui allait plonger toute la capitale économique du pays dans l`obscurité.
Une autre attaque armée s`est déroulée dans la même nuit à Bonoua (sud, 60 kms d`Abidjan) où des inconnus ont lancé un assaut sur les positions des positions des Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI), de la gendarmerie et de la police, avant d`être repoussés.
Des sites militaires d`Abidjan et de plusieurs villes de l`intérieur du pays ont subi ces derniers mois des attaques répétées de personnes armées non identifiées, faisant au moins une dizaine de morts parmi les soldats ivoiriens.
Au cours d`une réunion d`urgence du Conseil national de la sécurité qu`il a convoquée, le président ivoirien Alassane Ouattara a donné des instructions "fermes" pour le renforcement du dispositif sécuritaire autour des sites stratégiques du pays.
Selon le ministre ivoirien en charge de la Défense Paul Koffi Koffi, le commandant de l`escadron de gendarmerie de Yopougon sera relevé de ses fonctions pour "manquement".
"Deux civils, deux policiers, deux gendarmes et trois marins vêtus de nouvelles tenues militaires ont été arrêtés. Il y a eu infiltration parmi les forces de sécurité", a expliqué M. Koffi Koffi.
A en croire celui-ci, des mesures disciplinaires ont été prises à l`encontre de l`officier de gendarmerie qui a failli dans sa mission de sécurisation du site de la centrale thermique placé sous sa responsabilité sur le plan de la surveillance.
La centrale thermique d`Azito constitue une source d`alimentation de la ville d`Abidjan en matière d`électricité.
Selon le ministre en charge de la Défense, les assaillants avaient voulu contraindre les agents de la centrale à couper les générateurs électriques sous la menace de leurs armes, ce qui allait plonger toute la capitale économique du pays dans l`obscurité.
Une autre attaque armée s`est déroulée dans la même nuit à Bonoua (sud, 60 kms d`Abidjan) où des inconnus ont lancé un assaut sur les positions des positions des Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI), de la gendarmerie et de la police, avant d`être repoussés.
Des sites militaires d`Abidjan et de plusieurs villes de l`intérieur du pays ont subi ces derniers mois des attaques répétées de personnes armées non identifiées, faisant au moins une dizaine de morts parmi les soldats ivoiriens.
Au cours d`une réunion d`urgence du Conseil national de la sécurité qu`il a convoquée, le président ivoirien Alassane Ouattara a donné des instructions "fermes" pour le renforcement du dispositif sécuritaire autour des sites stratégiques du pays.