Dans un communiqué de presse publié le 26 octobre 2012, l’ONG Amnesty International porte des accusations graves et sans fondement relatives à la situation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
Ce communiqué appelle de notre part les observations suivantes :
La Côte d’Ivoire, notre pays, sort d’une longue et éprouvante période d’instabilité politique qui a connu son point d’orgue avec la crise postélectorale, émaillée de violations inacceptables des droits de l’Homme dont les auteurs principaux sont les miliciens, les mercenaires étrangers et les ex-Forces de défense pro-Gbagbo.
L’ONU a révélé, dans un rapport, que ces violations inhumaines ont enregistré, pour la seule période post-électorale plus de 3000 morts, des centaines de disparus, des femmes violées et violentées, des orphelins, des veuves et des victimes handicapées à vie.
Il convient de faire observer que de 2000 à 2010, le régime précédent a favorisé la culture de l’impunité. C’est ainsi que celui-ci a pris plusieurs lois d’amnistie générale qui, au lieu d’être comprises comme un moyen de rédemption et d’instauration d’un Etat de Droit, ont plutôt été interprétées comme des mesures tendant à encourager des violations des droits de l’Homme.
A l’effet d’y mettre un terme, le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, dès son accession à la magistrature suprême, a érigé la lutte contre l’impunité et l’instauration d’un Etat de droit en axes prioritaires de son projet de société et de son programme de gouvernement.
Aussi, le Président de la République a-t-il encouragé toutes les organisations de défense des droits de l’homme à enquêter sur les violations des droits humains suite à la crise post-électorale, partout en Côte d’Ivoire, tout en mettant lui-même en place une commission nationale à cet effet.
Ces décisions politiques majeures, qui viennent renforcer le processus de réconciliation nationale, traduisent la volonté du Chef de l’Etat de lutter contre l’impunité et d’instaurer un Etat de droit en Côte d’Ivoire où tout individu, quelle que soit son appartenance ethnique, religieuse ou politique, devra répondre des faits criminels et délictueux dont il serait reconnu être l’auteur.
Ainsi, dès la remise officielle des résultats de la commission nationale d’enquête, le Président de la République a instruit le Premier Ministre, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, d’en tirer toutes les conséquences qui s’imposent en droit.
Malgré les efforts déployés par le Président de la République pour le retour d’une paix définitive, la Côte d’Ivoire est confrontée régulièrement à des attaques armées de camps militaires et de gendarmerie ainsi que des commissariats de police.
Ces attaques, perpétrées par des miliciens, des mercenaires étrangers et des anciens FDS, tous nostalgiques de l’ancien régime, sont à l’origine de lâches assassinats, dont la plupart des victimes sont des éléments des Forces Républicaines de Côte d‘Ivoire.
Les exactions vécues par les populations, pendant la crise postélectorale et ces récentes attaques criminelles, ont conduit à l’arrestation de personnes notoirement impliquées dans ces crimes.
Ces personnes ont été régulièrement entendues et inculpées, puis détenues, conformément aux dispositions légales en la matière.
Au regard de toutes les dispositions prises par le Président de la République, Son excellence Monsieur Alassane OUATTARA, dans le sens du respect des droits humains, celui-ci ne peut permettre que sur le sol ivoirien, des détenus soient torturés à l’électricité ou aient souffert suite à des brûlures au plastique fondu comme le prétend Amnesty International.
Le RDR réaffirme par conséquent son soutien total au Président de la République dans son combat inlassable pour l’instauration d’un Etat de droit dans notre pays, la lutte contre l’impunité et l’avènement d’une Côte d’Ivoire réconciliée.
Enfin, le RDR appelle ses militantes, militants et sympathisants à demeurer vigilants et à s’inscrire dans la droite ligne de la politique tracée par le Président de la République en matière des droits de l’Homme et ne pas se laisser distraire par cette campagne mensongère.
