Zadi Kessy Marcel, Yaya Ouattara, Aka Aouélé, Boa Amoakon Edjampan, Gaston Ouassenan Koné, Lambert Kouassi Konan, Vacaba Touré, Doukouré Moustapha, tous vice-présidents du Pdci Rda, se sont entretenus, hier, dans l’après-midi avec le président Henri Konan Bédié, président dudit parti. Manquaient à cette rencontre des dix vice-présidents avec le mentor du Pdci, Mme Hortense Aka Anghui et le ministre Emile Constant Bombet, certainement empêché par la rencontre des Wê avec le chef de l’Etat, hier au Palais présidentiel au Plateau. A leur sortie de l’audience qui a débuté aux environs de 17 heures pour s’achever une trentaine de minutes après, Zadi Kessy Marcel s’est prêté aux questions des journalistes.
«Nous sommes venus lui dire bonsoir puisque c’est l’après-midi. Il est tout à fait normal que, de temps en temps, nous venions voir tous le président du parti pour faire le point de la situation et l’écouter. Nous sommes donc venus l’écouter». Le point de quelle situation ? «Mais si on devait dire ça publiquement, ça serait difficile, mais nous sommes venus faire le point avec lui et lui faire part aussi de nos préoccupations. Je crois que c’est ce qui est important. Il nous a rassurés et nous repartons rassurés» a ajouté le président du Conseil économique et social. La question des élections municipales et régionales a-t-elle été évoquée ? «C’est trop tôt. Nous sommes au mois d’octobre. On a encore le temps d’en parler. Mais de temps en temps, nous venons le voir. On reviendra certainement le voir une prochaine fois. Peut-être dans un mois, deux mois» a-t-il répondu. Et le congrès ? «Nous avons fait le point de la situation… (Rires)». «Y compris le congrès» a ajouté Doukouré Moustapha. Dr Lénissongui Coulibaly, directeur de cabinet du président Bédié, et Alphonse Djédjé Mady, étaient aux côtés des vice-présidents.
DIARRASSOUBA SORY
«Nous sommes venus lui dire bonsoir puisque c’est l’après-midi. Il est tout à fait normal que, de temps en temps, nous venions voir tous le président du parti pour faire le point de la situation et l’écouter. Nous sommes donc venus l’écouter». Le point de quelle situation ? «Mais si on devait dire ça publiquement, ça serait difficile, mais nous sommes venus faire le point avec lui et lui faire part aussi de nos préoccupations. Je crois que c’est ce qui est important. Il nous a rassurés et nous repartons rassurés» a ajouté le président du Conseil économique et social. La question des élections municipales et régionales a-t-elle été évoquée ? «C’est trop tôt. Nous sommes au mois d’octobre. On a encore le temps d’en parler. Mais de temps en temps, nous venons le voir. On reviendra certainement le voir une prochaine fois. Peut-être dans un mois, deux mois» a-t-il répondu. Et le congrès ? «Nous avons fait le point de la situation… (Rires)». «Y compris le congrès» a ajouté Doukouré Moustapha. Dr Lénissongui Coulibaly, directeur de cabinet du président Bédié, et Alphonse Djédjé Mady, étaient aux côtés des vice-présidents.
DIARRASSOUBA SORY