ABIDJAN - Les enseignants ivoiriens lancent un mouvement de grève à partir de lundi pour réclamer des reliquats de salaires, d'accessoires de salaires et de diverses indemnités.
Des parents d'élèves interrogés par Xinhua se sont inquiétés de ce mouvement qui selon occasionnera un blocage "total" de l'école en raison de l'implication de tous les cycles d'enseignement, entre autres le primaire, le secondaire et les universités publiques.
Lors d'un entretien dimanche avec des journalistes, le secrétaire général du Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) Mesmin Comoé a confirmé l'arrêt des cours, invitant le gouvernement à faire un "ultime effort" pour que la sérénité revienne dans le milieu enseignant.
"La grève est maintenue. Nous restons toutefois ouverts au dialogue et à la négociation", a déclaré de son côté le secrétaire général du syndicat national des enseignants du primaire public Paul Gnolou.
Le porte-parole des collectifs des enseignants Jean Yves Abonga a indiqué pour sa part que les enseignants exigent de l'Etat le paiement des reliquats liés au profil de carrière, aux indemnités de logement et des rappels de salaire pour des instituteurs titulaires du certificat d'aptitude pédagogique (CAP).
"Nous demandons que ce paiement soit effectué. Faute de quoi nous arrêtons les cours sur toute l'étendue du territoire pendant cinq jours à savoir du 19 au 25 novembre", a-t-il prévenu.
Les enseignants des différents cycles ainsi entendent fermer tous les établissements scolaires pour contraindre les autorités à satisfaire leurs revendications.
Des parents d'élèves interrogés par Xinhua se sont inquiétés de ce mouvement qui selon occasionnera un blocage "total" de l'école en raison de l'implication de tous les cycles d'enseignement, entre autres le primaire, le secondaire et les universités publiques.
Lors d'un entretien dimanche avec des journalistes, le secrétaire général du Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) Mesmin Comoé a confirmé l'arrêt des cours, invitant le gouvernement à faire un "ultime effort" pour que la sérénité revienne dans le milieu enseignant.
"La grève est maintenue. Nous restons toutefois ouverts au dialogue et à la négociation", a déclaré de son côté le secrétaire général du syndicat national des enseignants du primaire public Paul Gnolou.
Le porte-parole des collectifs des enseignants Jean Yves Abonga a indiqué pour sa part que les enseignants exigent de l'Etat le paiement des reliquats liés au profil de carrière, aux indemnités de logement et des rappels de salaire pour des instituteurs titulaires du certificat d'aptitude pédagogique (CAP).
"Nous demandons que ce paiement soit effectué. Faute de quoi nous arrêtons les cours sur toute l'étendue du territoire pendant cinq jours à savoir du 19 au 25 novembre", a-t-il prévenu.
Les enseignants des différents cycles ainsi entendent fermer tous les établissements scolaires pour contraindre les autorités à satisfaire leurs revendications.