Fait à Abidjan
le dimanche 28 octobre 2012
Pour la Direction du RDR
Le Secrétaire Général par Intérim
Le Ministre Amadou SOUMAHORO
Ce communiqué appelle de notre part les observations suivantes :
La Côte d’Ivoire, notre pays, sort d’une longue et éprouvante période d’instabilité politique qui a connu son point d’orgue avec la crise postélectorale, émaillée de violations inacceptables des droits de l’Homme dont les auteurs principaux sont les miliciens, les mercenaires étrangers et les ex-Forces de défense pro-Gbagbo.
L’ONU a révélé, dans un rapport, que ces violations inhumaines ont enregistré, pour la seule période post-électorale plus de 3000 morts, des centaines de disparus, des femmes violées et violentées, des orphelins, des veuves et des victimes handicapées à vie.
Il convient de faire observer que de 2000 à 2010, le régime précédent a favorisé la culture de l’impunité. C’est ainsi que celui-ci a pris plusieurs lois d’amnistie générale qui, au lieu d’être comprises comme un moyen de rédemption et d’instauration d’un Etat de Droit, ont plutôt été interprétées comme des mesures tendant à encourager des violations des droits de l’Homme.
A l’effet d’y mettre un terme, le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, dès son accession à la magistrature suprême, a érigé la lutte contre l’impunité et l’instauration d’un Etat de droit en axes prioritaires de son projet de société et de son programme de gouvernement.
Aussi, le Président de la République a-t-il encouragé toutes les organisations de défense des droits de l’homme à enquêter sur les violations des droits humains suite à la crise post-électorale, partout en Côte d’Ivoire, tout en mettant lui-même en place une commission nationale à cet effet.
Ces décisions politiques majeures, qui viennent renforcer le processus de réconciliation nationale, traduisent la volonté du Chef de l’Etat de lutter contre l’impunité et d’instaurer un Etat de droit en Côte d’Ivoire où tout individu, quelle que soit son appartenance ethnique, religieuse ou politique, devra répondre des faits criminels et délictueux dont il serait reconnu être l’auteur.
Ainsi, dès la remise officielle des résultats de la commission nationale d’enquête, le Président de la République a instruit le Premier Ministre, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, d’en tirer toutes les conséquences qui s’imposent en droit.
Malgré les efforts déployés par le Président de la République pour le retour d’une paix définitive, la Côte d’Ivoire est confrontée régulièrement à des attaques armées de camps militaires et de gendarmerie ainsi que des commissariats de police.
Ces attaques, perpétrées par des miliciens, des mercenaires étrangers et des anciens FDS, tous nostalgiques de l’ancien régime, sont à l’origine de lâches assassinats, dont la plupart des victimes sont des éléments des Forces Républicaines de Côte d‘Ivoire.
Les exactions vécues par les populations, pendant la crise postélectorale et ces récentes attaques criminelles, ont conduit à l’arrestation de personnes notoirement impliquées dans ces crimes.
Ces personnes ont été régulièrement entendues et inculpées, puis détenues, conformément aux dispositions légales en la matière.
Au regard de toutes les dispositions prises par le Président de la République, Son excellence Monsieur Alassane OUATTARA, dans le sens du respect des droits humains, celui-ci ne peut permettre que sur le sol ivoirien, des détenus soient torturés à l’électricité ou aient souffert suite à des brûlures au plastique fondu comme le prétend Amnesty International.
Le RDR réaffirme par conséquent son soutien total au Président de la République dans son combat inlassable pour l’instauration d’un Etat de droit dans notre pays, la lutte contre l’impunité et l’avènement d’une Côte d’Ivoire réconciliée.
Enfin, le RDR appelle ses militantes, militants et sympathisants à demeurer vigilants et à s’inscrire dans la droite ligne de la politique tracée par le Président de la République en matière des droits de l’Homme et ne pas se laisser distraire par cette campagne mensongère.
Fait à Abidjan
le dimanche 28 octobre 2012
Pour la Direction du RDR
Le Secrétaire Général par Intérim
Le Ministre Amadou SOUMAHORO