Korhogo - Malgré les promesses du gouvernement et l’appel à la reprise du travail lancé à travers les chaînes de radios et télévisions en vue de mettre fin au mouvement de grève débuté lundi dans le secteur éducation/formation, les trois lycées, le collège moderne, le centre professionnel et les écoles primaires de Korhogo sont restés fermés jusqu’au vendredi, a constaté l’AIP.
Les élèves qui croyaient que les cours reprendraient se sont rendus dans leurs établissements respectifs jeudi matin, avant de regagner leur domicile, après avoir constaté l’absence des professeurs.
« Il n’y a pas cours, les professeurs ne sont pas venus », a confié à l’AIP, jeudi, Silué Zana, élèves en classe de 5e au lycée Houphouët.
Des syndicats du secteur éducation/formation regroupés au sein d’une intersyndicale dénommée (ISEF) ont observé cinq jours d’arrêt de travail, en vue de faire aboutir leurs revendications. Il s’agit notamment, du paiement de la 2e moitié de leur bonification indiciaire et le rappel s’y afférent, du paiement effectif du reliquat de l’indemnité de logement des instituteurs et le rappel s’y afférent et du paiement effectif de la 2e moitié des effets financiers de leur reclassement indiciaire et le rappel s’y afférent.
« Si l’école est fermée, ça pénalise nos enfants », a déclaré le trésorier du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) du lycée moderne, Fané Lacina, rencontré jeudi matin dans cet établissement. Il y était allé relever d’éventuels dégâts et constater la reprise des cours.
« Qu’ils reprennent pour ne pas accentuer le retard », a plaidé M. Fané qui suggère que les syndicats poursuivent les négociations avec le gouvernement, pendant que les cours se déroulent.
Les élèves qui croyaient que les cours reprendraient se sont rendus dans leurs établissements respectifs jeudi matin, avant de regagner leur domicile, après avoir constaté l’absence des professeurs.
« Il n’y a pas cours, les professeurs ne sont pas venus », a confié à l’AIP, jeudi, Silué Zana, élèves en classe de 5e au lycée Houphouët.
Des syndicats du secteur éducation/formation regroupés au sein d’une intersyndicale dénommée (ISEF) ont observé cinq jours d’arrêt de travail, en vue de faire aboutir leurs revendications. Il s’agit notamment, du paiement de la 2e moitié de leur bonification indiciaire et le rappel s’y afférent, du paiement effectif du reliquat de l’indemnité de logement des instituteurs et le rappel s’y afférent et du paiement effectif de la 2e moitié des effets financiers de leur reclassement indiciaire et le rappel s’y afférent.
« Si l’école est fermée, ça pénalise nos enfants », a déclaré le trésorier du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) du lycée moderne, Fané Lacina, rencontré jeudi matin dans cet établissement. Il y était allé relever d’éventuels dégâts et constater la reprise des cours.
« Qu’ils reprennent pour ne pas accentuer le retard », a plaidé M. Fané qui suggère que les syndicats poursuivent les négociations avec le gouvernement, pendant que les cours se déroulent.
