Le rapport rendu public vendredi dernier par Amnesty International, qui fait état de 200 cas de détentions arbitraires et qui évoque des cas de torture dans le pays, a fortement irrité les autorités. Ces dernières ont fait part de leur surprise. Mais d’autres voix que celles d’Amnesty avaient tiré la sonnette d’alarme bien avant le mois d’août.
La Commission dialogue vérité et réconciliation (CDVR) avait mis en garde le pouvoir, au mois de juin dernier, contre les arrestations et les enlèvements qui visaient les membres de la galaxie patriotique, partisans de l’ex-président Laurent Gbagbo.
La CDVR demandait juste l’application de la loi en matière d’arrestations. Mais depuis la série d’attaques commencée en août et visant les commissariats de police,... suite de l'article sur RFI
La Commission dialogue vérité et réconciliation (CDVR) avait mis en garde le pouvoir, au mois de juin dernier, contre les arrestations et les enlèvements qui visaient les membres de la galaxie patriotique, partisans de l’ex-président Laurent Gbagbo.
La CDVR demandait juste l’application de la loi en matière d’arrestations. Mais depuis la série d’attaques commencée en août et visant les commissariats de police,... suite de l'article sur RFI